De Gaulle désignait son ennemi : la bourgeoisie !

Publié par le 18 Nov, 2024 dans Blog | 1 commentaire

De Gaulle désignait son ennemi : la bourgeoisie !

Macron a réussi « l’exploit » ou plutôt le désastre de rejeter le peuple dans des partis dits extrêmes et de réunir dans un bloc central les bourgeoisies de droite et de gauche !

Les Bourgeois du 16 ème et les Bobos du 20 ème !

Ce bloc central se voit plus Européen que Français et n’a plus du tout les mêmes intérêts que la France profonde.

Les Bobos voient tout au travers du prisme écologique et n’ont que faire des dégâts de l’écologie punitive sur notre industrie. Les deux bourgeoisies, bien à l’abri derrière leurs grilles et leurs digicodes, se tiennent à distance des méfaits de l’immigration incontrôlée qu’elles approuvent au nom des bons sentiments.

Je suis tombé sur un article signé Nicolas Bonnal et publié dans le Saker francophone dans lequel il cite largement le général de Gaulle qui ne semblait pas priser cette bourgeoisie égoïste.

Voici les extraits correspondants de cet article :

De Gaulle et le journalisme de collaboration mondialiste

La presse étatique-ploutocratique en France se mobilise pour notre extermination. Elle veut :

  • la vaccination à mort,
  • la lutte contre le carbone et les sexes à mort,
  • elle veut l’invasion migratoire à mort (et ce depuis quarante ans),
  • elle veut la censure médiatique à mort,
  • et maintenant en bon petit Hitler, elle veut la guerre contre la Russie et contre les USA.

Elle est totalement psychopathe.

Je vais citer grâce à l’excellente Echelle de Jacob les réflexions de Charles de Gaule :

Le Général me répète, avec encore plus d’énergie, ce qu’il m’a dit déjà plusieurs fois au sujet des journalistes :
« Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse. Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. »

De Gaulle ajoute que la bourgeoisie trahit toujours, trahit partout, rien que pour continuer de bouffer en ville :

Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national.

Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre.

De Gaulle premier gilet jaune ? On ricane bien sûr. Il résume parfaitement le Truman show (comme dit ma lectrice Amal) de la vie politique républicaine :

En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir. Cela m’est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m’ennuierait même qu’ils ne le soient pas. J’en serais navré, vous m’entendez !

Le jour où Le Figaro et l’Immonde me soutiendraient, je considérerais que c’est une catastrophe nationale !

Elles ont fusionné ces bourgeoisies avec l’union de Macron et Barnier, du bourgeois catho et du bourgeois homo, du crétin utile catho-souverainiste et du mondialiste branché, festif et fervent.

Jeff Bezos courageusement et intuitivement a parlé du mur de la réalité. Pour l’instant tout le monde s’en tape en France : il faut mutiler sexuellement les enfants ; il faut raser la Russie de Poutine et l’Amérique de Trump au nom de cette lutte contre l’hitlérisme dont on reprend les marottes (exterminer simultanément si possible les deux plus grandes puissances militaires du monde) ; il faut exterminer le carbone et faut remplacer la population. Le réel, disait Muray, ce sera pour une autre fois. Déjà leur euro-jacobinisme (jacobinisme qui comme je le prévoyais dans mon Coq hérétique a conquis l’Europe) repousse toutes les lois de la réalité.

Nicolas Bonnal pour le Saker francophone.

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Une réponse à “De Gaulle désignait son ennemi : la bourgeoisie !”

  1. Le Général me répète, avec encore plus d’énergie, ce qu’il m’a dit déjà plusieurs fois au sujet des journalistes :

    « Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération.
    Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse.

    De Gaulle ajoute que la bourgeoisie trahit toujours, trahit partout, rien que pour continuer de bouffer en ville

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