Covid : ils ont même caché les morts !

Publié par le 26 Nov, 2024 dans Blog | 0 commentaire

Covid : ils ont même caché les morts !

Un grand merci à Patrice Gibertie pour son blog qui aura apporté une contribution majeure pour la révélation de toutes les vérités cachées sur le covid.

J’ai relayé ici nombre de ses articles pour leur qualité et la variété de leurs sujets comme par exemple :

Inondations : le réchauffement climatique a bon dos !
Le GIEC bidonne les données qui invalident sa thèse !
Ce scandale absolu que les médias vous cachent !

Voici un nouvel article de Patrice Gibertie qui dénonce la façon ignoble utilisée pour cacher au public les morts liées aux vaccins d’ARN survenues immédiatement après l’injection.

Ordre avait été donné, dans les hôpitaux, de ne qualifier les morts survenus juste après la vaccination de morts covid qu’à partir de quinze jours après l’injection. Les personnes tuées par le vaccin n’étaient ainsi pas comptabilisées comme vaccinés !

Ce qui entrainait un double biais dans les statistiques :

  • Minimiser les morts liées à la vaccination,
  • Augmenter les morts des non-vaccinés.

Des données utilisées par la propagande du pouvoir pour pousser les gens à la vaccination !

Voici donc l’article de Patrice Gibertie :

les vaccins à ARNm COVID provoquent une MORT SUBITE
et la plupart surviennent dans les deux premières semaines
ils ont été étiquetés NON VACCINÉS.

Image de publicité du film Hold-Up

Source : Resarchgate.net

Le développement rapide des vaccins contre la COVID-19, combiné à un grand nombre de rapports d’événements indésirables, a suscité des inquiétudes quant aux mécanismes possibles de lésion, notamment la distribution systémique des nanoparticules lipidiques (LNP) et de l’ARNm, les lésions tissulaires associées à la protéine Spike, la thrombogénicité, le dysfonctionnement du système immunitaire et la cancérogénicité.

L’objectif de cette revue systématique est d’étudier les liens de cause à effet possibles entre l’administration du vaccin contre la COVID-19 et le décès en utilisant des autopsies et des analyses post-mortem.

Méthodes : Nous avons recherché dans PubMed et ScienceDirect tous les rapports d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organe publiés concernant la vaccination contre la COVID-19 jusqu’au 18 mai 2023.

Toutes les études d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organe qui incluaient la vaccination contre la COVID-19 comme exposition antérieure ont été incluses. Étant donné que l’état des connaissances a progressé depuis l’époque des publications originales, trois médecins ont examiné indépendamment chaque cas et ont déterminé si la vaccination contre la COVID-19 était ou non la cause directe ou avait contribué de manière significative au décès.

Résultats : Nous avons initialement identifié 678 études et, après avoir examiné nos critères d’inclusion, nous avons inclus 44 articles contenant 325 cas d’autopsie et un cas d’autopsie restreinte à un organe (cœur).

L’âge moyen du décès était de 70,4 ans. Le système organique le plus impliqué parmi les cas était le système cardiovasculaire (49 %), suivi par le système hématologique (17 %), le système respiratoire (11 %) et les systèmes multiorganiques (7 %). Trois systèmes organiques ou plus étaient touchés dans 21 cas.

Le délai moyen entre la vaccination et le décès était de 14,3 jours. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin.

Un total de 240 décès (73,9 %) ont été jugés de manière indépendante comme étant directement dus ou significativement liés à la vaccination contre la COVID-19, dont les principales causes de décès comprennent :

  • la mort cardiaque subite (35 %),
  • l’embolie pulmonaire (12,5 %),
  • l’infarctus du myocarde (12 %),
  • la thrombocytopénie immunitaire prothrombotique (7,9 %),
  • la myocardite (7,1 %),
  • le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %)
  • et l’hémorragie cérébrale (3,8 %).

Conclusions :

La cohérence observée entre les cas de cette revue avec les mécanismes connus des vaccins contre la COVID-19 de blessure et de décès, associée à la confirmation de l’autopsie par l’évaluation d’un médecin, suggère qu’il existe une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Une enquête plus approfondie et urgente est nécessaire afin de clarifier nos conclusions.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

DERNIÈRES NOUVELLES :

L’article le plus CENSURÉ sur TERRE – L’article sur l’autopsie du vaccin COVID-19 « MORT SUBITE » censuré par The Lancet a été évalué par des pairs et publié !! Cela fait maintenant deux ans, avec une censure sans précédent de la part du Lancet et d’un autre journal Elsevier qui a retiré cet article à la dernière minute !

Cela n’a jamais été vu auparavant dans l’édition scientifique ! 325 AUTOPSIES de personnes récemment vaccinées contre la COVID-19 qui sont « MORTES SUBITEMENT » (la plus grande série d’autopsies au monde)

« Le délai moyen entre la vaccination et la MORT était de 14,3 jours » « 73,9 % des décès ont été jugés de manière indépendante comme étant directement dus ou significativement liés à la vaccination contre la COVID-19. » Oui, les vaccins contre la COVID-19 entraînent des MORTS SUBITES peu de temps après la vaccination (ils le font également à long terme).

Merci à @P_McCulloughMD et @NicHulscher pour les innombrables heures de travail acharné nécessaires à la publication de cet article.

Félicitations à tous mes co-auteurs ! Il s’agit d’une réalisation monumentale face à une censure scientifique sans précédent dans l’histoire. Oui, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 provoquent une MORT SUBITE et la plupart surviennent dans les deux premières semaines – c’est pourquoi ils ont été étiquetés NON VACCINÉS.

Cet article prouve POURQUOI ILS L’ONT FAIT. Ils ont caché les morts.

Le blog de Patrice Gibertie.

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