Covid : beaucoup de « complotistes » avaient raison !

Je partage ici un post de Fred G. qui s’exprimait dans  une boucle Télégram intitulée : Graines de Réflexion :

Presque 4 ans après, la vérité sur l’origine « laboratoire Wuhan » du covid transperce le mur de carton du mensonge. L’un des plus hauts responsables US qui a œuvré pour cacher la vérité au grand public avoue.

Il avoue aussi que ce type de labo bricoleurs existent partout, y compris aux US. Et que le nier est prendre le risque d’une nouvelle pandémie.

Les rats quittent le navire et laissent Fauci (le financeur du bricolage) dans de sales draps.

Petite information pour tous ceux qui ont craché sur les généticiens comme feu Luc Montagnier qui avaient, analyse du génome en main, affirmé que le virus était issu d’un bricolage de laboratoire. Cette information d’adresse aussi à tous ces ignares de plateau TV et aux idiots utiles qui se sentaient enfin être quelqu’un à vociférer contre les « complotistes »:

• Les « complotistes » n’ont pas oublié ces crachats,
• L’expression favorite des « complotistes » est « Ni oubli ni pardon« ,
• Croyez bien que les tombereaux de haine subis par les lanceurs d’alertes leur restera pour toujours gravée en mémoire

Pensée aussi aux morts covid et à leur proches. Ni oubli ni pardon envers les coupables et ceux qui ont couvert le mensonge.

Et enfin Ni oubli ni pardon envers ceux qui, comme the guardian ou wikipédia, s’attèlent à classer les medias comme skynews-australia dans les adeptes de la théorie du complot, comme ultime tentative de consolider le mur en carton.

Voici la traduction de l’article de SkyNews qui rapporte les propos d’un haut responsable américain :

Un haut responsable du ministère américain de la Santé, qui a conspiré avec Anthony Fauci pour minimiser les accusations sur le fait  que le Covid-19 proviennent d’un laboratoire de Wuhan, affirme que les leçons de l’épidémie n’ont pas été tirées et met en garde contre le risque qu’une autre pandémie émerge à cause d’expériences à haut risque. Ce haut responsable a révélé qu’il reste éveillé la nuit, angoissé par la chaîne d’événements qu’ils ont déclenchés.

L’ancien secrétaire adjoint chargé de la préparation et de la réponse au ministère américain de la Santé, le Dr Robert Kadlec, a déclaré à Sky News qu’il se sentait obligé de révéler les discussions confidentielles qu’il avait eues avec le Dr Fauci, le principal conseiller américain en matière de maladies infectieuses, sur la manière de détourner l’attention de la fuite du laboratoire Wuhan.

Dans sa première interview télévisée, diffusée sur Sky News mardi soir, il met également en garde contre une autre pandémie émergeant d’expériences à haut risque dans les laboratoires du monde entier, affirmant que les leçons de Covid-19 n’ont pas été tirées.

« Les outils scientifiques permettant de réaliser ce type de biologie synthétique, cette recherche risquée ne se limite pas à la Chine. Cela se produit aux États-Unis. Cela se produit dans de nombreux endroits dans le monde et nous pourrions avoir une autre de ces (pandémies) si nous n’acceptons pas cela », dit-il dans un nouveau documentaire de Sky News « Ce qui s’est réellement passé à Wuhan, le prochain chapitre ».

Le Dr Kadlec, qui a travaillé pour les présidents George W. Bush et Donald Trump et a dirigé les efforts américains pour développer un vaccin contre le Covid-19, a déclaré que son intention, en minimisant initialement une fuite de laboratoire, était d’encourager la coopération avec la Chine dans les premiers jours de l’épidémie.

Mais le déni public de la théorie des fuites en laboratoire s’est intensifié et la proposition que Covid aurait pu fuir de l’Institut de virologie de Wuhan s’est transformée en complot.

« Oui, nous avons eu quelques succès, nous avons eu d’autres non-succès, c’est-à-dire des échecs. Et une partie de la raison pour laquelle je suis toujours déterminé à essayer d’aborder ce sujet est au moins pour dire qu’il est important de savoir maintenant ce qui s’est passé.

Le Dr Kadlec a estimé que Fauci avait d’autres raisons de vouloir détourner l’attention de l’Institut de virologie de Wuhan. Il a déclaré que Fauci s’inquiétait probablement de sa réputation s’il s’avérait que son agence avait financé la recherche sur le gain de fonction qui a déclenché l’épidémie.

Des agences américaines, dont celle du Dr Fauci, finançaient la recherche à l’Institut de virologie de Wuhan via une organisation à but non lucratif, EcoHealth Alliance.

Lorsqu’on lui a demandé s’il se présentait devant les caméras pour demander pardon, le Dr Kadlec a répondu qu’il se sentait de l’obligation de parler au public des discussions qui s’étaient déroulées à huis clos aux plus hauts niveaux du gouvernement américain.

« J’ai juste l’impression que c’est une obligation de dire ce qui s’est passé. Et je pense qu’il faut essayer de décrire cela de manière factuelle, non pas pour obtenir de la sympathie ou du pardon, mais plutôt pour dire de manière factuelle, voici ce qui s’est passé. C’est ce que nous avons essayé de faire. Est-ce que ça a marché ? Non. En fait, ce que vous regrettez, c’est que les effets en aval soient des choses que nous ne pouvions pas contrôler », a-t-il déclaré.

Les effets en aval incluent des scientifiques qui ont publiquement insisté sur le fait qu’une fuite en laboratoire était un complot, même s’ils avaient autrefois admis que c’était une possibilité.

Des courriels privés et des messages diffusés plus tôt cette année révèlent que le groupe de scientifiques réunis par le Dr Fauci a d’abord estimé en privé qu’il était impossible de distinguer, à partir de la séquence génétique du virus lui-même, s’il était naturel ou génétiquement modifié.

Mais le public a été amené à croire qu’il existait des preuves accablantes indiquant l’origine zoonotique du Covid-19.

Le Dr Kadlec a désormais consacré plus de 18 mois à examiner comment la pandémie a commencé, explorant à la fois l’hypothèse d’origine naturelle et la fuite en laboratoire. À la suite de son enquête approfondie, il estime s’être « rapproché » de la vérité.

Le Dr Kadlec souligne les recherches risquées sur les vaccins sur des animaux vivants menées par le scientifique militaire chinois Zhou Yusen, qui créait un vaccin contre le Covid-19 en octobre 2019.

Zhou Yusen est décédé vers mai 2020, trois mois après avoir déposé son brevet pour le vaccin Covid le 24 février 2020, comme Sky News l’a révélé pour la première fois il y a deux ans en exclusivité mondiale.

« On aurait dit qu’il avait été censuré à cause de ce qui s’était passé. Nos preuves suggèrent que quelque chose s’est produit pendant qu’il effectuait son travail, ce qui, selon nous, était le moment où le virus est apparu pour la première fois. Et qu’il ait été tenu responsable ou non dans le cadre d’une procédure formelle, il était certainement mort en juillet (2020) », a déclaré le Dr Kadlec.

Lorsqu’on lui a demandé s’il était possible qu’il ait été tué pour avoir déclenché la pandémie, le Dr Kadlec a répondu : « C’est certainement possible, nous avons considéré cela comme une possibilité plausible, cependant, nous n’avions aucune preuve pour faire cette évaluation. »

SkyNews.