Faut-il vraiment « Sauver la planète »
ou sauver les peuples qui l’habitent ?
J’apporte à cette question existentielle la réponse inverse de celle que nous servent les écolos français !
Pour eux, faire un enfant serait mauvais pour la planète !
Voila pour la première idéologie qui nous menace !
Quant à la seconde, il s’agit du néo-féminisme qui à force de soi-disant « défendre les femmes », les dissuade de jouer le rôle éminent et fondamental qui leur est dévolu : assurer la pérennité de la race humaine.
On note que parfois ces deux idéologies se rejoignent dans le même individu. Cela donne des créatures toxiques comme Sandrine Rousseau qui avait déclaré :
« Lâchez nos utérus ! »
Voici un article du Club de Valeurs actuelles qui développe ces critiques sur ces deux idéologies :
Crise des naissances : quand féminisme
et écologie organisent notre disparition
L’Insee vient de publier les chiffres de la natalité pour les premiers six mois de cette année. Ils sont encore plus mauvais que ceux de l’année 2023. L’écoféminisme, sous prétexte de défendre les femmes et la planète, promeut une idéologie suicidaire en éloignant les femmes de la maternité.
Cette semaine sont parus les chiffres de la natalité pour le premier semestre de 2024 ; sans surprise, ces derniers sont encore plus bas qu’en 2023 sur la même période, alors que l’année dernière le nombre de naissances était déjà tombé au plus bas depuis la Seconde Guerre mondiale, en passant au-dessous de la barre des 700 000 naissances.
Mais comment s’en étonner quand la simple idée d’une politique familiale fait bondir Sandrine Rousseau de son siège à l’Assemblée en plein débat sur les retraites pour hurler : « Lâchez nos utérus ! », comme si on allait forcer les femmes à faire des enfants et les renvoyer à la cuisine ? Comment s’en étonner quand nos prétendues militantes pour le droit des femmes se soucient d’écriture inclusive et de congé menstruel, défendent l’extension du droit à l’IVG toujours “menacé” (à l’heure où un enfant à naître sur quatre est supprimé par cette voie dans notre pays), mais ne daignent pas s’intéresser au manque de places dans les crèches ni à la durée ridiculement courte du congé maternité en France ?
« Un conseil : lâchez nos utérus ! », lance @sandrousseau (Ecologiste).#Retraites #RéformeDesRetraites #DirectAN pic.twitter.com/bqEYhraKa6
— LCP (@LCP) February 15, 2023
Le féminisme a tout fait pour éloigner les femmes de la maternité
C’est que, depuis des décennies, le féminisme a prétendu défendre les femmes sans jamais les considérer comme des mères potentielles.
Il a même tout fait pour éloigner les femmes de la maternité et dissocier celle-ci du féminin. Élisabeth Badinter, qui se désole aujourd’hui de la chute de notre démographie, a défendu avec constance l’utérus artificiel, et rejette désormais la faute sur les hommes dans son livre Messieurs, encore un effort…, sans admettre que sa propre idéologie a détourné massivement les femmes de la maternité.
Simone de Beauvoir, qui désignait dans le Deuxième Sexe la femme au foyer comme un « parasite », a construit un modèle féminin calqué sur le masculin et niant la spécificité féminine, dans lequel la liberté de la femme se résume à l’acquisition d’un salaire, sans prévoir que la nécessité du travail féminin allait contraindre des milliers de femmes à passer leurs journées à la caisse d’un supermarché — tout le monde n’ayant pas ses diplômes — au lieu de passer du temps avec leurs enfants. Drôles d’épanouissement et de libération, quand on sait que seuls 27 % des Français se disent épanouis au travail.
L’écoféminisme expliquait que faire des enfants était mauvais pour la planète
Françoise d’Eaubonne, une autre de nos vénérables compatriotes, créait l’écoféminisme dans les années 1970, et expliquait que faire des enfants était mauvais pour la planète et qu’il fallait se libérer définitivement des mâles phallocrates, exploiteurs en tout temps des femmes comme de la Terre. Elle a si bien imposé son délire que la nouvelle génération, quand elle ne jette pas des briques de soupe sur les chefs-d’œuvre dans nos musées pour crier sa haine de la culture occidentale colonisatrice et pollueuse, ne rêve que stérilisation volontaire par ligature des trompes ou vasectomie, et ne fera pas d’enfants pour ne pas faire proliférer une espèce humaine perçue avant tout comme une menace pour l’écologie, tout en consommant à haute dose les réseaux sociaux sur un téléphone portable régulièrement renouvelé.
Désormais, la presse féminine multiplie les articles témoignant des désagréments de la maternité, voire du “regret d’être mère”, que certaines épanchent volontiers, assumant un individualisme forcené qui confond l’enfant avec un objet de consommation et un instrument dans la quête du bien-être personnel. Parallèlement, toujours au nom de la liberté individuelle, on a prôné des modèles familiaux alternatifs et détruit le modèle traditionnel, le seul pourtant susceptible de donner une stabilité affective complète aux enfants et une pleine sécurité aux mères, ainsi que le démontre cruellement la situation de précarité des mères célibataires.
Ce nihilisme larvé nous a conduits à nier tout ce que nous sommes
Depuis longtemps déjà, les sociétés occidentales sont malades de leur culture de la repentance et de leur haine de soi. Ce nihilisme larvé, qui nous empêche de défendre nos propres intérêts face aux autres nations et nous pousse à salir ce que nous avons produit de plus grand — nous en avons encore eu une démonstration spectaculaire lors de la cérémonie d’ouverture des JO —, nous a conduits à nier tout ce que nous sommes et à rejeter nos structures traditionnelles. Il est la cause profonde de notre déclin démographique. En effet, comment pourrions-nous vouloir nous reproduire, quand on nous apprend en permanence que notre culture n’a pas eu la moindre valeur avant de s’ouvrir aux autres au point de se noyer en elles ? Comment l’explosion des violences et de l’insécurité, due à notre propre faiblesse volontaire et organisée, pourrait-elle donner envie aux Français de se projeter dans l’avenir ?
Mais ne nous inquiétons pas. Nos élites ont trouvé la solution au problème démographique : l’immigration. À chaque baisse de la natalité, elle nous est présentée comme la solution miracle par des technocrates mondialistes (par l’Institut Montaigne encore récemment), pour pallier les insuffisances du peuple français, apparemment incapable de se reproduire, quand les femmes immigrées d’origine extra-européenne font à peu près le double d’enfants des femmes françaises.
En 1987, Allan Bloom écrivait déjà dans l’Âme désarmée :
Il se pourrait bien que la fameuse “ouverture” soit la plus grande faiblesse de l’Occident. […] La raison pour laquelle les non-Occidentaux sont fermés sur eux-mêmes est claire. Pour préserver leur existence et leur identité, les hommes doivent aimer leurs familles et leurs peuples, et leur être loyaux. Un père doit préférer ses enfants aux autres enfants, un citoyen son pays aux autres. C’est pour cela qu’existent les mythes : pour justifier cet attachement.
La question qui demeure est la suivante : quand nos dirigeants entendront-ils enfin cette leçon simple ?
Quand cesserons-nous de déconstruire pour transmettre et rebâtir ?
Eve Vaguerlant pour le Club de Valeurs actuelles.
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Une réponse à “Deux idéologies mortelles pour la démographie !”
Je cite :
» Quand cesserons nous de déconstruire pour transmettre et rebatir ? »
Quand on aura balancé tous les soutient aux satanistes des JO qui ont organisé cela, et ne les combattent pas, car ils ce valent.