Anne Hidalgo et sa phobie sélective des affiches !

On se rappelle tous la décision totalitaire de la maire de Paris qui avait fait interdire dans sa ville, les publicités pour le livre Transmania qui alertait sur les dérives du transgenrisme (voir ci-contre).

J’en profite pour saluer le courage de Dora Mouton et Marguerite Stern, les auteurs de Transmania, qui continue à assurer la promotion de leur ouvrage malgré les attaques des antifas qui tentent de perturber leurs conférences.

Et voila, qu’Anne Hidalgo vient à nouveau de dénoncer une affiche placardée sur les murs de Paris pour rendre hommage à la jeune Philippine tuée par un migrant récidiviste sous OQTF.

Glacée par une affiche qui rappelle juste les faits ! Mais pas glacée par la mort de Philippine !

Mais on le sait la gauche refuse toute réalité qui ne va pas dans le sens de son récit de l’immigration heureuse, chance pour la France !

Voici un article de Boulevard Voltaire qui pointe ce nouvel écart d’Anne Hidalgo :

Philippine : La tartufféministe Anne Hidalgo
glacée … par une affiche

Cachez ce dessin que je ne saurais voir. Le tartufféminisme vient encore de frapper. La scène se déroule ce mercredi après-midi vers 15 heures, au Conseil de Paris. Une élue du groupe de Francis Szpiner questionne la maire, Anne Hidalgo, sur Philippine. Le matin, une minute de silence en hommage à la jeune fille a eu lieu.

Paris : Anne Hidalgo scandalisée par les affiches en soutien à #philippine pic.twitter.com/iOPHg26cu7

— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) October 9, 2024

S’agissant de ce « sujet », c’est le mot qu’elle emploie, Anne Hidalgo affirme avoir été « vraiment glacée », c’est aussi son expression … par le meurtre ? Non. Vous n’y êtes pas. Par une campagne d’affichage sur les murs de la capitale avec le portrait de Philippine et « des propos d’un racisme avéré, très inquiétant, qu’on ne peut pas accepter ».

Quels sont donc ces mots au racisme avéré, très inquiétant et inacceptable, en légende du dessin que les Parisiens ont pu voir sur les murs de leur ville ?

Philippine 19 ans, tuée par un migrant marocain sous OQTF et déjà condamné pour viol.

Aucune imprécation, accusation, généralisation. Les faits, rien que les faits.

C’est donc la réalité, selon Anne Hidalgo, qui est raciste.

C’est pour cela qu’elle et ses amis, du reste, la cachent autant que possible au profit d’un récit plus « acceptable », comme la pruderie victorienne cachait les pieds des tables et des pianos.

Celle qui en toutes occasions arbore collé-serré son féminisme aussi fièrement que sa combinaison de plongée dans la Seine – « l’ordre patriarcal n’est pas un fantasme » (Le Point, 2022), « c’est une révolution que nous devons entreprendre afin d’aboutir à une société sûre pour toutes les femmes » (Le Monde, 2022) – use du mot « glacé » appartenant au registre de l’effroi, de l’horreur et de la mort, pour pleurer, non pas sur le sort la jeune fille assassinée dans sa ville, mais sur celui des hommes, frappés d’OQTF, qui pourraient, si l’on en dit trop sur l’auteur de ce crime, être « amalgamés ». Sans vergogne. Sans voir l’affreuse provocation pour tous ceux, et ils sont nombreux, à commencer par la famille de Philippine qui ont été véritablement et légitimement glacés par cet horrible meurtre.

Deux journalistes, Airy Routier et Nadia Le Brun, l’avaient nommée dans un livre éponyme Notre-Drame de Paris. Le sobriquet avait fait florès.

Son aveuglement idéologique est en effet un drame, et son absence totale d’empathie… glaçante.

Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire.