Il est l’ennemi public numéro 1 de l’Union européenne et particulièrement d’Ursula von der Leyen !
Je parle de Viktor Orbàn !
Le premier ministre hongrois incarne le monde d’avant !
Ce monde où le wokisme n’existait pas, ce monde dans lequel les hommes ne pouvaient tomber enceints, ce monde où les pays avait le droit de se protéger de l’extérieur grâce à des frontières reconnues de tous !
Ce monde qui savait résister aux menaces extérieurs comme l’islam radical !
Viktor Orbàn n’a pas manqué de réagir à l’adoption par le Parlement européen du nouveau Pacte sur la migration et l’asile qui organise la répartition des migrants dans l’ensemble des pays européens …
Voici un article de France-Soir consacré à Viktor Orbàn et à sa croisade contre la politique pro-immigration de l’Europe menée par Ursula von der Leyen :
Nouveau pacte européen sur la migration :
Viktor Orbàn critique Bruxelles et promet de
se battre contre “l’empire de George Soros”
Adopté le 10 avril dernier par le Parlement européen, le nouveau Pacte sur la migration et l’asile fait sortir le Premier ministre hongrois, Viktor Orbàn, de ses gonds. Mardi dernier, devant des eurodéputés, il a critiqué les textes, affirmant que leur adoption fait partie du plan du milliardaire George Soros. Regrettant que le vote ne permette pas le véto des États membres, il a dénoncé un “chantage politique” et affirmé que Budapest “continuera à se battre”. Quelques jours plus tard, devant les membres du parti de Fidesz, il a appelé les siens à prendre le contrôle de Bruxelles lors des prochaines européennes, prévues en juin. « Non à l’immigration, à l’affirmation de genre, et à la guerre« , a-t-il martelé.
Le Parlement européen a adopté le 10 avril dernier dix textes législatifs, neuf règlements et une directive, visant à réformer la politique européenne en matière de migration et d’asile. Ce “Pacte sur la migration et l’asile” énonce de nouvelles mesures, qui permettent, selon l’UE, de traiter plus rapidement les demandes d’asile, d’améliorer l’identification des migrants à l’arrivée et qui octroie aux États membres “la liberté” de choisir entre “assumer la responsabilité des demandeurs d’asile, apporter des contributions financières ou fournir un soutien opérationnel”.
La Hongrie “continuera à se battre”
En décembre 2023, peu après un accord entre le Parlement européen et les États membres, la Hongrie exprimait ouvertement son rejet du nouveau Pacte, frustrée de ne pas pouvoir opposer son véto. Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise avait alors affirmé :
Nous rejetons ce pacte migratoire avec force. Nous ne laisserons entrer personne contre notre volonté .
Mardi dernier à Bruxelles, le Premier ministre Viktor Orbàn s’adressait à des parlementaires européens pour leur réitérer sa position, sur le fond et sur la forme :
La question la plus importante concernant le Pacte sur la migration et asile de l’UE est de savoir si ceux qui souhaitent venir en Europe peuvent rester sur le territoire de l’UE pendant le traitement de leur demande ou s’ils doivent attendre hors des frontières de l’UE jusqu’à ce qu’une décision soit prise.
La mise en application des dix textes adoptés le 10 avril dernier serait un échec, “si nous n’avons pas le courage de dire que tout le monde doit rester à l’extérieur des frontières pendant qu’une décision est prise concernant leur demande (…) Cela ne fonctionnera pas”. De même concernant la procédure de vote. De l’avis de Viktor Orbàn, si ce Pacte “ne nécessite pas un soutien unanime, mais uniquement un vote majoritaire, la mise en oeuvre de ces textes sera bloquée”.
Il cite comme exemple la transition verte, qui “a échoué parce qu’elle est allée à l’encontre des évidences économiques et industrielles”. Rappelant les sanctions de la Commission européenne contre Budapest en raison de la “non-conformité” des “réglementations hongroises en matière de migration” avec le droit de l’UE, il a affirmé que son pays “a résisté et continuera de se battre”, malgré un “chantage politique”.
Orbàn en croisade contre “l’Empire de George Soros”
Ce Pacte, poursuit-il, n’est que le plan du milliardaire George Soros, originaire de Hongrie, dont l’organisation OSF n’est plus la bienvenue depuis 2018 et que Viktor Orban considère comme son “premier opposant”, le qualifiant de « très influente figure de l’ombre » qui cherche à compromettre, à travers ses soutiens aux migrants, la politique du parti de droite, Fidesz.
“Souvenez-vous que M. Soros a publié son plan en anglais dans un article sur Project Syndicate. C’est son premier point :
L’UE doit accepter au moins un million de demandeurs d’asile par an.
“Deuxièmement, il écrit qu’un ‘financement approprié est crucial’. Il propose d’émettre des euro-obligations à long terme pour financer la crise migratoire et la prise sociale des migrants à leur arrivée dans l’UE. L’autre point, très important pour la Hongrie car il implique le territoire hongrois directement, dit qu’il ‘faut établir des canaux sûrs pour les demandeurs d’asile, en commençant par les acheminer de la Grèce et l’Italie à leur destination finale’”, ajoute Orbàn.
Il affirme que le gouvernement hongrois “[se bat] contre une bande organisée, appelée Empire de George Soros, des ONG qui soutiennent quiconque qui transgresse notre système juridique et notre réglementation et qui financent des actions illégales contre notre nation”.
Lors du lancement officiel de la campagne du Fidesz pour les européennes de juin, vendredi dernier, il a évoqué, devant ses militants, ce nouveau texte sur l’immigration. Mais pas que. « Non à l’immigration, à l’affirmation de genre, et à la guerre« , a martelé Viktor Orbàn.
Nous ne voulons pas de la guerre et nous ne voulons pas que la Hongrie redevienne le jouet des grandes puissances. C’est pourquoi nous devons défendre la paix. Chez nous, à Bruxelles, à Washington, à l’ONU et à l’OTAN, je propose que nous prenions un engagement clair. Tant qu’il y aura un gouvernement national, la Hongrie n’entrera pas dans la guerre russo-ukrainienne du côté de qui que ce soit.
Pour cela, poursuit-il, il faut :
prendre le contrôle de Bruxelles, écarter les bureaucrates et prendre les choses en main. Si nous ne le faisons pas, ce n’est pas seulement l’Europe, mais aussi nous, les Hongrois, qui paierons le prix fort pour l’incompétence et l’impuissance des dirigeants de Bruxelles.
Pour que le nouveau pacte sur la migration et l’asile soit définitivement adopté, les mesures doivent être approuvées par le Conseil européen par un vote à la majorité qualifiée. Ceci prive alors les pays individuels de leur droit de veto. Le pacte entrerait alors en vigueur en 2026.
France-Soir.
Suivre @ChrisBalboa78
2 Réponses à “Non à l’immigration, à l’affirmation de genre, à la guerre”
nous aurions bien besoin de politiciens de cette trempe, hélas nous avons des LR pour défendre nos intérêts nationaux.
Le plus désolant c’est qu’ils se réclament du gaullisme, tout en affichant une allégeance totale à l’UE
Allégeance a la goche aussi.