George Soros, l’ennemi public numéro 1

Publié par le 21 Oct, 2024 dans Blog | 2 commentaires

George Soros, l’ennemi public numéro 1

J’ai déjà consacré plusieurs articles à George Soros, ce milliardaire à la pointe du progressisme et qui arrose de subventions nombre d’associations progressistes.

La pieuvre Soros
George Soros : une CEDH à sa main !
Quand le progressisme le plus extrême infiltre l’ONU …
L’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros

Cet homme est extrêmement dangereux et étend son influence telle une pieuvre aux multiples tentacules.

Des enquêtes ont montré que son association l’Open Society a infiltré le Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH). On en voit les néfastes résultats dans les jugements pro-immigrationnistes de cette cour de justice.

Voici un article proposé par la Sélection du Jour qui rappelle l’histoire de ce milliardaire et l’énorme influence qu’il a aujourd’hui :

George Soros, financier de génie et idéologue influent

Héraut autoproclamé d’une « société ouverte » contre une « société fermée », « accro à la philanthropie politique », George Soros est avant tout un trader de génie qui a construit un empire avant d’imposer son idéologie. Ayant travaillé à l’ouverture du système soviétique, il est maintenant le chantre du progressisme sous toutes ses formes. Qui est vraiment ce milliardaire de 94 ans qui a récemment cédé les rênes de l’Open Society Foundations à son fils ?

George Soros au Forum économique mondial de Davos, Suisse, le 23 janvier 2020. AFP / FABRICE COFFRINI

Né György Schwartz en 1930, en Hongrie, George Soros reçut de son père, célèbre avocat de Budapest, une éducation juive laïque et un sens précoce de l’internationalisme. Emprunté pour échapper à l’Holocauste pendant la Seconde Guerre mondiale, le patronyme « Soros » signifie « monter en flèche »
en espéranto. Après la guerre, le jeune homme intègre la London School
of Economics
(et travaille dans une boîte de nuit pour financer ses études).

C’est là qu’il rencontre le célèbre philosophe Karl Popper, à qui il empruntera le concept de « société ouverte » pour fonder en 1979 son réseau d’ONG, l’Open Society Foundations (OSF), désormais présent dans 120 pays. Il rappelait sa vocation originelle au Forum de Davos, le 24 janvier 2019 : « Mes premiers efforts visaient à saper le système d’apartheid en Afrique du Sud. Ensuite, j’ai tourné mon attention vers l’ouverture du système soviétique. J’ai créé une collaboration avec l’Académie des sciences de Hongrie, qui était sous contrôle communiste. […] Cet arrangement a réussi au-delà de mes rêves les plus fous. […] C’était en 1984. »

En septembre 1992, à la suite d’une spéculation osée sur la dévaluation de la livre sterling, George Soros devient « l’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre ». Après avoir vendu massivement la devise pour la racheter moins cher, il empoche 1,1 milliard de dollars en 24 heures. C’est à la même époque qu’il s’attaque à la lire italienne, puis au franc français. Interrogé par LSDJ,
un économiste ayant travaillé avec lui décrit Soros comme « le plus grand trader de l’histoire ». Sa fortune est aujourd’hui estimée à 7,2 milliards de dollars par la revue Forbes, après avoir fait don de plus de 32 milliards à l’OSF, selon l’organisation elle-même, ce qui est colossal. Qui a déjà dépensé autant pour défendre ses idées ?

Auteur d’un livre intitulé Soros et la société ouverte (Culture & Racines, 2018), Pierre-Antoine Plaquevent n’hésite pas à décrire l’Open Society comme un outild’influence et d’ingérence global. Immigrationniste assumé et « père millionnaire de la dépénalisation des drogues », George Soros veut aussi libéraliser la prostitution et l’avortement. L’OSF finance par ailleurs des mouvements hostiles à l’État d’Israël (dont certaines ONG favorables au terrorisme) et des lobbies (LGBT, Black Lives Matter) ; s’appuie sur un réseau
de députés « fiables » au Parlement européen et maintient des liens avec le Syndicat de la magistrature en France. Le but est d’imposer un nouvel ordre mondial (ce sont ses propres mots), au-dessus des États, quitte à déstabiliser des régimes politiques : « Notre tâche ne peut pas être laissée aux gouvernements » (24/01/2019).

Au sein de sa vision du monde, la promotion de l’immigration de masse est essentielle. Lors de la crise de 2015, Soros exigeait à l’UE, depuis New York, d’accueillir 1 million de migrants chaque année, en le finançant grâce à la dette (26/09/2015). « Il s’agirait pour l’UE d’apporter 15 000 € par demandeur d’asile. […] L’UE pourrait lever ces fonds, en émettant des obligations à long terme via sa capacité d’emprunt AAA largement inexploitée. » Plaquevent nous apprend que l’Open Society a alloué plus de 500 millions de dollars afin de favoriser l’accueil des migrants en 2017. La même année, et bien qu’il ait augmenté depuis, le budget de Frontex (l’agence qui surveille les frontières européennes) était de 300 millions d’euros. Pour Gaëtan Cliquennois, chercheur au CNRS, cette promotion des droits des minorités et des migrants serait le moyen d’imposer un « capitalisme sans frontières, qui se caractérise par la liberté de circulation des biens et des personnes ». Les valeurs conservatrices, le nationalisme et les religions font obstacle à cette logique néolibérale et sont donc à combattre.

Soutien permanent des campagnes démocrates aux États-Unis, le milliardaire investit abondamment dans la sphère médiatique. Début 2024, il est devenu actionnaire principal de Audacy, deuxième groupe de radiodiffusion comptant 170 millions d’auditeurs chaque mois. Avant Audacy, il injectait plus de 80 millions de dollars dans le réseau Latino Media Networks, qui regroupe
dix-huit radios hispanophones. Il a également investi au fil des années dans plusieurs titres européens comme en France (subventions au média d’extrême gauche StreetPress) ou en Pologne, en finançant la presse depuis 2016 et en entrant en 2023 au capital du Wirtualna Polska Holding (« Pologne virtuelle »), qui gère le site Internet le plus visité du pays. La réélection du candidat pro-avortement Donald Tusk n’y est pas étrangère. Dans plusieurs cas, comme celui de StreetPress ou du fonds de dotation Assa Traoré, les soutiens financiers de l’OSF sont assumés de façon transparente.

Présent en Ukraine avec l’OSF depuis 1990, le natif de Budapest s’est aussi activement investi dans la guerre contre la Russie. Il déclarait lors d’une récente conférence à Munich sur la sécurité (16/02/2023) : « Une victoire ukrainienne entraînerait l’éclatement de l’empire russe. La Russie ne représenterait plus une menace pour l’Europe et pour le monde. […] Cela constituerait un immense soulagement pour les sociétés ouvertes et causerait d’énormes problèmes aux sociétés fermées. » Alors que, selon la presse hongroise, il avait déjà financé
le coup d’État de 2014, les chiffres de l’OSF rapportent des dons de 230 millions à l’Ukraine depuis son installation dans le pays, sans compter le lobbying auprès de l’UE pour qu’elle apporte une aide impressionnante à l’effort de guerre ukrainien. Et même si une défaite russe n’est plus vraiment réaliste, la réduction d’activités en Europe annoncée par l’OSF en 2023 laisse percevoir le sentiment du devoir accompli quant au déplacement définitif du centre de gravité de celle-ci vers l’Ouest.

Le droit est également un outil d’ingérence privilégié. Dans un rapport très documenté, le think tank ECLJ (European Center for Law and Justice)
avait mis en lumière l’affaire dite des « juges Soros ». Entre 2009 et 2019, 22 des 100 juges permanents de la Cour européenne des droits de l’homme étaient issus de l’OSF et de six autres ONG financées en partie par George Soros. Ils ont jugé plus d’une centaine d’affaires introduites par leur propre ONG à la CEDH. Alors que la jurisprudence de la Cour fait autorité au sein des États membres, l’Open Society s’appuie sur le « contentieux stratégique » (recours judiciaires afin d’imposer de nouvelles normes politiques). Grégor Puppinck, docteur en droit et directeur de l’ECLJ, affirme que sa publication a convaincu
la CEDH de modifier son règlement intérieur et de renforcer ses règles éthiques ; mais des problèmes demeurent, notamment l’opacité du greffe de la Cour.

Âgé de 94 ans, George Soros a choisi en 2023 de léguer la gestion de son empire à son fils Alexander, fervent démocrate et opposant radical à Donald Trump. « Nous pensons pareil  », affirme le père. Le fils, lui, veut s’investir encore plus en politique. L’influence de l’Open Society sur les affaires du monde semble avoir encore de beaux jours devant elle.

Stanislas Gabaret pour La Sélection du jour.

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2 Réponses à “George Soros, l’ennemi public numéro 1”

  1. Le mondialiste est dirigé par des personnes imbue d’elle meme, voire monstrueux, qui n’ecoutent pas les peuples, dont ils se moquent.

    Une des caractrisque que l’n peutsouvent observer est la pedophilie dans ces milieux :

    Message reçu :

    Lina 14 ans a testé pour vous les sites de « rencontres pour ados »…….c’est effrayant!!!
    Bonjour à tous,

    Lina 14 ans a testé pour vous les sites de « rencontres pour ados »…….c’est effrayant!!!

    Les Pédocriminels sont arrivés en masse et avec les équipes de @Omerta_officiel
    , on en a piégé Je vous laisse regarder un extrait. Faites de la prévention auprès de vos enfants!

    hhttps://www.youtube.com/shorts/oYbRYqd2-6E

    Etiez vous au courant?

    Bien à vous,

    Sarah Frik

  2. Révélations sur la stratégie d’infiltration de l’extrême-gauche française par la République islamique d’Iran
    https://www.atlantico.fr/article/decryptage/revelations-sur-la-strategie-d-infiltration-de-l-extreme-gauche-francaise-par-la-republique-islamique-parti-communiste-iran-entrisme-france-insoumise-lfi-emmanuel-razavi

    Le parti communiste français a ouvert ses locaux, à plusieurs reprises, à d’importantes personnalités liées à la République islamique d’Iran. Des membres de la France insoumise entretiennent quant à eux des liens avérés avec des activistes palestiniens membres d’une organisation terroriste qui assume sa proximité avec les Gardiens de la révolution islamique. Avant eux, le parti socialiste avait déjà été la cible d’une tentative d’infiltration iranienne, déjouée par le contre-espionnage français. Révélations sur l’entrisme iranien au cœur de l’extrême gauche française.

    C’est dans les locaux du parti communiste, dans le 13 ème arrondissement de Paris, que le collectif Palestine vivra annonçait tenir une réunion, le 2 mai dernier, en présence de Salah Hamouri. Cet avocat franco-palestinien de 39 ans, considéré proche du Front de Libération de la Palestine (FPLP), mouvement révolutionnaire marxiste inscrit sur la liste des organisations terroristes de l’Union européenne, est aussi le gendre de l’ex député communiste Jean-Claude Lefort (décédé en juin 2024, ndlr).

    Bien qu’il ait nié tout lien avec le FPLP, Hamouri a été condamné, en 2008, à sept ans de prison par un tribunal israélien qui l’a reconnu coupable d’avoir fomenté un projet d’assassinat contre l’ancien grand rabbin d’Israël (selon son avocate, Hamouri aurait plaidé coupable pour obtenir une réduction de peine, ndlr). Il a aussi été proche de Samir Kuntar, un terroriste libanais membre du FPLP, également lié au Hezbollah, la milice chiite libanaise aux ordres de Téhéran.
    Kuntar, condamné à perpétuité en Israël, en 1980, pour le meurtre d’un père et de sa fillette de quatre ans, a été libéré en 2008 dans le cadre d’un échange, et tué en 2015 par une frappe israélienne en Syrie. Il existe une photo sur laquelle posent les deux hommes, qui laisse peu de place au doute quant à leur relation. On y voit également, à leurs côtés, Ahmad Saadat, le secrétaire général du FPLP.

    Il existe encore une photo de Salah Hamouri aux côtés de Bilal Odeh, qui fut condamné en 2002 à 18 ans de prison en Israël, en raison de son appartenance à la branche armée du Front populaire de libération de la Palestine …

    Depuis 2013, le FPLP s’est rapproché du Hamas, également classé organisation terroriste par l’Union Européenne, les États-Unis et Israël. Plusieurs de ses miliciens ont d’ailleurs été soupçonnés d’avoir participé au pogrom du 7 octobre en Israël, et d’avoir pris des otages.

    Qu’importe. Les accointances terroristes de Salah Hamouri ne l’empêchent pas d’être devenu la coqueluche de l’extrême gauche française, jusqu’à prendre la parole aux côtés de Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale, le 24 aout dernier, lors d’une conférence à Valence.

    Problème : comme le Hamas, le FPLP est soutenu, y compris financièrement, par la République islamique d’Iran. Ses cadres entretiennent des rapports avec la force al Qods (Jérusalem en arabe, ndlr), l’unité en charge des opérations extérieures du Corps des Gardiens de la Révolution islamique, qui a notamment pour spécialité la guerre asymétrique, le terrorisme, et la stratégie d’influence.
    Des liens si forts qu’en novembre 2021, Abu Jamal, un porte-parole de l’organisation, qualifiait les miliciens aux ordres de Téhéran de « frères de sang » et de « camarades »

    Ingérences iraniennes en France : Les confidences d’un ex-agent infiltré
    https://www.atlantico.fr/article/decryptage/ingerences-iraniennes-en-france-les-confidences-dun-ex-agent-infiltre-matthieu-ghadiri-agent-infiltre-espionnage-iran-emmanuel-razavi

    Exclusif : C’est l’une des opérations d’espionnage les plus étonnantes de ces 50 dernières années. Franco-iranien, Matthieu Ghadiri, ancien policier et ex-agent infiltré, a été recruté par les services secrets iraniens dans les années 80, pour espionner et influencer, pendant plusieurs années, le parti socialiste.

    Ce dont ne se doutaient pas les mollahs, c’est qu’il travaillait pour le contre-espionnage français. Il nous a raconté de quelle façon la République islamique d’Iran fait du recrutement et de l’ingérence auprès de la gauche française.

    Emmanuel Razavi : Est-il vrai que les services de renseignement iraniens travaillent en collaboration avec les services russes pour faire de l’ingérence ?

    Matthieu Ghadiri : Oui. On peut même dire qu’ils utilisent la même méthodologie. Tout a commencé en février 1979, lors de la visite de Yasser Arafat à Téhéran. Ce dernier a proposé aux Iraniens de constituer un service de renseignement avec l’appui des Syriens, qui eux-mêmes profitaient des conseils des soviétiques. Mais Khomeini a décidé de s’adresser directement à ces derniers. À partir des années 1980/81, le renseignement iranien devient en quelque sorte un service russe, adapté à la mentalité iranienne, et à la religion musulmane.
    Ses responsables ont notamment appris du KGB que lorsqu’un de leurs agents est placé dans une ambassade, il ne doit pas s’occuper des affaires du pays dans lequel il est en poste, mais seulement de ceux qui sont frontaliers. Les agents iraniens ont été totalement formatés par les Soviétiques.

    Depuis quand les Gardiens de la révolution islamique, bras armé du régime iranien, font-ils de l’ingérence et du renseignement en France ?

    Jusqu’en 2016, les Gardiens de la révolution islamique agissaient surtout à l’intérieur de l’Iran. Leur priorité, c’était le contre-espionnage, et la chasse aux opposants. L’étranger était le domaine réservé des agents du ministère de l’information (l’équivalent de la DGSE, ndlr). Mais à cette époque, qui se situe peu après les accords de Vienne sur le nucléaire iranien, ils ont commencé à s’intéresser aux pays étrangers.

    Leur hiérarchie s’est rendu compte que leurs homologues des services du ministère de l’information étaient très efficaces à l’extérieur de l’Iran. Dans le même temps, les mollahs ont compris que ces derniers ne leur disaient pas tout dans leurs rapports. C’est comme ça que les Gardiens de la révolution ont récupéré une partie de leur mission. Ils ont décidé de recruter des agents de toutes nationalités installés à l’étranger, et bien intégrés dans leurs pays de résidence. Encore aujourd’hui, s’il s’agit d’Iraniens qui sont dans une situation fragile, ils les menacent, eux ou leurs familles, pour les obliger à collaborer. S’ils ont une bonne situation, ils leur proposent de gagner de l’argent en travaillant avec des sociétés iraniennes et des organismes d’État. En ce qui concerne les étrangers, ils les aident financièrement et indirectement à travers des associations islamiques créées en Europe ou ailleurs. Parmi ces étrangers, ils trouvent parfois une personne qui a le potentiel de gravir les échelons dans le domaine politique, et de devenir une personnalité importante dans son pays. Dans ce cas, ils investissent sur elle à long terme. C’est la méthode russe. Les agents du ministère de l’Information, dans les ambassades, s’occupent du recrutement d’agents appelés « sympathisants de la République islamique », ou des groupes terroristes palestiniens.

    Les services secrets iraniens vous ont demandé d’espionner le parti socialiste français et de faire de l’influence auprès de personnalités. En dehors de vous, quels types de profils ont-ils recruté en France ?

    Leurs cibles, c’étaient des médecins, des avocats ou des pharmaciens iraniens résidant en France. Durant la période où j’étais en activité, il y en a eu plusieurs identifiés en France et en Europe. Une fois recrutés, ils avaient pour mission de prendre contact avec des personnalités de gauche, d’assister à des réunions (…). Les services Iraniens pouvaient également recruter des étudiants qui se trouvaient en situation précaire. Il leur était aussi demandé de prendre attache avec des associations, puis avec des politiques.

    Pourquoi les réformateurs iraniens, que l’on présente comme des modérés en France, sont ceux qui ont le plus infiltré les institutions françaises ?

    Jusqu’en 2018, les réformateurs étaient très présents parmi le personnel des ambassades et des consulats. Par leur présence à l’étranger, ils paraissaient plus ouverts, ils communiquaient beaucoup en ce sens. Ils approchaient les partis politiques pour faire passer leurs idées.

    Ils faisaient aussi de l’influence en leur faisant peur, en leur disant par exemple que si la République islamique devait s’écrouler, alors l’Iran deviendrait l’Irak ou la Syrie. Plein de gens, qui voulaient tisser des relations durables avec eux, sont tombés dans leurs filets. Cependant, lorsqu’en 2018, Donald Trump a fait voler en éclats le traité de Vienne, les conservateurs ont repris la main.
    Pendant plusieurs années, le Parti Communiste a mis une salle à disposition de personnalités liées au régime iranien. Comment cela est-il possible ?

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