Quand Rokhaya Diallo crache dans la soupe …

Publié par le 7 Oct, 2024 dans Blog | 0 commentaire

Quand Rokhaya Diallo crache dans la soupe …

Selon Wikipedia, Rokhaya Diallo, née le à Paris, est une journaliste française, militante féministe et antiraciste, éditorialiste et réalisatrice.

Reconnue aux États-Unis pour être l’une des voix antiracistes les plus influentes de France et d’Europe, elle intègre en 2020 en tant que contributrice la section Global Opinions du Washington Post.

Ses prises de position sont à l’origine de nombreuses polémiques, à propos de son opposition à la loi sur les signes religieux dans les écoles publiques françaises et de son soutien aux réunions « en non-mixité », de ses déclarations sur le racisme d’État en France ou à propos de ses liens avec le mouvement des Indigènes de la République.

Rokhaya Diallo sévit sur les plateaux de télévision en dénonçant inlassablement le racisme systémique qui sévirait en France. J’ai peu de sympathie pour toutes ces personnes dont le parcours personnel invalide totalement les thèses qu’elles défendent !

Voici un article de Boulevard Voltaire qui présente une de ses violentes attaques contre la France devant le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.

« Racisme forgé par l’esclavagisme » :
à Genève, Rokhaya Diallo attaque la France

Invitée, ce 2 octobre, au Conseil des droits de l’homme des Nations unies, Rokhaya Diallo, journaliste et activiste antiraciste, a profité de la tribune qui lui était offerte pour attaquer la France. En seulement cinq minutes d’intervention, la militante a ainsi accusé la France des pires maux : violences policières, discriminations, racisme systémique et même « interprétation stigmatisante du principe de laïcité ».

Des athlètes discriminées ?

Autour d’une discussion sur la « promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales des Africains et des personnes d’ascendance africaine face au recours excessif à la force », Rokhaya Diallo était conviée à partager son analyse et son expérience. L’occasion, pour elle, de revenir sur les Jeux olympiques de Paris, salués comme une grande réussite par une grande partie de la communauté internationale, mais décriés par l’activiste. Elle s’indigne :

Mon pays a brillé, renvoyant au fond l’image d’une pluralité heureuse. Pourtant, tout le monde n’était pas à la fête.

 Elle dénonce notamment la situation des athlètes françaises de confession musulmane qui auraient été « bannies » au nom d’une « interprétation stigmatisante du principe de laïcité ». En cause, l’interdiction, au nom du principe constitutionnel de la laïcité, pour les sportifs français de porter le voile lors de la compétition. Ce n’est pas la première fois que Rokhaya Diallo profite d’une tribune internationale pour taper sur la France et son organisation des Jeux de Paris. Dans le Guardian, journal britannique dans lequel elle tient une chronique régulière, l’activiste écrivait déjà, au début du mois d’août :

Les Jeux olympiques de Paris peuvent paraître justes et inclusifs à la télévision. La réalité est plus sombre.

Là encore, la journaliste dénonçait la « discrimination » à l’encontre des sportifs musulmans, mais également les « violences » commises contre les populations précaires.

Censure des femmes « racisées »

Mais cette fois-ci, à Genève, Rokhaya Diallo ne se limite pas au sujet des Jeux olympiques. Elle accuse également la France de museler les « femmes non blanches ».Elle explique :

Au-delà du cyber-harcèlement, la liberté des femmes non blanches est singulièrement entravée. Sous-représentées dans l’espace public, elles sont fortement incitées à éviter d’aborder les questions raciales. Les rares qui osent s’exprimer s’exposent à de lourdes conséquences allant des menaces de viol, de mort aux procès bâillons. 

Certes, prendre la parole dans les médias vous expose malheureusement à des injures et parfois des menaces, notamment sur les réseaux sociaux. Mais cela n’est pas exclusivement réservé aux personnes « non blanches ». Par ailleurs, Rokhaya Diallo a beau jeu de prétendre que les femmes « racisées » ne peuvent s’exprimer librement dans les médias. Elle est, elle-même, chroniqueuse régulière sur BFM TV, invitée fréquemment sur RTL et aperçue plusieurs fois sur les chaînes du service public ou du groupe TF1. Elle prend aussi la parole dans différents médias internationaux. Son documentaire Bootyful a, par ailleurs, été réalisé en partenariat avec France Télévisions. La menace de la censure ne semble donc pas vraiment peser sur Rokhaya Diallo…

Des discriminations et une censure qui seraient liées, à en croire l’activiste antiraciste, au :

Racisme systémique forgé par une longue histoire esclavagiste, coloniale et génocidaire de dépréciation des corps. Un racisme profondément ancré qui engendrerait donc, notamment, des violences policières et serait exacerbé, aujourd’hui en France, par un contexte où la pensée d’extrême droite se normalise, et ce, bien trop souvent avec la complicité des médias.  

Et la militante de finir son laïus en dénonçant :

les politiques migratoires de plus en plus restrictives [qui] tuent pour satisfaire l’appétit d’un public toujours plus sensible aux thèses xénophobes.

Le tout devant un Conseil qui accueille comme membres le Qatar, le Soudan ou encore le Bangladesh …

Une habituée de la revendication accusatoire

Rokhaya Diallo n’en est pas à sa première attaque contre la France. Celle qui est désormais chercheuse à l’université américaine de Georgetown saisit toutes les tribunes internationales (chroniques dans le Washington Post ou le Guardian, sur CNN ou à l’ONU) pour accuser la France de racisme. Elle avait été, ainsi, particulièrement active lors de la mort de Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine), le 27 juin 2023, pour accuser la France de « violences policières » dans de nombreux médias internationaux, et ce, avant même que l’enquête ne soit terminée et qu’un jugement ne soit rendu. La militante a aussi œuvré, par le passé, aux côtés du collectif Adama pour faire d’Adama Traoré, mort en 2016 après son interpellation, une réplique française de George Floyd. Son combat, inspiré de la lutte antiraciste américaine, l’a même conduite à récuser l’existence possible d’un racisme anti-Blanc en France et à compter les personnes de couleur dans les rangs des différentes formations politiques. Autrement dit, pour résumer la posture victimaire de Rokhaya Diallo, l’homme blanc n’a plus qu’à se repentir …

Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.

Merci de tweeter cet article :





Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *