Les Français seraient bien inspirés d’analyser avec sérieux ce qui se passe chez nos voisins belges dans le domaine de l’immigration et de ses conséquences sur la politique !
La Belgique et la Grande-Bretagne en sont à un stade plus avancé que nous dans le « Grand remplacement », inventé par Renaud Camus et théorisée par Eric Zemmour.
En Belgique notamment, des quartiers et même des villes se retrouvent avec une nette majorité d’habitants musulmans ce qui commence à avoir des conséquences au niveau électoral.
C’est l’objet de cet article paru dans la Lettre patriote :
À Bruxelles, percée de la liste pro-islam de Fouad Ahidar, accusé d’être « axé sur la charia » et « pro-Hamas »
Le parti de ce quinquagénaire musulman pratiquant, ancien socialiste et député bruxellois depuis 2004, a réalisé une percée aux élections parlementaires belges de dimanche 9 juin, jour lors duquel les listes nationalistes ont atteint des records dans un autre scrutin, celui des Européennes. Tant et si bien que l’homme aurait déjà reçu des «appels pour (lui) demander de lancer des listes en vue des (élections) communales, notamment à Koekelberg, Molenbeek , Schaerbeek» – trois communes bruxelloises avec une vaste population musulmane -, a-t-il déclaré lors d’une interview à la chaîne télévisée Bx1.
Le président de la ligue belge contre l’antisémitisme, Joël Rubinfeld, a publié un long texte sur le danger Fouad Ahidar. En voici les meilleurs extraits.
Après un passage par le parti communiste @ptbbelgique, Ahidar rejoint le parti socialiste flamand @vooruit_nu sous les couleurs duquel il est élu en 2004 au Parlement bruxellois. Il y siège depuis comme député et assumera la première vice-présidence de l’hémicycle de 2014 à 2019. En décembre 2023 il quitte le parti socialiste – ou en est exclu, selon les versions des intéressés – car, explique-t-il, ce parti “va à l’encontre de mes convictions parfois religieuses”.
En février 2024 il fonde son parti éponyme qui, depuis les élections du 9 juin, chamboule l’échiquier politique bruxellois. Pour le reste, Ahidar compte parmi les plus extrémistes des élus du royaume sur les sujets touchant à la laïcité et au dossier israélo-palestinien. Un islamiste qui se défend de l’être. Un antisémite qui se défend de l’être. Un pro-Hamas qui ne s’en défend pas. Ahidar l’islamiste
En mars 2013, Ahidar poste sur le mur Facebook d’Abdelrahman Ayachi le message de soutien suivant: “Prenez soin de vous, cher Abdelrahman. (…) Nos prières sont avec vous.” (https://bruzz.be/politiek/ahidar-het-verkeerd-dat-mensen-syrie-gaan-vechten-2013-03-12…). Abdelrahman Ayachi était un islamiste franco-syrien qui a vécu à Molenbeek et sera tué en juin 2013 en Syrie où il était parti combattre dans les rangs djihadistes pour “l’édification d’un État islamique”. Précédemment, Ayachi avait été condamné en 2009 par la Cour d’appel de Bruxelles pour incitation à la haine antisémite, et par contumace en 2012 pour terrorisme.
En février 2024, Ahidar prend la parole à la tribune du Parlement bruxellois pour défendre l’imam pakistanais qui, le mois précédent, psalmodiait la sourate 33 du Coran au perchoir de cette même Assemblée. Une sourate qui, d’une part, narre la Bataille de la Tranchée durant laquelle une tribu juive, les Banu Qurayza, a été décimée par l’armée de Mahomet et qui, d’autre part, est l’une des deux sourates coraniques sur lesquelles s’appuient les promoteurs du voile islamique. Dans son plaidoyer pro domo, Ahidar affirme que “cet imam a seulement voulu être bienveillant” et sermonne les députés présents en assénant que “tout le monde ici cite des versets de quelque part, ou des documents de quelque part” (https://facebook.com/watch/?v=711523457843640…).
En juin 2024, sur le plateau de la télévision régionale bruxelloise @BX1Officiel, Ahidar professe que si “pour certains les cultes doivent rester à la maison, pour moi c’est le contraire.” Au journaliste de BX1 @grosfilley qui lui demande si “on ne doit pas séparer la politique de la pratique religieuse”, il rétorque: “C’est difficile de [les] séparer” (https://bx1.be/categories/news/fouad-ahidar-je-ne-sais-pas-pourquoi-les-gens-disent-quil-faut-separer-le-politique-du-religieux/…).
En août 2024, Ahidar se félicite de l’insondable arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles autorisant le retour en Belgique de l’imam salafiste Mohamed Toujgani et l’acquisition par ce dernier de la nationalité belge. Ahidar se dit “ravi” et “soulagé” du retour de son ami qui avait été expulsé du pays en 2021 sur base de rapports de la Sûreté de l’État détaillant le contenu de ses prêches antisémites et anti-occidentaux dans lesquels il a, entre autres, appelé à brûler les Juifs (https://lesoir.be/199717/article/2019-01-09/limam-qui-appelait-tuer-les-juifs-star-des-mosquees-bruxelloises…). Originaire du Maroc, Mohamed Toujgani a vécu en Belgique de 1982 à 2021 où il prêchait en tant que premier imam de la mosquée molenbeekoise al Khalil, créée en 1985 par la confrérie des Frères musulmans et plus grande mosquée du pays. Plusieurs fidèles de cette mosquée rejoindront les réseaux djihadistes, dont Chakib Akrouh, l’un des terroristes des attentats du 13 novembre 2015 à Paris.
La Lettre patriote.
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3 Réponses à “Aujourd’hui en Belgique, demain en France ?”
nous allons connaitre bientôt le même sort, une majeure partie des français sont désintéresses du sort qu’on leur réserve , ils vous répondent que veux tu faire
Les dirigeants en france, veulement la destruction de notre democratie, de notre nation avec sa culture et sa civilisation judeo chretienne qu’elle veut aussi detruire.
Avec ces dirigeants, c’est tout pour les musulmans et rien pour les francais et leur civilisation.
Avec le grand remplacement, c’est aussi la destruction de la chrétienté qu’ils visent.
On a compris ce qu’ils sont depuis quelques semaines et quel est leur dieu qu’ils servent…