Lu dans la presse à propos du film Sound of Freedom :
Libération : « Le film complotiste Sound of Freedom débarque en France, poussé par une proche de Bolloré »
Le Monde : « Comment le thriller Sound of Freedom sur les réseaux pédophiles est devenu un étendard des complotistes »
Et le Monde poursuit :
« Ce thriller sur la traite des mineurs était attendu avec enthousiasme par une partie de la droite conservatrice et les sphères conspirationnistes. Pour d’autres, il est perçu comme un inquiétant marqueur de la contamination de l’imaginaire occidental par une vision de la pédophilie à la fois religieuse, caricaturale et éloignée de la réalité. »
Ces critiques venant du camp du mal ne pouvaient que m’engager à courir voir ce film !
C’est ce que j’ai fait pour passer un excellent moment et en cherchant vainement la moindre trace de complotisme dans ce thriller.
L’action se passe entièrement en Amérique du Sud et traite du démantèlement d’un réseau local de traites d’enfants en Colombie. A aucun moment, il n’est fait mention de réseaux internationaux de pédophilie encore moins de pratiques satanistes au niveau mondial !
C’est un scandale absolu de constater que les élites politiques et médiatiques ont tout fait pour empêcher ce film, qui a cartonné aux Etats-Unis, de sortir en France !
D’ailleurs leurs actions forcenées pour censurer ce film sont totalement contreproductives et pourraient même nourrir le complotisme fantasmé qui est dénoncé. En effet, pourquoi interdire un film qui combat la pédophilie ? Sinon, parce qu’on n’est pas très clair sur le sujet ?
On se rappelle que, dans les années 70, la gauche a tenté de libéraliser la pédophilie.
En janvier 1977, une pétition défendant les relations sexuelles entre adultes et enfants a été publiée dans « le Monde», mais aussi dans « Libération ». Rédigée par Gabriel Matzneff, elle était notamment signée par Simone de Beauvoir, Louis Aragon, Roland Barthes, Jack Lang ou encore Bernard Kouchner.
On a pu constater, que ces tendances de la gauche ont perduré jusqu’à nos jours avec le scandale Olivier Duhamel, le politologue impliqué dans des actes de pédophilie sur son beau-fils, d’ailleurs proche de Bernard Kouchner …
Voici un article de La Sélection du jour qui dénonce, comme moi, le scandale des tentatives de censure de la gauche et de ses médias sur le film Sound of Freedom :
Il n’y a pas une once de complotisme
dans le film Sound of Freedom
Le trafic sexuel des enfants est l’un des commerces les plus lucratifs, les tout jeunes garçons et filles pouvant être vendus un grand nombre de fois. Et il y a de la demande, à l’image de cet ancien professeur de français à Singapour condamné le 7 novembre à Paris à vingt ans de réclusion criminelle. De 2014 à 2017, l’homme de 56 ans avait violé 25 enfants malaisiens. Il documentait ses actes. « On visionne des contenus pédocriminels tous les jours, mais ceux-là étaient particulièrement écœurants », confia la PJ au tribunal.
Sound of Freedom (Le son de la liberté) montre cette réalité et la caméra d’Alejandro Monteverde le fait pudiquement, ce qui permet à tous les publics d’aller voir ce film sorti mercredi en France. De petits innocents sont volés à des familles pauvres du Sud pour être convoyés jusqu’à leur lieu de torture, en l’espèce une île paradisiaque des Antilles. Ignorant la ruse des réseaux prédateurs, des parents se laissent piéger. Le film commence au Guatemala : un papa conduit Timoteo et Rocio à un concours de mode. Mais la porte se referme et on lui prend son fils et sa fille.
Un homme va ouvrir cette trappe du destin. C’est un agent fédéral américain, Tim Ballard, père de six enfants. De son propre chef, ce mormon va se lancer dans une incroyable opération de sauvetage jusqu’au fin fond de la Colombie. Mission impossible ? Oui mais on est loin des acrobaties de Tom Cruise. Le ton est profond, angoissant, le rythme parfois lent. Surtout : le film raconte une histoire vraie et le scénario demeure « proche de la réalité », souligne Hubert de Torcy, patron de Saje distribution, qui en a les droits pour la France.
Sound of Freedom est projeté dans 215 salles dont 3 à Paris. Dans la capitale, 2 se sont désistées au dernier moment. Pourtant, juste avant la journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants et la journée internationale des droits de l’enfant (19 et 20 novembre), un tel film aurait dû recevoir un accueil favorable unanime. Or, c’est l’inverse qui s’est produit. La plupart des critiques l’ont assassiné, parfois sans même l’avoir vu.
La raison en est que Sound of Freedom est porté aux États-Unis par les adeptes de la mouvance QAnon qui, note Marianne, voit dans ce film « une de leur croyance, selon laquelle (…) une élite mondiale abuserait d’enfants et organiserait des rites sataniques en vue de les sacrifier », le but étant de se procurer l’adrénochrome, élixir de jouvence fabriqué grâce au sang des victimes capturées.
Le problème, c’est que le film ne parle pas du tout de ça. C’est ce qui l’entoure qui en déforme ou en exploite le message. Cela est dû à l’acteur principal Jim Caviezel. Favorable aux thèses de QAnon, le Jésus de Mel Gibson a profité du film pour se répandre dans les media, d’autant plus qu’il en a eu le temps. Cinq ans ont séparé la production de la diffusion, de quoi nourrir la machine à fantasmes. « L’île sexuelle de Jeffrey Epstein n’est pas la seule qui existe. » Des phrases comme ça, Caviezel en a sorti à la pelle. Faut-il en tenir compte ? Ne pas le faire est illusoire. Mais le faire reviendrait à soupçonner Mission impossible de servir la cause scientologue de Tom Cruise.
Cela dit, en choisissant Caviezel, Monteverde ne pouvait pas ignorer qu’une polémique ferait enfler le film, en extrapolerait le thème, et peut-être était-ce son intention. En tout cas, son calcul fut payant. Sound of Freedom a rapporté plus de dix fois ce qu’il a coûté (184 millions de recettes pour un budget de 15 millions de dollars), « surpassant, selon Allociné, des blockbusters comme Fast X, Indiana Jones 5 ou Mission Impossible 7 ».
Le succès de ce film est aussi lié à une mobilisation plus vaste à travers l’achat groupé de billets (système du « pay it forward ») et l’écho que lui ont donné Donald Trump et Elon Musk dont le réseau X (ex-Twitter) diffusera Sound of Freedom dans le monde entier.
La leçon, c’est que le complotisme est encouragé par ceux qui le dénoncent. Ce qui motivait la critique en France, c’était de répéter le discours de la gauche US hostile à la droite trumpiste, alors qu’un public français aurait attendu plus d’indépendance de la part de journalistes qui ne sont pas américains.
Cette polémique importée des États-Unis est un cas d’école, une sorte d’effet Streisand où, par maladresse ou obsession, on relaie ce que l’on refuse, alors qu’une attitude raisonnable aurait mis ce film à sa juste place, d’autant que Sound of Freedom n’est pas pollué par des faith touches et autres balourdises évangéliques qui navrent et amusent à la fois notre esprit voltairien. « Les enfants du bon dieu ne sont pas à vendre » en est l’une des phrases fortes. Tout le monde peut l’entendre. À cette traite inhumaine il ne fallait pas ajouter un mauvais traitement médiatique.
6 Réponses à “Sound of Freedom, le film censuré par la gauche !”
ET La pedophilie est caché a tous les niveau de la société denoncé par Karl Zero.
https://www.youtube.com/watch?v=nKh8Jx72SW8
« Je n’ai rien à perdre, et je les emmerde tous ! », interview choc avec Karl Zéro
C’est clair qu’avoir interdit ce film ne fait que profiter aux filieres pedophiles qui existent inévitablement dans le monde.
S’ils l’ont fait, c’est bien parce que cela les gènes considerablement.
Un honnete homme qui n’a rien a ce reprocher recherchera la verité, tandis qu’un malhonnete fera tout pour cacher la verité sous n’importe quel excuses.
https://www.youtube.com/watch?v=iiIQz-Ib69I
Film « Sound of Freedom » : les médias affolés crachent le morceau !
FLORIAN PHILIPPOT
« On se rappelle que, dans les années 70, la gauche a tenté de libéraliser la pédophilie. »
Ordure un jour, ordure toujours!!!!!!!
Ce sont des pervers, des détraqués, des vicieux sans aucune morale! D’ailleurs ça continue aujourd’hui de vouloir pervertir les enfants dés le plus jeune! Mais que l’école apprenne à lire écrire compter! L’apprentissage de la sexualité n’est pas à mettre dans les programmes scolaires!
Le problème est que ces tordus adeptes de la pédophilie et autres plaisirs défendus se protègent les uns les autres! Ceci dans toutes les couches de la société et pas seulement chez les prolos! C’est même tout le contraire!
De temps en temps une affaire sort vite stoppée par un suicide qui vient à point. Combien sont étouffées dans l’oeuf par « corporatisme » ou pour ne pas faire de vagues……
Je pense que ce film en France sera soit sali parce que réalisé par un complotiste, soit complètement ignoré!
Bien vu !
Combien d’enfants en France disparaissent par an?
Bonne question!
Bonjour, selon certaine etudes, en moyenne 10 000 par an.