« Fermeté et Humanité ! »
C’est le slogan que nous propose la gauche pour qualifier sa politique de « gestion » de l’immigration.
Slogan qui se traduit dans la pratique par ce chef d’oeuvre du « En même temps » à destination des migrants :
« Par fermeté, vous devez partir,
mais par humanité, vous pouvez rester ! »
Il n’y a pas plus hypocrite et plus immorale que la politique de la gauche en matière d’immigration. Car elle consiste à laisser entrer en France 450 000 immigrés légaux chaque année … mais à ne rien faire pour leur donner un toit et un travail.
Au final, les malheureux s’empilent dans des tentes sous le périphérique de Paris !
Les élites socialistes ne poussent pas leur sens de l’égalité et de la fraternité jusqu’à vivre dans les mêmes quartiers populaires où l’on cantonne les migrants. Ils logent dans les rues protégées de la capitale, et se barricadent derrière force grilles et digicodes.
Ils se tiennent loin des migrants mais entrouvrent leur porte au livreur malien de Deliveroo !
Une autre grande réussite du socialisme français, c’est d’avoir chassé la classe populaire de Paris en les remplaçant par les bobos, ce nouvel avatar de la bourgeoisie de gauche.
En unissant leurs voix aux habitants des quartiers sensibles, les Bobos ont porté au pouvoir dans les grandes villes des maires gaucho-écolos qui ont transformé leurs villes en coupe-gorge et en champ de bataille pour narcotrafiquants ! Mais avec beaucoup de pistes cyclables !
Jusqu’à peu, les Bobos vivaient heureux dans leurs appartements cossus, se déplaçant en vélos-cargos dans les voies cyclables de leur Anne Hidalgo chérie, afin de rapporter de leurs épiceries bio, leur quinoa et leurs graines de tournesol, de courges et de lin mixées !
Mais voici, qu’à force de répartir les migrants, forcément, un jour, on les a retrouvé sur le paillasson des Bobos !!!
Et là … C’est le drame !
C’est ce que nous raconte cet article du Club de Valeurs actuelles :
Paris : « Ils ont essayé de rentrer chez moi ! »,
des migrants chez les bobos du Marais
En plein centre de Paris, à quelques pas de l’Hôtel de ville, les campements de migrants se multiplient. Ce quartier « bobo » du 4e arrondissement n’est pas épargné au grand dam des habitants qui ne se sentent plus en sécurité. Une nouvelle « Porte de la chapelle » ?
« Il va falloir partir. » Ce mardi 29 octobre, à 8 heures du matin, les migrants qui squattent le parvis de l’école Saint-Merri, dans le 4e arrondissement de Paris, ne sont pas réveillés par les agents municipaux comme à leur habitude. Une brigade de CRS, venue sur place, procède à l’évacuation du campement, établi en août 2023 devant cet établissement scolaire du Marais, un quartier historique, « bobo » et branché de la capitale.
L’intervention met temporairement fin à un curieux manège qui a lieu chaque jour depuis des mois. Tous les matins, le service de propreté de la ville nettoie la dalle et demande aux migrants de descendre avec leur paquetage dans le tunnel des Halles situé sous l’école. Ils remontent le soir vers 21 heures pour réinstaller leurs tentes.
C’est un accord informel qui a été passé entre les parents d’élèves, la mairie et les migrants pour éviter les désagréments ,
explique le conseiller municipal du groupe Changer Paris Aurélien Véron. Sur le parvis, des toilettes de chantier et des urinoirs ont été installés par la municipalité pour améliorer les conditions sanitaires de ce camp de fortune.
« Ils seront revenus ce soir », prévient une conseillère municipale écologiste, qui surveille la bonne tenue de l’expulsion. L’élue a recommandé aux migrants d’aller s’abriter dans une église pour la journée en attendant de pouvoir revenir sur les lieux du squat. Les migrants ne cachent pas leur colère. « C’est terrible, on ne sait pas où on va aller », s’exclame l’un d’eux. Originaire de Côte d’Ivoire, il loge dans le camp depuis plus d’un an.
Dans l’arrondissement, les campements clandestins se multiplient au grand dam des riverains.
Récemment, je suis allée à une exposition à Beaubourg et en sortant à 22 h, je suis passée devant l’école Saint-Merri, j’ai vu le campement et j’ai halluciné : il y avait tellement de tentes qui sortaient de nulle part ,
s’alarme Corinne, une riveraine qui s’inquiète pour la sécurité de sa fille, elle-même habitante du quartier. Cette dernière, âgée de 38 ans, habite à quelques rues et souhaite que des caméras de vidéosurveillance soient installées dans le hall de son immeuble pour assurer sa sécurité.
« Ils ont essayé de rentrer chez moi ! »
À quelques centaines de mètres de l’école, le square Couperin, situé rue des Barres entre l’Académie du Climat et l’église Saint-Gervais, empoisonne, lui aussi, la vie des habitants du quartier. Dans cet espace vert, entre des buissons et quelques arbres, se dressent une dizaine de tentes. Les rats se faufilent entre les sacs poubelles et les bouteilles vides. De vieux habits et des couvertures trouées jonchent le sol. L’endroit est insalubre. La forte odeur d’urine rend cette jolie ruelle médiévale désagréable. Cela fait déjà plusieurs mois que des migrants y logent.
Une fois, j’en ai vu deux qui harcelaient une femme juste ici,
raconte Josette, une riveraine de 70 ans, en désignant l’entrée du square.
Ils ont essayé de rentrer chez moi, vous vous rendez compte !
raconte, effrayée, la concierge de l’immeuble situé en face du jardin public. Il y a quelques semaines, la serrure de sa loge a été fracturée et sa fenêtre cassée par un squatteur alors qu’elle s’y trouvait. L’habitante fait défiler les photos des dégâts sur son téléphone et peine à contenir sa peur :
Heureusement, j’avais laissé la clé dans la serrure et ça l’a empêché d’entrer,
explique-t-elle d’une voix tremblante. Une jeune Arménienne, qui loue un appartement en face du square depuis septembre, est tout aussi apeurée.
On est jamais très tranquille ici. Je n’ose pas sortir le soir,
témoigne-t-elle. Pour Laurent, confronté à ce phénomène depuis des années,
ces dizaines de fantômes qui errent dans le quartier n’ont pas leur place ici.
Sujet tabou chez les bobos
Certains habitants de ce quartier “bobo” de Paris tentent d’alerter les autorités sur la situation. Mais l’un d’entre eux souligne :
quand on évoque le sujet en conseil de quartier on est tout de suite stigmatisé,
souligne l’un d’eux. Alors que la situation dure depuis des années, ils ne se sentent pas entendus. « J’ai l’impression de prêcher dans le désert », regrette une riveraine qui essaie de sensibiliser en postant des photos des campements sur X. Rue de Sully, boulevard Bourdon ou le long des quais de Seine, les campements sauvages abondent dans l’arrondissement.
Pourtant, ce 29 octobre au matin, la police intervient dans le square Couperin. La préfecture et la mairie ont-elles enfin entendu les doléances ? Pas vraiment. Un policier municipal présent sur place reconnaît que les habitants du rez-de-chaussée « vivent un enfer », mais insiste sur le fait qu’« il ne s’agit pas d’une expulsion mais simplement d’une opération de nettoyage ». Sous les yeux de quelques migrants médusés, le personnel de la voirie s’affaire en combinaison blanche pour tout nettoyer, jeter les déchets et couper les petits arbustes. D’autres installent de grandes barrières de deux mètres de haut le long de la clôture, ne laissant que l’accès au portillon du square. Après le démantèlement du camp de l’école Saint-Merri, ils craignent que les migrants délogés ne viennent s’installer dans ce petit espace.
Paris, « ville ouverte », en paie les frais
Si des opérations de démantèlement ont lieu ponctuellement, la lenteur administrative et l’absence de solutions pérennes laissent penser que le problème n’est pas prêt de disparaître. «
Je suis sidéré qu’en ville on puisse poser sa tente et considérer que c’est définitif,
s’exclame Aurélien Véron faisant allusion à la procédure de “flagrance” qui permet d’intervenir dans les 48 heures qui suivent l’installation du campement. Il regrette :
La plupart du temps, les riverains m’avertissent au bout d’une semaine mais c’est déjà trop tard.
Pourtant, le maire peut user de son pouvoir de police administrative pour évacuer les campements, notamment lorsqu’une présence importante de déchets y est constatée. Contactée, la mairie de Paris Centre (1er, 2e, 3e 4e arrondissements) n’a pas répondu aux questions de Valeurs actuelles au sujet de ces prérogatives et invite à se tourner vers la Préfecture de police.
Cette dernière affirme mener une « action déterminée contre l’occupation illégale de la voie publique ». Mais les forces de l’ordre semblent dubitatives : « Ils iront certainement sur les quais de Seine », affirme un policier qui procède à l’évacuation du parvis de l’école Saint-Merri. L’expulsion “sèche” décidée par la Préfecture ne prévoit pas de solutions alternatives pour les migrants sans domicile. De fait, il semble que les squatteurs expulsés campent désormais devant la cité internationale des arts, sur les berges du fleuve. « La mairie a tendu les bras en disant « Paris, ville ouverte, venez tous ! » Cette situation n’est pas viable. Elle est explosive », conclut Aurélien Véron.
Bertille Vaur, Pauline Condomines pour Le Club de Valeurs actuelles.
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2 Réponses à “Les Bobos votent à gauche, et soutiennent l’immigration,
Mais pas au moins de les accepter devant leur porte !”
De quoi se plaignent le bobos, il vivent le rêve du vivrensemble…
Les veinards…
Des bobos commencent a voir la réalité, tant que c’était les autres, tant pis pour eux, aucune compassion, mais maintenant leur tour commencent…
Voici ce qui ce passe en coulisse :
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