C’est un peu la marque des idéologies gauchisantes : elles partent toutes d’un bon sentiment mais, après application, tournent souvent au fiasco quand ce n’est pas au drame !
Prenez cette si belle idée de l’égalité et du partage qui sous-tendait le communisme … Combien a t-il fallu d’échecs se soldant par des millions de déportés et de morts pour que le mur de Berlin tombe et qu’on abandonne enfin l’idée ?
Concernant le socialisme, c’est probablement Winston Churchill qui en avait le mieux résumé le principe :
Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses.
La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère.
Concernant le progressisme, dernier avatar du socialisme bien-pensant, on n’a pas fini de mesurer l’étendue des calamités que cette idéologie apportera à l’Humanité.
Le mouvement #MeToo ne déroge pas à la règle des bonnes idées qui finissent mal avec une avancée féministe justifiée qui tourne à la mise en accusation générale de tous les hommes, accusés par certaines d’être tous des violeurs potentiels.
On se rappelle ces propos d’Alice Coffin :
Voici, une petite histoire proposée par notre ami Le Crapaud @Zoltan_47 qui illustre parfaitement les dérives du néoféminisme :
France, 2025
– Hé Claire ! Ça va ? Ça me fait vraiment plaisir de te rencontrer en vrai.
– Oui, ça fait bizarre après les heures qu’on a passées à discuter sur internet.
– Tiens, vas-y, assieds-toi.
– Oh, t’es galant, tu marques un point.
– J’espère que ça va continuer. Tu veux boire quelque chose ?
– Oui, pourquoi pas, je vais prendre…
– Tu vas prendre quoi ?
– Jules, te retourne pas, je crois qu’il y a un vieux qui nous regarde.
– Où ça ?
– Là, juste derrière.
– Ah lui ? Non, lui c’est juste mon avocat.
– Ton avocat ? Qu’est-ce qu’il fait ici ?
– Tu sais, tu peux me croire ou non, mais je suis un mec bien. Tout ce qui est consentement, ça me tient à cœur. Mais de nos jours, on peut se retrouver au tribunal pour pas grand-chose, alors je l’ai appelé pour qu’il me conseille sur ce que j’ai le droit de faire ou non vis-à-vis de toi.
– Ah ! C’est un peu bizarre, mais tu marques encore un point. Je vois que tu veux tout faire dans les règles de l’art. C’est trop romantique.
– Je suis quelqu’un de prudent. Tu veux quoi au fait ?
– Je vais prendre un spritz. Par contre, il va rester longtemps ton avocat ?
– Il restera aussi longtemps qu’il le faut.
– Je veux pas m’avancer ou que tu te fasses des idées, mais si jamais on a besoin d’intimité ?
– Oh t’inquiète pas pour ça, je l’ai payé pour qu’il soit également présent en cas de rapport sexuel. Enfin, si jamais tu acceptes de signer le contrat de consentement. T’inquiète pas, il ne fait que 42 pages.
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2 Réponses à “En amour, on n’est jamais trop prudent !”
Le monde perd la tete, et cela commence justement par le sommet qui ce corrompt et qui pourrie.
On en a quelques exemple, dans notre pays et ailleurs.
Les fous sont a la barre et ne compte pas le lacher avant de faire le plus de mal possible, mais sans qu’ils ce devoile trop pour pouvoir continuer
Alice Coffin a vraiment une vision particulière et manichéenne : il y a de la violence et tout le reste, mensonges, tromperies, également dans les couples de femmes, et prétendre le contraire c’est un mensonge éhonté.