Les moutons égorgés pendant l’Aïd ?
Les écolos n’en ont rien à cirer !

Publié par le 20 Juin, 2024 dans Blog | 1 commentaire

Les moutons égorgés pendant l’Aïd ? Les écolos n’en ont rien à cirer !

Les écolos et les néoféministes, qui se confondent souvent, forment les partis les plus insensés et les plus incohérents du paysage politique français !

On a vu tant de fois les néoféministes avoir des réactions à géométrie variable après des agressions sexuelles ou des viols suivant que l’agresseur était blanc ou racisé.

Quand aux écolos qui prennent tant soin de nos amis les bêtes, ils ne bougent pas un doigt quand des milliers de moutons sont massacrés dans des conditions innommables à l’occasion de la fête de l’Aïd.

Mais, mise à part Brigitte Bardot, qui se soucie du sort de ces ovins ?

Le Club de Valeurs actuelles a consacré un article à des témoignages de personnes dénonçant ce massacre des moutons :

« Les autres années je n’ai rien dit. Mais cette année j’en ai eu assez » : ces moutons égorgés sauvagement pendant l’Aïd

Valeurs actuelles a recueilli le témoignage de plusieurs personnes ayant dénoncées des cas de maltraitance animale le jour de l’Aïd. Un phénomène qui se reproduit chaque année, confie une source policière.

Ces moutons égorgés sauvagement pendant l’Aïd. © Twitter Marie-Hélène Thoraval

Comme chaque année, la fête musulmane de l’Aïd a donné lieu à des incidents liés à la maltraitance animale ou au trafic de bétail. Plusieurs sources policières indiquent à Valeurs actuelles qu’une note avait d’ailleurs été transmise en amont dans certains services pour anticiper ces incidents et connaitre les codes de procédures à associer. « Cela se fait depuis des années » indique un policier.

Et de fait, cette année encore, des incidents liés aux traitements des animaux, et à leur commerce, ont émaillé l’Aïd. Ce fut le cas par exemple à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), à hauteur du parc départemental des Lilas. Un riverain a appelé la police vers 14h30 pour signaler deux moutons morts sur une route en bas de chez lui. « Ils étaient tout gonflés, donc ils devaient être morts depuis un petit moment » indique ce dernier. « À mon avis, il doit s’agir d’un vol, ou en tout cas d’un trafic. Ils ont dû transporter trop de moutons, deux sont morts durant le trajet et ils ont voulu s’en débarrasser ». Aucun signe d’identification, pourtant obligatoires, n’ont été trouvés sur les deux bêtes, ce qui ne permet pas de savoir leur provenance.

Un riverain a appelé la police pour signaler deux moutons morts sur une route en bas de chez lui.

À Colombes (Haute-Seine), la police a été appelée pour deux moutons attachés par les pattes dans la courette d’un pavillon. Le requérant, que Valeurs actuelles a pu contacter et qui souhaite rester scrupuleusement anonyme, de peur de représailles, indique avoir entendu les bêtes au petit matin. « Les autres années, précise-t-il, je n’ai rien dit, tout comme les autres voisins qui ne veulent pas d’histoire avec ces personnes. Mais cette année j’en ai eu assez, je n’avais pas envie d’entendre les moutons crier pendant qu’ils se font égorger ».

Selon les informations obtenues de sources policières, un homme de confession musulmane avait acheté ces deux moutons de façon opaques et les avaient placées chez son père pour les égorger lors de l’Aïd. Les deux bêtes sont restées toute la nuit, sous la pluie notamment, attachée par leur pâte comme le montre une photo que nous avons pu nous procurer. Ces nœuds, excessivement serrés d’après la police, ne permettaient pas une circulation normale du sang, si bien que les moutons étaient infirmes au moment de leur découverte.

Les habitants du pavillon n’étaient pas en mesure de présenter de document sur la provenance des deux moutons. L’homme ayant fait l’acquisition des moutons n’étaient pas présents sur les lieux. « Il était parti à la mosquée » nous dit le même voisin, qui raconte que la famille est arrivée il y a une vingtaine d’année. «L’homme est arrivé avec trois femmes, et une floppée d’enfants qui jouaient souvent dans la rue, livrés à eux-mêmes. Pour eux, les moutons, c’est normal » précise ce voisin.

Le département de la Seine-Saint-Denis a lui aussi été touché par le phénomène. À Aubervilliers, notamment, une fourgonnette transportant quinze carcasses de moutons a été interceptée, rapporte une source policière, photo à l’appui. Les moutons, qui n’avaient pas été tués dans un abattoir, étaient transportés au mépris des règles élémentaires d’hygiènes. La camionnette a été transportée à la fourrière. Selon nos informations, le conducteur a été placé en garde à vue pour travail dissimulé et non-respect des protocoles sanitaires et vétérinaires. « La viande était destinée à un foyer de maliens » précise une source policière.

À Aubervilliers, une fourgonnette transportant quinze carcasses de moutons a été interceptée.

À Drancy, le spectacle n’était pas plus appétissant. La police municipale est tombée sur un cadavre de mouton découpé en plein air. « La carcasse a été abandonnée dans un lieu où il y a souvent des dépôts sauvages. C’est un riverain qui a appelé la police. Hélas ce n’est pas la première fois que ça arrive, indique le chef de cabinet de la mairie de Drancy. Une enquête a été ouverte ».

À Pierrefitte sur Seine, un riverain a également dénoncé un abattoir sauvage, où les moutons étaient égorgés sur une table avant d’être stocké dans des sacs en plastique. Contacté par Valeurs actuelles, le parquet de Bobigny indique qu’aucun fait ne lui a été remonté concernant ces différentes affaires. Les parquets de Créteil et de Nanterre n’ont de leur côté pas répondu à nos sollicitations.

D’autres faits ont également eu lieu sur le reste du territoire, dont nous n’avons pas toujours pu avoir le détail. « Lors de la fête de l’Aïd, certains croyants découpent à droite à gauche, sans aucune règle d’hygiène, précise une source policière disposant de plusieurs dizaines d’années d’ancienneté. C’est une habitude en Seine-Saint-Denis, ça fait des années qu’on voit ça ». La maire de Roman sur Isère, Marie Hélène Thoraval, a quant à elle publié la photo d’un cadavre de mouton retrouvé à côté de bennes ordures. « Écœurant et inacceptable » a-t-elle écrit, « les traditions religieuses ne dispensent pas du civisme et du respect des règles qui devraient théoriquement s’imposer à tous ».

Amaury Bucco pour le Club de Valeurs actuelles.

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Une réponse à “Les moutons égorgés pendant l’Aïd ?
Les écolos n’en ont rien à cirer !”

  1. Les animaux ne sont pas etourdis pendant leur abattage, pour le manger halal.

    Comme la goche a une moralité un coup dans un sens, puis un coup dans un autre sens,
    ca ne les derange pas…
    Et puis se sont des electeurs, donc les animaux et leur souffrances… ca compte pas beaucoup ou pas du tout.

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