Les cerveaux bouillonnent « grave » à Davos !
Et on peut légitimement se demander s’il n’y a pas là une des causes majeures du réchauffement climatique !
Alors que les activités humaines telles que l’énergie, les transports et l’industrie représentent 90 % des émissions de CO2 dans le monde, les globalistes fous de Davos pointent la responsabilité des tomates, des carottes et des radis-18 jours, que vous cultivez dans votre bout de jardin !
Vous ne me croyez par ? Alors lisez ci-dessous la traduction d’un article paru dans NewsAddicts.com qui rapporte la nouvelle lubie de Davos :
Le WEF met en garde contre les aliments cultivés sur place qui provoquent le « changement climatique » et exige leur interdiction
Selon une étude récente du WEF, des chercheurs auraient découvert que les aliments cultivés sur place « détruisent la planète ».
En conséquence, le WEF et d’autres fanatiques mondialistes du climat exigent désormais que les gouvernements interviennent et interdisent aux individus de cultiver leur propre nourriture afin de « sauver la planète » du « réchauffement climatique ».
La recherche a indiqué que le recours aux produits du jardin à la table entraîne une empreinte carbone bien plus importante que les pratiques agricoles conventionnelles, telles que les fermes rurales.
Cette recherche, menée par des scientifiques financés par le WEF de l’Université du Michigan, a été publiée dans la revue Nature Cities.
L’étude a examiné la quantité de dioxyde de carbone (CO2) produite lors de la culture de produits alimentaires dans différents types de fermes urbaines.
L’étude a révélé qu’en moyenne, une portion d’aliments issus de fermes traditionnelles crée 0,07 kilogramme (kg) de CO2.
Parallèlement, l’impact sur l’environnement est presque cinq fois plus élevé, soit 0,34 kg par portion pour les jardins urbains individuels, selon l’étude.
Le premier auteur du journal, Jake Hawes, a déclaré :
Le contributeur le plus important aux émissions de carbone sur les sites d’agriculture urbaine que nous avons étudiés était l’infrastructure utilisée pour cultiver la nourriture, des plates-bandes surélevées aux abris de jardin en passant par les sentiers, ces constructions avaient beaucoup de carbone investi dans leur construction.
L’étude a recruté 73 sites d’agriculture urbaine dans le monde, dont certains en Europe, aux États-Unis et au Royaume-Uni, et a mené une évaluation complète du cycle de vie de l’infrastructure, de l’irrigation et des approvisionnements du site.
Hawes et ses coéquipiers ont regroupé les sites d’agriculture urbaine en trois catégories : les jardins individuels ou familiaux, y compris les jardins familiaux ; les jardins collectifs, tels que les jardins communautaires ; et des fermes urbaines plus grandes et à vocation commerciale.
Les chercheurs ont également découvert d’autres facteurs « dangereux » comme un compost mal géré et d’autres intrants synthétiques.
Ils ont en outre indiqué que les fruits étaient 8,6 fois plus respectueux de l’environnement lorsqu’ils étaient cultivés de manière conventionnelle par rapport à ceux d’une ville, tandis que les légumes étaient 5,8 fois meilleurs pour l’environnement lorsqu’ils étaient laissés aux professionnels.
Cependant, ils ont constaté que certaines cultures ont une empreinte carbone plus faible que d’autres et peuvent aider les citoyens à la main verte à rendre leur parcelle ou leur jardin meilleur pour l’environnement.
Ils ont ajouté :
Les tomates et les asperges cultivées dans le pays ont une empreinte carbone inférieure à celle de l’agriculture conventionnelle.
Hawes a déclaré :
Nous constatons que les agriculteurs et les jardiniers urbains peuvent réduire leur impact net en se concentrant sur les aliments à haute teneur en carbone dans l’agriculture conventionnelle. Deux exemples de ce phénomène que nous identifions sont les cultures cultivées en serre, dont de nombreuses tomates, et les cultures qui arrivent souvent par avion de toute la planète, comme les asperges.
De plus, les deux tiers de l’empreinte carbone des jardins familiaux sont créés par le jardin lui-même, selon leurs données. Ils ont suggéré aux jardiniers de construire leur site avec des matériaux recyclés ou de seconde main, dans la mesure du possible, les émissions étant réduites de plus de moitié si les déchets d’autres quartiers d’une ville étaient valorisés pour les lits et les hangars, par exemple.
Autrefois, les jardiniers urbains n’hésitaient pas à verdir leurs espaces intérieurs. D’une part, cela réduit les angoisses de la vie en ville et le stress émotionnel. De plus, pouvoir prendre soin des plantes à l’intérieur de leurs bureaux et de leurs maisons pourrait faire partie de la décoration intérieure et améliorer légèrement la qualité de l’air.
Mais les alarmistes du climat ne vont pas rassurer les citadins. Selon eux, le verdissement des espaces intérieurs peut également avoir un coût environnemental, citant les émissions de carbone des camions qui transportent des plantes, des pots en plastique et des engrais synthétiques. Ceux-ci, disent-ils, sont fabriqués à partir de pétrole et la récolte de composants du sol comme la tourbe peut « détruire les habitats à formation lente ».
Susan Pell, directrice du Jardin botanique américain de Washington, D.C., a minimisé cette histoire et a déclaré que les individus devraient toujours pouvoir cultiver des plantes en pot.
Il leur suffit de suivre certains de ses conseils pour minimiser les « dommages environnementaux du jardinage d’intérieur ».
Il s’agissait notamment de rechercher des plantes locales via des clubs de jardinage en ligne pour économiser de l’argent.
Elle a également encouragé les jardiniers à acheter des pots, des cisailles, des truelles, des supports à plantes et d’autres outils localement et à penser à la durabilité, en recommandant des pots en terre cuite et en céramique.
Pell a en outre recommandé d’opter pour un sol durable et, selon elle, le composant du sol le moins durable est la tourbe, une riche substance brune formée à partir de matière végétale partiellement décomposée au fond des tourbières et autres zones humides.
La tourbe, précurseur de la formation du charbon, libère du dioxyde de carbone lors de sa récolte.
Elle a déclaré :
Cela prend des centaines d’années, voire des milliers d’années, pour se former. Nous creusons ces tourbières et éventuellement, elles seront toutes exploitées.
Chaque petite chose que nous faisons s’additionne collectivement, donc si nous faisons tous ces choses, l’impact collectif est assez important
De plus,
Le fait d’essayer d’être plus durable dans un domaine de votre vie quotidienne … vous aide à être attentif dans d’autres domaines.
En conclusion
Il faut relire les deux citations juste avant cette conclusion pour voir cette moraline à deux balles qui guide ces chercheurs.
Ont-ils pris en compte tout le parcours d’une tomate venant de l’autre bout du monde, emballée, stockée, commandée, livrée, mis en étalage, puis retransportée jusqu’au domicile du consommateur ? On aimerait en être sûr !
Je suis désolé, je ne parviens pas à me mobiliser pour sauver la planète quand je vois l’a Commission européenne – soit disant en pointe dans l’écologie – signer à tour de bras des accords de libre-échange avec des pays lointains, Chili, Nouvelle Zélande, qui vont augmenter les transports maritimes et aériens au lieu de favoriser les circuits courts !
On a le sentiment que tous ces irresponsables ne pensent qu’à contraindre les citoyens mais en refusant de toucher aux bénéfices des grandes multinationales.
Je me demande si je ne vire pas un peu communiste, moi …
Quand je verrai mettre en place une taxe carbone sur les transports pour favoriser les échanges locaux, alors seulement, je réfléchirai à ma propre emprunte carbone !
En récréation, j’ajoute une des chroniques savoureuses de Campagnol qui évoque ces potagers et ces poulaillers pollueurs :
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2 Réponses à “Davos a encore frappé ! Haro sur les potagers individuels !”
Klaus Schwab est ne en 1938. a Ravensbourg en Allemagne. C est le fils de Euger Schwab qui était un conseiller d’Adolf Hitler. pendant la seconde guerre mondiale.
Mais Schwab est aussi connu pour être le fondateur des Young Global Leaders de Davos, en 2004, qui comptent des noms bien connus comme ceux de :
Le Président français, le ler Ministre canadien, le ler ministre britannique, quelques arrivistes,
mais pas seulement.
Car vous aurez la désagréable surprise d’y trouver aussi des comédiens comme Léonardo Di Caprio, mais aussi, Charlize Theron, et même le spationaute Thomas Pesquet.
Je tiens à rappeler que celui-ci a des ambitions démesurées sur le monde d’après. C’est à dire, celui du mondialisme qui ne s’applique que sur les ruines des pays et le vol de tout le patrimoine national et la
ruine de la nation, qu’il compte gouverner par la peur et la répression.
D’où le chaos qu’est en train d’installer Macron, dans notre pays, pour proclamer la loi martiale, prendre le Pouvoir par la force, et en finir une fois pour toutes, avec la République ! Il veut instaurer chez nous, une dictature, comme en Chine.
Car il ne faut pas s’y tromper, le livre « The Great Reset » qu’a sorti Schwab en 2020, est une version expurgée du plan initial de ce tyran pédophile et complètement fou.
Cette version publique du roman, n’est qu’une manière d’amener les esprits à accepter de vivre demain, dans un monde déshumanisé où le wokisme, la cancel culture, le progressisme, le transhumanisme, le communautarisme, la répression policière et la pédophilie seront les axes principaux.
En clair, vous vivrez malheureux, vu que l’Etat vous aura tout volé. Votre maison sera un HLM. Vous n’aurez plus de voiture, ni de loisirs. Vous mangerez des insectes et des
excréments. Et vos enfants seront les sex-toys de cette élite-mondialiste, qui elle, par contre, aura une vie de rêve.
Voilà la vie que ces pourritures vous réservent. Car les YGLD n’ont aucun état d’âme, aucune conscience, donc aucune morale, ni aucune pitié.
Ce sont des monstres à visage humain, animés des pires intentions qui soient. Mais de cela, vous vous rendrez compte bien trop tard Car ils savent par dessus tout, masquer les apparences et paraître ce qu’ils ne sont pas.
Ils maîtrisent de main de maître l’ingénierie sociale, et la psychologie est leur meilleure arme (novlangue, éléments de langage, inversion accusatoire…).
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L’emprunte carbone…
L’UE importe des produits provenant du bout du monde alors qu’on les a chez nous… Emprunte carbone x 10 000 X par le tonnage de ces produits.
Ces pseudo scientifiques, preferent s’attaquer aux particulier qui a du mal a vivre, fait pousser des plantes naturellement,
et laisse la nature suivre son cours,
une plante qui pousse ne fait pas d’emprunt carbone au sens ou elle pollue,
comme la nature, cela suit son processus naturel.
En URSS, il etait interdit d’avoir un lopin de terre trop grand, comme toute les dictatures, ces ordures n’aime pas que le peuple vivent sereinement et ils s’emploient a trouver toutes sortes d’exemple meme les plus debiles, pour uniquement contraindre, empecher les gens de vivre le plus normalement possible.
Puisque, parait il, ils veulent abaisser le niveau de l’emprunte carbone, ils devrait s’attaquer aux problemes en afrique, en asie, de surpopulations,
ces aniamaux du giec et de chez davos, s’attaquent non pas aux vrais problemes, ( comme tous les menteurs ) mais a des elements qui detruisent le niveaux de vie des gens, dont ils se foutent completement.
On a bien compris, que les animaux de chez davos, exploitent toutes les combines, pour creer une maltraitance du peuple, combinée avec diverses politiques incoherentes, dont ils sont quelques fois les maitres d’oeuvre en sous main.
On est loin du « sentiment » auquels ils ont imposés ce langage pour parvenir a enlever toute la force d’une observation d’analyse normale,
le sentiment, reduit l’observation, l’analyse, et est tres facilement retournable contre celui qui a le sentiment de…
Imposer un langage, de quelques facon que se soit, du moment ou il empeche, reduit, limite les analyses, ses effets, sa profondeur, sa finesse, et qui est utilisée pour limiter les arguments des opposants,
s’appelle au mimimum une fourberie, une contrainte.
Quand a davos, qui est le fils du conseiller d’hitler, le simple bon sens, c’est de ne pas l’employer pour l’UE, ou alors c’est que se sont, soient des imbeciles, soient des collabos, ou des laches.