En France, les statistiques ethniques sont interdites !
C’est bien pratique pour noyer le poisson et interdire de mettre des vrais chiffres derrière les inquiétudes des Français …
Vous ne saurez jamais la proportion des populations immigrées dans les hôpitaux, parmi les chômeurs ou les bénéficiaires du RSA.
On vous cachera toujours cette même proportion dans les prisons françaises. Eric Zemmour a même été trainé devant les tribunaux pour avoir rompu le tabou à propos des populations les plus représentées parmi les dealers de drogue !
Pourtant, les statistiques ethniques ne sont pas interdites pour tout le monde ! Le CSA se permet, lui, de comptabiliser les représentants des minorités ethniques sur le petit écran. Certes, il ne compte pas directement les noirs ou les arabes, mais les « personnes perçues comme telles ! » Une belle hypocrisie !
En Suisse, on n’a pas les mêmes pudeurs et les mêmes interdits !
C’est ce que rapporte cet article paru sur le site Dreuz.info :
La choquante révélation vient de la chaîne de télévision suisse RTS Info, qui n’a pas hésité à publier ce titre inimaginable sur France télévision (car vous devez croire que l’immigration est une chance formidable) : « Les prisons romandes paient les factures de la politique migratoire ».
Franz Walter, le directeur des Etablissements pénitentiaires de Bellechasse (FR), a abordé sans tabou les enjeux cruciaux des prisons de Suisse romande, dimanche sur la RTS. La vidéo de son interview est consultable ici. En voici une synthèse :
« Les prisons romandes paient les factures d’une politique de l’immigration qui a des effets considérables », a déclaré Franz Walter dans le 19h30 de la RTS.
- 80 % des détenus des prisons romandes sont des étrangers.
- Plus de 95 % des détenus sont des hommes d’environ 35 ans.
- Parmi les origines ethniques majoritaires :
- l’Afrique noire,
- le Maghreb « avec malheureusement une bonne partie de Maghrébins venus des banlieues de France »,
- des ressortissants d’Europe de l’Est (Albanais, Kosovars, etc.)
- En comparaison, dans les prisons alémaniques, le taux de population étrangère est de 50 à 60%.
« La politique a loupé un train et n’a pas construit à temps et en nombre suffisant des places de cellules », ajoute Franz Walter, qui laisse entendre qu’en Suisse aussi, les dirigeants pensaient que l’immigration serait une chance pour le pays, et que les migrants seraient des ingénieurs, des docteurs et des avocats.
Résultat, la violence carcérale augmente, les détenus les plus faibles sont victimes d’agressions pour ne pas dire plus, les agressions inter-ethniques qui existaient dans leurs pays d’origine se poursuivent dans les établissements pénitentiaires, et bien entendu, comme cela se produit en France voisine qui ne publie pas ses statistiques pour ne pas montrer l’erreur d’orientation des dirigeants, les attaques sur le personnel pénitentiaire ont décuplé.
Conclusion naturelle des élites de gauche : il faut de plus en plus d’immigration.
Et bien entendu, il est interdit de se demander ce que deviendra le pays lorsque ces bons migrants sortiront de prison avec la haine et le désir de revanche vissée au ventre, on vous traiterait de raciste.
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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