Pour remplacer Elisabeth Borne, je pense à cette
« maire courage » qu’est Marie-Hélène Thoraval.
Après le mandat caricatural de cette gauchiste techno d’Elisabeth Borne, le langage clair de la maire de Romans-sur-Isère, dépouillé de toute langue de bois, ferait beaucoup de bien à la France … et aux Français !
Mais, ce qui serait peut-être possible, dans les démocraties du nord de l’Europe, ne l’est pas en France, tant la politique est codifiée, pour ne pas dire sclérosée, et donc incompatible avec des membres de la société civile.
Je veux partager ici un article de The EpochTimes rapportant une interview de la maire de Romans-sur-Isère sur BFM TV qui illustre bien sa mentalité et ses qualités :
« Ça a l’air d’être un vilain gros mot
de parler de racisme anti-blanc »:
la maire de Romans-sur-Isère veut en finir avec ce tabou
Victime d’une quatrième menace de mort, la maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, s’est exprimée dans Face-à-Face sur BFMTV et RMC, ce mercredi 3 janvier.
L’édile de Romans-sur-Isère a porté plainte quatre fois, face aux menaces de mort dont elle a fait l’objet, la dernière en date ayant été reçue très récemment. Sur deux des menaces, les auteurs ont d’ailleurs été interpellés et l’un d’eux – qui était déjà connu des services de police – a été condamné à 8 mois de prison ferme. Il avait notamment été impliqué dans des alertes attentat et s’était converti en prison, a souligné l’élue, avant d’aborder le thème controversé du racisme anti-blanc au micro d’Apolline de Malherbe.
Des soutiens de tous bords
Au regard de l’attaque de Crépol – survenue le 19 novembre dernier et au cours de laquelle le jeune Thomas Perotto a été tué d’un coup de couteau au thorax – la maire de Romans-sur-Isère a rappelé que la victime avait été assassinée par des individus ayant « des origines maghrébines », précisant d’ailleurs avoir donné les caractéristiques de l’une des personnes interpellées dans cette affaire.
L’édile, qui voulait au départ dénoncer le contexte de violence qui gangrène notre société, s’est finalement retrouvée érigée au rang de porte-parole de cette France « silencieuse » qui subit ces violences. Malgré les menaces de mort, la maire a indiqué ne pas regretter sa démarche et ne pas avoir peur. Elle a précisé avoir reçu un nombre important de soutiens depuis ses différentes prises de parole, aussi bien au sein de la population que de la part d’élus. Citant celui de David Lisnard, maire LR de Cannes, elle a aussi mentionné que d’anciens maires communistes l’avaient soutenue.
« Ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc » estime Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère pic.twitter.com/SYoV8scKPJ
— BFMTV (@BFMTV) January 3, 2024
Une autorité « mise à mal » et des « dynasties de délinquants »
Évoquant également la question de l’autorité au micro d’Apolline de Malherbe, l’édile a relevé la « mise à mal » de celle-ci, se demandant si ceux qui doivent exercer cette autorité avaient vraiment la possibilité de le faire sans être menacé, donnant l’exemple des enseignants. Déplorant un niveau de délinquance extrêmement fort « qui se manifeste au quotidien dans des formes qui ne sont plus acceptables », la maire a expliqué être face à des « dynasties de délinquants » puisque certains de ces jeunes sont la descendance de parents de délinquants.
Revenant sur l’attaque de Crépol et sur certains témoignages affirmant avoir entendu de la bouche des agresseurs des propos tels que « on vient taper du blanc », Apolline de Malherbe a signifié que la famille de Thomas avait demandé que la mention de « racisme anti-blanc » soit prise en compte par la justice, affirmant que ce n’était pas le cas actuellement. Sur ce thème, la maire de Romans-sur-Isère a stipulé qu’il n’y avait pas « une France » contre « une autre France » mais « seulement une frange de population », à l’intérieur de laquelle des individus français refusaient « d’en adopter les principes » et « d’en adopter les devoirs ». Recommandant à ceux qui sont Français mais à qui cela ne convient pas, de ne « surtout pas rester », elle a, au passage, abordé les « zones de non droit ». La maire ne voit pas « qui peut accepter, qui peut valider et qui peut donner caution » sur ces zones de non droit, alors que l’espace public « appartient à tout le monde ».
Il faut restaurer l’autorité partout, et que ceux qui doivent l’exercer, que ce soient les forces de l’ordre, mais aussi les enseignants, puissent le faire sans être menacés.
👉 Mon « Face à Face » de ce matin avec @apollineWakeUp sur @BFMTV et @RMCInfo.https://t.co/PbNhOs8y6K
— mh_thoraval (@MH_Thoraval) January 3, 2024
« Je suis désolée, il faut mettre les choses sur la table, tout simplement »
S’agissant de savoir comment distinguer les témoignages et comment distinguer ce qui relèverait du racisme, de la bagarre ou de l’opposition sur l’affaire de Crépol, l’élue estime que c’est justement « au juge de l’apprécier ». « Et pour l’apprécier, je dis que tout simplement, le fait de le retenir permettrait de l’apprécier, permettrait de discuter, de l’évaluer et de l’objectiver tout simplement », a-t-elle affirmé.
Estimant qu’à un moment donné il faut « dire les choses », elle a mentionné que « finalement, ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc », comme si ce terme était « tabou ». « Il faut arrêter avec les tabous ! Parce que ce n’est pas avec des tabous qu’on construit une société. Je suis désolée, il faut mettre les choses sur la table, tout simplement », a-t-elle conclu.
Emmanuelle Bourdy pour The EpochTimes.
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Une réponse à “J’ai une idée de premier ministre pour la France !”
Moi aussi j’ai mon idée, je verrais bien Michel Onfray, j’aime ses convictions, ses analyses toutes argumentées sont claires et à la portée de tous. Il comprend les problèmes des Français, les analyses avec lucidité. Il n’est pas soumis, il a une parfaite élocution, du charisme, malheureusement je ne pense pas qu’il soit choisi, il est trop bien pour la macronie, il se murmure que ce serait Le maire (l’endetteur à 3000 milliards) le traitre prétentieux et arrogant, rappelez-vous en 2016 lors des primaires de la droite la raison qu’il a donné de son échec « Mon intelligence est un obstacle », « Mon problème, c’est que j’ai les yeux trop bleus pour la télévision ». De plus il semble que sa femme avait exactement le même profil que madame Fillon, ça pourrait ressortir. De toute façon tout ceux qui sont proches de la macronie son mauvais et devrait être rejeté. Quand à l’élection de 2027 prions pour qu’aucun macroniste ne soit choisi, que ce soit philippe et ses vaccins, darmanin et ses mensonges, le maire et l’économie qu’il a mis à ras des pâquerettes, …. Il faut rejeté tous ceux qui ont lécher les bottes de macron