
Il fallait s’y attendre : la polémique déclenchée par le militant d’extrême gauche qui se croit humoriste, Guillaume Meurice, ne l’a pas conduit à présenter ses excuses !
Il avait qualifié Benjamin Netanyahou de « Nazi sans prépuce ». Une blague qui n’a dû faire rire que les militants de LFI et les autres antisémites de France !
Non seulement, il n’a pas jugé bon de s’excuser mais il compte faire appel de l’avertissement que lui a infligé la patronne de France Inter. Poussant la provocation jusqu’au bout, il a osé, pour justifier son dérapage, se référer à l’Esprit Charlie !
Mais qu’a à voir sa blague avec la liberté d’expression ?
Le directeur de la rédaction de Charlie, Riss, lui a vertement répondu comme nous le rapporte Valeurs actuelles dans cet article :
Riss rembarre Guillaume Meurice :
« L’esprit Charlie n’est pas une poubelle
qu’on sort pour y jeter ses cochonneries »
Alors que Guillaume Meurice s’est revendiqué de « l’esprit Charlie » après sa chronique polémique, le directeur de la rédaction du journal satirique a désavoué l’humoriste.
En qualifiant le Premier ministre israélien de « nazi sans prépuce », Guillaume Meurice ne s’attendait pas à déclencher une telle polémique. Une sortie prononcée le 29 octobre, lors d’une chronique sur France Inter, qui vaut depuis à l’humoriste d’être accusé d’antisémitisme. D’abord silencieux face à la tempête médiatique, Guillaume Meurice a fini par réagir quelques jours après sur sa page Instagram en publiant une couverture du journal satirique Charlie Hebdo, accompagné d’une légende : « #JeSuisCharlie ».
Un slogan devenu viral après l’attentat contre le journal éponyme, le 7 janvier 2015, et régulièrement utilisé pour invoquer la liberté d’expression. Interrogé sur cette polémique, le directeur de Charlie Hebdo, Riss, n’a pourtant pas manqué d’étriller Guillaume Meurice. « L’esprit Charlie a bon dos », a fustigé le dessinateur dans l’hebdomadaire La Tribune Dimanche publié le 5 novembre. « Bien sûr que l’on peut rire de tout, mais il y a une manière de le faire », a-t-il asséné, ajoutant que « l’esprit Charlie n’est pas une poubelle qu’on sort du placard quand ça vous arrange, pour y jeter ses propres cochonneries ».
Outre cette polémique sur le service public, le directeur de Charlie Hebdo déplore le traitement de l’information sur le conflit au Proche-Orient. « Depuis l’offensive israélienne sur Gaza, il y a un déferlement de propos visant à inverser les choses », regrette le dessinateur, estimant que « la propagande joue en faveur des terroristes palestiniens » et fasse « presque oublier ce qui s’est passé le 7 octobre ». « Dire que les massacres du Hamas sont comparables à ceux des nazis pendant la guerre, ça devient inaudible », a-t-il asséné.
Valeurs actuelles.




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