J’ai une grande admiration pour le premier ministre hongrois Viktor Orbán à qui j’ai consacré plusieurs articles :
– Viktor Orbán fait peur aux élites occidentales
– Les leçons de Viktor Orbán
– Les leçons de Viktor Orbán
– Viktor Orbán règle ses comptes avec Bruxelles
– Viktor Orbán a l’outrecuidance d’agir comme
si la Hongrie était une nation souveraine
Tous ces articles témoignent du combat permanent que mène Viktor Orbán contre le piétinement des valeurs occidentales pratiqué par la Commission et le Parlement européens et particulièrement contre Ursula von der Leyen.
Les prochaines élections européennes, pour lesquelles est attendue une nette progression des droites patriotes, pourraient voir se constituer autour de Viktor Orbán, de Giorgia Meloni, et des partis de Marine Le Pen et Eric Zemmour, un pôle patriote qui pourrait infléchir fondamentalement la politique de Bruxelles, notamment dans le domaine de l’immigration.
Voici un article de Boulevard Voltaire qui annonce un des futurs combats de Viktor Orbán à Bruxelles :
Agriculture : Viktor Orbán s’oppose
à l’entrée de l’Ukraine dans l’UE
À la veille d’un Conseil européen sous haute tension, alors que l’Ukraine attend un signal favorable de l’Union européenne, Viktor Orbán a accordé un entretien au Point. Sa position quant à l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne est claire : il est contre « pour deux raisons : premièrement parce qu’ils ne sont pas prêts à négocier. Deuxièmement parce que nous, Européens, ne sommes pas prêts à les accepter comme membres à part entière. »
Il précise son propos : « Je suis pour élever le niveau de notre coopération, mais cela ne signifie pas l’adhésion. » Une adhésion qui mettrait à bas, selon lui, la politique agricole commune. « L’Ukraine est un grand pays, avec une agriculture importante. Si vous laissez cette agriculture entrer dans le système agricole européen, elle le détruira le lendemain. Sans transformer notre système de subventions agricoles, nous ne pouvons pas les laisser entrer. Les conséquences seront terribles. »
Il justifie ses positions par une analyse de l’économie de l’Ukraine : « La Hongrie est un pays voisin de l’Ukraine. Quoi que pensent les gens à Paris, à Bruxelles et à La Haye, nous savons exactement ce qui se passe en Ukraine. Le rapport de la Commission européenne attestant que, sur sept conditions préalables, quatre seraient déjà remplies, est tout simplement faux. » Il poursuit : « L’Ukraine est connue pour être l’un des pays les plus corrompus du monde. Nous ne pouvons pas prendre la décision d’entamer un processus de négociations d’adhésion. »
Le Premier ministre hongrois annonce par ailleurs une future alliance politique avec Giorgia Meloni au Parlement européen. Et se dit confiant pour les prochaines élections européennes : « Je pense qu’il est raisonnable d’espérer qu’il y aura un changement après les élections pour les nouveaux arrivants. »
Boulevard Voltaire.
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Une réponse à “Dieu merci ! Nous avons Viktor pour contrer Ursula !”
Comme d’habitude, les fous de l’europe telle que u v der layen ne s’interesse pas aux problemes et consequences agricole, et autres aspect economique qui auront une incidence sur la vie des gens.
Les peuples n’interesse pas l’ UE, heureusement des personnes encore censée et plus humaine le voit, tel que Horban.