La gauche panique car son narratif n’imprime plus !

Publié par le 15 Oct, 2024 dans Blog | 1 commentaire

La gauche panique car son narratif n’imprime plus !

La « droite la plus bête du monde » serait-elle en train de reprendre du poil de la bête et de se mobiliser pour gagner la bataille des idées ? On en trouve des signes partout !

Le fondateur du Parti communiste Italien et philosophe Gramsci est revenu à la mode ! Il était le théoricien des techniques ou des méthodes efficaces pour mener et gagner la lutte politique, des méthodes se résumant à :

conquérir le pouvoir à travers les idées.

Mais depuis des décennies, la gauche, avec l’aide des médias, a confisqué le débat d’idées en le cadenassant et en interdisant les idées dans plusieurs domaines.

Elle a interdit tout débat sur des sujets-tabous comme l’immigration et l’insécurité !

Mais voila, l’actualité, chaque jour plus violente en France, apporte à la gauche des démentis de plus en plus dévastateurs.

La mantra imposée depuis les années Mitterrand par le magistère de gauche :

L’immigration est une chance pour la France !

est dénoncée aujourd’hui comme un mensonge par une large majorité des Français.

Ce renversement de l’opinion peut tout changer pour l’avenir politique de la France.

Des hommes comme Jean-Marie Le Pen dans les années 70-80 et surtout Éric Zemmour depuis une trentaine d’années sont reconnus de plus en plus, aujourd’hui, comme des visionnaires et des lanceurs d’alertes. Ils l’ont tous deux payé très cher !

Il faut que la droite reprenne leur flambeau ! Les paroles actuelles de Bruno Retailleau nous donne un peu d’espoir …

Certains s’y emploient avec talent en créant parfois de vrais malaises sur les plateaux de TV :

« On nous aurait menti ? »

@josly.ngoma #France ♬ son original – Josly Ngoma

Mais, la gauche qui sent qu’elle perd la bataille des idées, réagit actuellement dans une sorte de baroud d’honneur. Elle lance sur les plateaux radio et télé des escouades de militants immigrationnistes en mission d’évangélisation !

Voyez madame Yasmine Belkaid, directrice générale de l’Institut Pasteur, qui résume bien la nature de la contre-offensive lancée par la gauche :

J’ai trouvé cette vidéo dans un article de Boulevard Voltaire  dont voici quelques extraits :

Le camp immigrationniste contre-attaque

Branle-bas de combat à gauche. Alors que les victimes des OQTF se multiplient en France et que le ministre de l’Intérieur enchaîne les déclarations hostiles au multiculturalisme, le camp du déni se mobilise. Tout est mis en œuvre pour reprendre en main le récit médiatique et renverser la vapeur. Hors de question de laisser s’imposer l’idée que « l’immigration n’est pas une chance » !

Pour neutraliser ce discours blasphématoire, chacun sa méthode ! France Inter, par exemple, a choisi la diversion. Afin de noyer le poisson et d’occulter la surreprésentation des étrangers parmi les agresseurs sexuels, la radio a décidé d’incriminer la masculinité dans son entièreté. « Comment empêcher les hommes de violer ? », se demande ainsi le journaliste Éric Fottorino, le 9 octobre dernier. Rien de tel, en effet, qu’une affaire comme celle des viols de Mazan pour inculper la France, son indécrottable « culture du viol », et faire ainsi oublier les méfaits des OQTF.

Sur C8, Thomas Guénolé a tenté, lui, de redorer le blason de la diversité en se concentrant sur l’aspect financier. « Les immigrés rapportent autant aux finances de l’État et de la Sécu qu’ils leur coûtent », déclare-t-il, le 9 octobre, sur un ton catégorique.

Sauf que c’est faux. Comme l’indique Charles Prats, magistrat et spécialiste de la lutte contre la fraude sociale :

L’OCDE chiffre le surcoût budgétaire de l’immigration en France à plus de 0,5 point de PIB. Et c’est une approche à minima par rapport à d’autres études.

En effet, le fait d’inclure dans le calcul les enfants d’immigrés nés dans le pays « ajoute un coût d’éducation relativement important », concèdent les auteurs de l’étude de l’OCDE citée maladroitement par Thomas Guénolé. Sans même parler des frais de santé et de logement, ni des dépenses induites par l’insécurité, la délinquance et le terrorisme, qui viennent encore alourdir le « coût » de l’immigration en France.

Une immigration indispensable ?

Animés d’une même bien-pensance béate, les élus macronistes ont couru les plateaux télé, ces derniers jours, pour affirmer la place absolument centrale qu’occuperaient aujourd’hui les clandestins dans le bon fonctionnement de notre pays.

On parle de femmes et d’hommes qui travaillent dans les cuisines de nos restaurants, qui gardent nos enfants, qui prennent soin de nos ainés,

déclare Agnès Pannier-Runacher, sur CNews, le 11 octobre.

Et ce sont souvent les mêmes qui s’inquiètent de la régularisation de ces personnes qui n’accepteraient à aucun prix d’exercer les métiers indispensables qu’elles exercent en France.

La veille, le député centriste Sylvain Maillard profite de son passage sur France Info pour aller encore plus loin et jurer que :

s’il n’y plus d’immigration, beaucoup d’entreprises françaises ne fonctionnent plus, il n’y a plus un hôpital français qui fonctionne.

Les Français auraient besoin des « Arabes et des immigrés » pour faire leur ménage et ramasser leurs poubelles ? Ce mythe est aussi méprisant pour les uns que pour les autres. Arrêtons avec cette fable selon laquelle les étrangers tiendraient le pays à bout de bras tandis que les Français se tourneraient les pouces.

Selon l’INSEE, 13,6 % des immigrés d’origine africaine sont au chômage, contre seulement 6,5 % des autochtones.

Note du blogueur : J’ajoute que parmi les Algériens vivant en France … 40 % sont au chômage !

Si les Français se détournent de certains secteurs professionnels, c’est parce que ces emplois sont trop mal rémunérés. Au lieu de faire appel toujours plus à l’immigration et ainsi mettre nos concitoyens en concurrence avec des étrangers sous-payés, il faudrait augmenter l’attractivité de ces secteurs, améliorer les conditions de travail et réduire le prix de l’immobilier, dont l’explosion dans les grandes villes a provoqué la fuite des classes populaires.

La clef de notre survie ?

Plus qu’un simple atout ou qu’une « chance » pour notre pays, l’immigré représenterait ni plus ni moins que l’avenir de la France. Sans lui, ce serait le chaos assuré. 

L’immigration, c’est ce qui permet de rendre une société beaucoup plus dynamique, qui permet d’augmenter notre créativité. L’immigration, c’est le dynamisme d’un pays, et c’est son futur,

déclarait Yasmine Belkaid, directrice générale de l’Institut Pasteur, sur France Inter, le 8 octobre.

L’immigration, facteur de dynamisme et de croissance pour la France ? Pas vraiment. Ayant naïvement privilégié le regroupement familial et le droit d’asile au détriment de l’immigration de travail, notre pays a accueilli des populations souvent pauvres, qui pèsent sur son économie. Pas moins de 70 % des immigrés vivant en France sont d’origine extra-européenne, contre 40 % en Allemagne.

L’immigration de travail est un facteur de croissance […] toutefois, la France ne bénéficie pas de ce dynamisme économique car son immigration, repliée sur les droits familiaux et humanitaires, est, comparativement à celle des autres pays de l’OCDE, peu qualifiée,

expliquait le Conseil d’analyse économique (CAE), dans une note fracassante publiée en novembre 2021. On voudrait nous faire croire que, parmi les immigrés qui arrivent chaque jour en France, se cachent des Marie Curie et des entrepreneurs de génie à la pelle.

Hélas, alors qu’au Canada 60 % des immigrés détiennent un diplôme supérieur, ils ne sont que… 32 % en France.

Jean Kast pour Boulevard Voltaire.

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Une réponse à “La gauche panique car son narratif n’imprime plus !”

  1. Mais qu’est ce que ce discours convenu de la petite dame à lunettes et ses 3 nationalités?
    Elle devrait redescendre sur terre et vivre avec les mêmes personnes que nous ………….elle verrait ou se situe la richesse!
    Sa parlotte a ravi salamé, c’est le principal!

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