Effets secondaires des vaccins covid : la déferlante !

D’un côté, nous voyons que les gouvernements occidentaux et leurs médias serviles font tout pour que leurs populations oublient leur gestion calamiteuse de la crise pandémique.

A l’inverse, sur les réseaux sociaux, on assiste à une véritable déferlante de résultats d’études qui prouvent la dangerosité des vaccins ARN !

Mais Trump a gagné !

On peut espérer que la victoire de Donald Trump et la nomination probable de Robert Kennedy Jr à un poste équivalent au ministère de la santé, mettra fin à l’omerta que Joe Biden, les démocrates et l’Etat profond ont imposée outre-atlantique.

Si la vérité explose là-bas, elle finira par emporter aussi l’Europe et la France dans laquelle les médias continuent à imposer censure et omerta !

De la déferlante évoquée plus haut, j’ai choisi de rapporter ici trois exemples d’études accablant les effets secondaires des vaccins anti-covid.

Virginie Joran, députée européenne RN très active dans le domaine de la vaccination covid

1 – Les accusations contre le Rochester Régional Health

Une enquête explosive secoue le monde de la santé publique ! Le Rochester Regional Health (RRH), l’un des plus grands systèmes de santé aux États-Unis, fait face à des accusations choquantes et graves :

avoir intentionnellement ordonné à ses employés de NE PAS signaler les effets indésirables du vaccin COVID-19 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données fédérale cruciale pour la sécurité des vaccins.

Cette manœuvre, si elle est avérée, pourrait bien être l’une des pires tentatives de suppression d’informations médicales vitales de ces dernières années. C’est Deborah Conrad, une ancienne employée de RRH, qui sonne l’alarme. Cette professionnelle de santé, aujourd’hui licenciée, affirme que plus de 170 cas graves d’effets indésirables auraient été intentionnellement bloqués par la direction de l’établissement. Pourquoi ? Selon Conrad, il s’agirait d’une stratégie délibérée visant à empêcher la diffusion de rapports alarmants sur des effets secondaires potentiellement graves liés aux vaccins COVID-19.

Elle explique qu’après avoir tenté de signaler ces événements indésirables, elle a fait face à des mesures de représailles de la part de la direction de RRH. Son témoignage est glaçant : elle aurait été licenciée, non pour faute professionnelle, mais pour avoir osé dire la vérité et pour dissuader d’autres employés de suivre son exemple.

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2 – Pour les oncologies britanniques, le lien entre vaccins covid et turbo cancers est établi

Un chirurgien britannique met en garde contre une augmentation des « cancers turbo » inopérables suite au déploiement du vaccin COVID.

Le Dr James Royle, chirurgien britannique de renom, a tiré la sonnette d’alarme face à une augmentation significative des « cancers turbo » agressifs et à propagation rapide.

Selon le Dr Royle, ces cancers se développent, se propagent et mutent à une vitesse sans précédent.

Ses inquiétudes font écho aux conclusions du professeur Angus Dalgleish et d’autres professionnels de la santé du monde entier. Il est convaincu que ce changement est dû à la thérapie génique à ARNm contre la COVID, commercialisée auprès du public par les établissements médicaux et les médias traditionnels sous le nom de « vaccin contre la COVID ».

« Plusieurs de mes collègues de l’équipe multidisciplinaire, chirurgiens, oncologues, pathologistes, radiologues et infirmières spécialisées m’ont tous reconnu le changement soudain des tendances et l’augmentation spectaculaire de ces cancers avancés incurables que nous avons observés au cours de ces deux dernières années. »

« Malgré les récents articles [des médias grand public] affirmant que la croissance soudaine des cancers n’est pas nouvelle… on constate une augmentation claire et spectaculaire en 2021, peu de temps après le déploiement du vaccin.

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3 – SIDA en hausse parmi les personnes vaccinées  contre le Covid

Le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) est en augmentation parmi les personnes ayant reçu des vaccins à ARNm contre le Covid, a admis un rapport officiel choquant du gouvernement américain.

Le rapport de surveillance des vaccins PHE du gouvernement britannique révèle que les personnes de 40 à 70 ans doublement vaccinées ont perdu 40% de la capacité de leur système immunitaire par rapport aux personnes non vaccinées.

Leur système immunitaire se détériore d’environ 5% par semaine (entre 2,7% et 8,7%).

Si cela continue, les personnes de 30 à 50 ans auront un système immunitaire dégradé à 100%, une défense virale nulle d’ici Noël et toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 30 ans auront perdu leur système immunitaire d’ici mars de l’année prochaine.

Les chiffres de l’étude montrent également que les vaccins ne perdent PAS simplement leur efficacité au fil du temps jusqu’à une efficacité nulle, ils endommagent progressivement le système immunitaire jusqu’à ce qu’une efficacité négative soit atteinte.

Ils laissent actuellement les personnes de plus de 30 ans dans une situation pire qu’avant la vaccination.

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Je ne cesserai de publier ici toutes les études sérieuses et sourcées que je trouverai sur internet. Et ceci jusqu’à ce que la vérité éclate enfin et que les responsables politiques et sanitaires soient mis devant leurs responsabilités.