Le privilège rouge : un déni permanent de démocratie !

Publié par le 8 Oct, 2024 dans Blog | 0 commentaire

Le privilège rouge : un déni permanent de démocratie !

A chaque fois que Jean-Luc Mélenchon ou un député de la France Insoumise dérape en bousculant les Valeurs de la République, posez vous une seule question :

« Que se serait-il passé si un membre du Rassemblement national avait pratiqué une provocation analogue ? »

A chaque fois, la réponse est la même ! Cela aurait fait scandale et la presse unanime en aurait fait des tonnes, sans parler des éventuelles poursuites judiciaires !

Faites le total des officines dites d’extrême droite dissoutes par le pouvoir macronien et comparez le au nombre insignifiant des groupes très violents antifascistes ou Black Blocs impunis.

A droite, nous avons tous en tête la dissolution du mouvement Génération identitaire qui n’a jamais usé de violence et qui se contentait de dérouler des banderoles ou d’occuper symboliquement et provisoirement des lieux publics.

C’est ce qu’on appelle le privilège rouge qui fait que l’extrême gauche peut se permettre des exactions qu’on ne tolère absolument pas de l’extrême droite !

En voici un nouvel exemple que nous rapporte cet article de Valeurs actuelles :

Dédicace du livre « Transmania » : 63 militants d’ultragauche interpellés, 57 procédures classées et 4 fichés S

À Paris, en marge d’une conférence samedi autour du livre Transmania, 63 militants « antifas » ont été interpellés. Le parquet a classé 46 procédures pour absence d’infraction et 11 pour irrégularité de procédure. Six militants restent en garde à vue, et deux vont comparaître en comparution immédiate.

La publicité pour le livre Transmania dont Anne Hidalgo avait fait interdire l’affichage dans Paris

Le parquet de Paris a indiqué à Valeurs actuelles les suites judiciaires concernant l’interpellation de 63 militants « antifas« , survenue en marge de la conférence autour du livre Transmania, qui critique certaines dérives liées à l’idéologie transgenre qui s’est déroulé ce samedi à Paris.

Selon les informations communiquées, sur les 63 personnes interpellées, 46 procédures ont été classées sans suite. Le parquet a justifié ces décisions en précisant qu’aucune infraction n’était suffisamment caractérisée pour ouvrir des poursuites judiciaires.

Par ailleurs, 11 autres procédures ont également été classées pour irrégularité de procédure. Cette irrégularité découle notamment de l’absence de fiches MAD (Mise à Disposition), des documents obligatoires dans le cadre des interpellations en groupe lors de manifestations.

Cependant, six militants ont vu leur garde à vue prolongée, pour des motifs variés incluant rébellion, violences à l’encontre de personnes dépositaires de l’autorité publique (PDAP) et participation à un groupement en vue de commettre des dégradations. Sur ces six gardes à vue, deux individus sont jugés ce lundi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Paris.

Par ailleurs, une source policière a précisé que quatre des personnes interpellées faisaient déjà l’objet d’une fiche S, en raison de leur affiliation à la mouvance anarchiste radicale ou anarcho-autonome.

Valeurs actuelles.

Nous suivrons avec attention le sort réservé par la justice à ces six anarchistes qui s’opposent à la liberté d’expression et de publication d’un livre.

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