Oui, au moins 70 % des Français le confirment :
Macron n’a jamais eu, ni un mot,
ni un acte, contre l’immigration !
Le titre de cet article est repris d’un propos tenu dans les colonnes de … l’Humanité !
Il confirme ainsi qu’il n’est qu’un bon petit soldat d’Ursula von der Leyen et de sa doctrine immigrationniste !
Il y avait 120 ans, qu’un président de la République ne s’était pas exprimé dans ce journal communiste ! Une transgression de plus à mettre au passif de Macron !
Dans les Valeurs de la République, dont se réclament tant les progressistes, n’y a t-il pas la nécessité pour le Président de la République d’oeuvrer à l’union du peuple français ?
Pourtant, dans cette interview à l’Humanité Macron stigmatise au moins 10 millions d’électeurs français en diabolisant une nouvelle fois le Rassemblement national et Reconquête! :
Je n’ai jamais considéré que le Rassemblement national ou Reconquête! s’inscrivaient dans l’arc républicain.
Une déclaration contredisant celle de son premier ministre qui, il y a à peine quelques jours, affirmait que l’arc républicain, c’était tout l’hémicycle du Palais Bourbon !
Mais la Macronie n’est pas à une contradiction, voire à un reniement près !
Voici un article d’Ivan Rioufol paru dans Causeur qui pointe ces incohérences de la Macronie :
Immigration, « arc républicain »: mettez-vous d’accord !
L’immigration reste, pour Emmanuel Macron, un sujet intouchable. « Je n’ai jamais eu un mot contre l’immigration », se flatte le chef de l’État, ce lundi, dans le journal communiste L’Humanité. Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex, rejoint de son côté le Rassemblement national.
Si Emmanuel Macron justifie néanmoins, devant le quotidien communiste, son opposition de principe à l’immigration clandestine, il dédaigne les inquiétudes populaires sur les entrées massives, soutenues également par ses intervieweurs.
Je n’ai jamais considéré que le RN ou Reconquête s’inscrivaient dans l’arc républicain,
précise-t-il en rappelant, à propos du RN:
J’ai toujours considéré, comme avec la loi immigration, que les textes importants ne devaient pas passer grâce à leurs voix.
Pour une fois, le propos est clair. Il consiste, d’une part, en la négation des difficultés nées d’une immigration légale qui fait venir près de 500 000 personnes chaque année, et, d’autre part, en la diabolisation de ceux qui alertent sur la fragmentation en cours de la société.
Toutefois, cet abus de pouvoir n’est pas propre au président. Il est l’expression d’un système défendu par une oligarchie protégée par ses juges.
Tous cherchent à étouffer les craintes des Français qui vivent une dépossession. C’est le président de la Cour des Comptes, l’ancien socialiste Pierre Moscovici, qui a reporté d’autorité au 4 janvier dernier un rapport sur l’immigration qui aurait pu éclairer le débat parlementaire. C’est le président du Conseil Constitutionnel, l’ancien socialiste Laurent Fabius, qui a présidé à la décision du 25 janvier de rejeter les amendements déposés par la droite pour durcir la timide loi immigration. Le peuple, premier concerné par les bouleversements qui accablent son pays, est tenu à l’écart des décisions prises par d’autres.
Dans ce contexte, le témoignage de Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex, le gendarme théorique des frontières de l’Union européenne, vient compléter le descriptif idéologique du mécanisme immigationniste qui s’est généralisé au niveau européen. Ce haut fonctionnaire, qui a rejoint ce week-end Jordan Bardella (RN) sur sa liste aux européennes comme numéro 3, a dirigé durant sept ans la structure de contrôle des entrées en Europe. Il avait été nommé à ce poste sur proposition du socialiste Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur. Leggeri explique pourquoi il a dû démissionner en 2022 sous les pressions du gouvernement, de la Commission européenne et de multiples ONG lui reprochant sa trop grande fermeté. Il cite une conversation de 2019 avec la nouvelle commissaire européenne, Ylva Johansson. Elle lui explique :
Votre job, c’est de faire rentrer les migrants et de les accueillir parce qu’ils viennent par amour. Et que ça vous plaise ou non, nous sommes un continent vieillissant et donc vous devez les laisser entrer.
Depuis, le Pacte sur l’immigration et l’asile a décidé de répartir les migrants dans l’UE sous couvert d’une amende de 20 000 euros par migrant refusé par un pays.
Mais comment ces « élites » peuvent-elles croire qu’elles vont imposer leurs lubies par ces méthodes anti-démocratiques ?
La débâcle leur est promise.
Ivan Rioufol pour Causeur.
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3 Réponses à “« Je n’ai jamais eu un mot contre l’immigration ! »”
L’arc republicain, ca veut rien dire… c’est de l’enfumage pour eviter de parler sur du concret, sur de la realité…
C’est bien le systeme gochiste debile qui se fout de tout le monde,
mais qui se protegent avec la mascarade par des mots, des idées nouvelles, des expressions qui conduisent a rien, sinon qu’a faire perdre du temps ou carrement enfumer le peuple.
momo 1 er le roi de l’immigration, alias macron le pseudo president contre l’immigration ??? jamais de la vie !
la citation de Ylva Johansson est révélatrice ! ou comment des idéologues illuminés et d’une naïveté confondante mettent en pratique le « grand remplacement » !