Il n’y a pas plus sectaire qu’Anne Hidalgo et l’équipe qui l’entoure à la mairie de Paris.
Il y a quelques jours, la mairie avait fait pression sur un afficheur pour qu’il retire, des panneaux publicitaires de Paris, l’affiche pour la parution du livre Transmania.
Alors que cet ouvrage est, selon moi, d’utilité publique, puisqu’il défend l’intégrité physique des enfants, la mairie a ainsi justifié sa censure :
Cet ouvrage est transphobe et diffuse un discours de haine !
Après la censure, la propagande !
Avec une inconscience coupable ou au contraire, une provocation assumée, la mairie vient de lancer, sur les mêmes panneaux qu’elle avait censurés quelques jours avant, une campagne de publicité … pour l’euthanasie :
De quel droit, la mairie utilise t-elle, l’argent des contribuables pour un affichage politique ? C’est aussi condamnable que les subventions pour les ONG complices des passeurs de migrants en Méditerranée telles que SOS-Méditerranée !
Malheureusement, le Conseil d’État, dans une décision plus que jamais politique, vient de valider les subventions des collectivités locales aux ONG complices des passeurs de migrants (voir cet article).
Ce sera donc aux électeurs à sanctionner les responsables de ces collectivités …
Dans cet article de Boulevard Voltaire, Clémence de Longraye dénonce la politisation éhontée et le sectarisme de l’équipe d’Anne Hidalgo :
Propagande aux frais du contribuable : la mairie de Paris assure la promotion de l’euthanasie
C’est une affiche aux tons printaniers qui n’est pas passée inaperçue. Ces derniers jours, dans les rues de la capitale, des Parisiens ont découvert, sur différents panneaux publicitaires, une campagne de promotion de l’euthanasie. Sur un fond rose et jaune, se voulant sans nul doute apaisant et positif, l’affiche, siglée du logo de la ville de Paris, assume ainsi un message clair : « Choisir de mourir dans la dignité est un droit fondamental ». Alors que le projet de loi relatif à la fin de vie commence à peine son chemin parlementaire en commission spéciale à l’Assemblée nationale, cette campagne d’affichage en étonne plus d’un. Car désormais, la mairie de Paris, aux mains d’Anne Hidalgo depuis 2014, ne se cache plus et assume promouvoir son programme progressiste aux frais du contribuable.
Une campagne assumée
Car la campagne, qui indigne de nombreux internautes, est totalement assumée, et même revendiquée, par la ville de Paris. À ceux qui s’interrogent sur le droit de la mairie d’utiliser les affichages publics pour diffuser « un message de propagande en plein débat parlementaire », Jean-Luc Romero-Michel, adjoint au maire en charge des droits humains (sic), de l’intégration et de la lutte contre les discriminations, répond : « Oui, Paris assume de soutenir [ceux] qui veulent avoir le droit fondamental de choisir de mourir dans la dignité ! » Et il ajoute : « Paris est fière d’être toujours dans le camp de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ! »
Une revendication qui ne calme pas l’indignation des Parisiens et de l’opposition. Le collectif Alliance VITA, qui œuvre notamment contre l’euthanasie, dénonce ainsi une « publicité insidieuse de la mairie de Paris ». « Mourir dans la dignité, oui, ça passe par le soulagement des douleurs et par un accès universel aux soins palliatifs, certainement pas par l’euthanasie ou le suicide assisté », s’insurge l’association. Valérie Boyer (Les Républicains) abonde dans le même sens. « L’argent des impôts des Français et des Parisiens doit-il servir à imposer les opinions politiques sur la bioéthique de la mairie de Paris ? » interroge ainsi la sénatrice.
Absence de débat
Au-delà de cette affiche, la commune a décidé de consacrer sa prochaine « conférence capitale » [cycle de conférences lancé dans le cadre des Jeux olympiques pour « analyser les principaux défis sociaux », NDLR] au thème de l’euthanasie. Une nouvelle fois, le pluralisme des opinions ne sera pas respecté. En effet, cette conférence sera animée par Jean-Luc Romero-Michel qui, en plus d’être adjoint au maire, est également président d’honneur de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), association qui milite depuis de nombreuses années pour la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté. Sur scène se succéderont plusieurs personnalités, dont l’animatrice Marina Carrère d’Encausse, réalisatrice d’un documentaire sur l’euthanasie, les sénatrices Marie-Pierre de La Gontrie et Anne Souyris, à l’origine d’une proposition de loi sur la fin de vie, ou encore Loïc Resibois, militant pour l’aide active à mourir. Sans surprise, la mairie de Paris n’a pas jugé bon de convier à cet événement des opposants au projet de loi actuellement discuté à l’Assemblée.
Par ailleurs, il y a quelques semaines, la mairie de Paris exigeait le retrait d’affiches qui assuraient la promotion du livre Transmania, de Marguerite Stern et Dora Moutot – une enquête au cœur de l’idéologie trans -, au motif que cet ouvrage serait « transphobe ». Ainsi, comme le résume la journaliste Eugénie Bastié, sur X : « La mairie de Paris interdit les affiches d’un livre publié par une maison d’édition privée mais utilise les moyens publics pour faire des affiches en promotion de l’euthanasie. » Anne Hidalgo n’en est pas à son coup d’essai. L’édile a, en 2020, réclamé le retrait d’une campagne d’Alliance VITA qui appelait seulement à « respecter la vie », « respecter la paternité » et « respecter la maternité ».
Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.
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2 Réponses à “Mairie de Paris : censure et propagande à tous les étages”
De nombreuses personnes de pouvoir travaillent contre l’interet français.
hidalgo en fait parti et a fait de Paris, une ville poubelle.
Elle n’aime pas la france quand on agit ainsi, de meme quand on va a l’encontre de l’interet des enfants.
Ils ont renié leur pays et le peuple.
La goche, sectaire, impose sa propagande et nie le droit aux debat public…
Une pseudo leçon de democratie de la goche pourrie ou debile envers les honnetes gens qui voient la decadence et la debilitée se developper.