Apolline de Malherbe : le visage de la haine

« Je condamne l’ultra foutage de gueule des médias ! »

On pourrait résumer par cette réponse d’Eric Zemmour, la récente interview du président de Reconquête! par Apolline de Malherbe, la Patrick Cohen en jupe, de BFMTV.

Cette interview s’est inscrite dans la formidable opération de diversion lancée par la Macronie et assistée de la majorité des médias, après l’opération punitive de racailles de Romans-sur-Isère contre les jeunes du bal de Crépol.

Le jeune Thomas, 16 ans, avait payé de sa vie cette agression exécutée aux cris de :

On vient planter des blancs !

C’est cela l’événement majeur de cette affaire.

Mais il ne colle pas avec le narratif médiatique dont le but est toujours de minimiser, de cacher quand ils le peuvent, les exactions perpétrées par les immigrés ou personnes issues de l’immigration.

L’opération de diversion a consisté ici à ne plus parler de la mort de Thomas mais à monter en épingle un défilé de ce que les médias ont appelé l’ultra droite.

Certes, la petite centaine de manifestants était venue armée de battes de base-ball et de mortiers mais il n’y a eu aucune violence, aucune dégradation, excepté l’un d’eux déshabillé, menacé de morte et passé à tabac par les dite-racailles.

Apolline de Malherbe s’est faite la complice malhonnête et zélée de cette opération de diversion en consacrant 10 minutes et 47 secondes, c’est à dire exactement la moitié de l’interview au défilé de « l’ultra droite » comme vous pourrez en juger par la vidéo de l’interview en fin d’article.

Honnêtement, comparée à un défilé de militants sans aucune violence observée, la mort de Thomas aurait dû prendre au moins 99 % du temps de cette interview et non pas la moitié !

Eric Zemmour a résisté et n’est pas tombé dans le piège tendue par la journaliste militante en refusant de condamner le défilé de l’ultra droite mais au final, Apolline sort gagnante puisqu’elle a empêché Eric Zemmour de s’exprimer largement sur la mort de Thomas !

Il était fascinant d’observer le langage corporel et surtout le visage d’Apolline de Malherbe d’où rayonnait intensément la haine de son interlocuteur comme le montre ces quelques photos d’écran :

Vous me direz que c’est un spectacle assez habituel dans les rapports des médias avec Eric Zemmour, et dans une certaine mesure avec Marine Le Pen  !

Dans le même genre, vous avez Léa Salamé que j’ai déjà épinglée dans plusieurs articles dont celui-ci :

Léa Salamé : de la nausée au nirvana

article illustré par l’image suivante :

Voici la vidéo de l’interview d’Eric Zemmour :