Ce n’est pas l’ENA qu’il fallait dissoudre mais Sciences Po !

Publié par le 30 Mar, 2024 dans Blog | 1 commentaire

Ce n’est pas l’ENA qu’il fallait dissoudre mais Sciences Po !

C’est à partir du mandat de Richard Descoings à la tête de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) que cette mémorable et prestigieuse institution a commencé à sombrer pour devenir aujourd’hui le temple de l’intolérance, du wokisme et de la propagande pour la Palestine.

On ne s’étonnera pas que Richard Descoings doive sa nomination à la tête de Sciences Po en 1996 au très progressiste Alain Juppé, alors premier ministre.

Le mandat de Richard Descoings reste marqué par sa décision d’appliquer la discrimination positive à l’entrée à Sciences Po par la création d’une véritable filière d’entrée réservée aux élèves issus des zones d’éducation prioritaires (ZEP).

Malgré la condamnation de cette initiative par le Conseil constitutionnel, Richard Descoings réussit à maintenir ce type de recrutement !

Le mandat de Richard Descoings fut stoppé quand on le retrouva mort dans une chambre d’hôtel de Manhattan après qu’il ait eu recours aux services de deux « escort boys » !

Voici un article de l’IREF qui dénonce la dérive actuelle de Sciences Po, contaminée par l’idéologie transgenre et l’obsession pour la cause palestinienne :

Sciences Po, l’école des propagandes propalestiniennes et transgenre

Etre directeur de Sciences-po comporte depuis quelque temps des risques certains. L’un d’eux a été retrouvé mort dans une chambre d’hôtel de Manhattan, un autre a été accusé de violences conjugales et a démissionné. Le poste semble maudit. L’école elle-même, autrefois un établissement d’élite, l’est peut-être aussi. Cela fait maintenant des années qu’elle s’est lancée dans une politique très favorable à la diversité et qu’elle a ouvert ses portes aux jeunes issus des banlieues. Je me souviens que, lorsque j’y étais élève dans les années 1990, l’examen d‘entrée était difficile. Il a été peu à peu remplacé par un dossier tenant plus compte du milieu social des candidats que de leurs aptitudes (les régimes communistes réservaient ainsi une bonne moitié des places dans les universités aux jeunes ayant, selon l’expression officielle, des « origines sociales saines »). La discrimination positive s’est substituée au test des connaissances et l’écriture inclusive est devenue la norme. Les conséquences n’ont pas tardé à se faire sentir : baisse du niveau, renommée de l’école ternie, départ de certains enseignants et élèves, gangrène gauchiste. Les sondages montrent d’ailleurs que Jean-Luc Mélenchon est en tête du hit-parade des hommes politiques dans les salles et les amphis… Il ne fallait donc pas s’étonner de la mobilisation pro-palestinienne et de la Semaine de la Palestine organisée récemment. NI du « Mois de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion » à l’occasion de la « Journée internationale de la visibilité trans ». A cette occasion la bibliothèque de l’école a diffusé sur les réseaux une sélection (voir l’image plus bas) de livres et articles de revues disponibles « portant sur l’histoire des transidentités, l’évolution de la place des minorités transgenres dans la société et les discriminations dont elles sont victimes, en France et dans le monde. »

Les élèves ont le droit d’avoir des opinions politiques mais pas celui d’occuper des amphithéâtres et exclure les étudiants juifs. Et l’école ne devrait en aucun cas faire de la propagande, quelle qu’elle soit.

Pauvre Sciences-po !

Nicolas Lecaussin pour l’IREF.

Merci de tweeter cet article :





Une réponse à “Ce n’est pas l’ENA qu’il fallait dissoudre mais Sciences Po !”

  1. A quand l’asile ?

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *