Si un jour la droite – la vraie droite – revient au pouvoir, il lui faudra procéder à un nettoyage au karcher de tous les organismes, de toutes les institutions que la gauche a infiltrés depuis des décennies.
Pour les médias, ce sera facile !
Il suffira de cesser de les subventionner. Le jour où les lecteurs fourniront les seuls revenus des médias, le paysage médiatique va s’autonettoyer en quelques mois !
Il faudra néanmoins dissoudre l’AFP que certains ont surnommé l’Agence Française de Propagande, en la recréant à partir de zéro.
Pour l’école qui a été détruite par les pédagogistes soutenus par des syndicats de gauche et d’extrême gauche, ce sera un travail de titan ! La solution pourrait être une privatisation déguisée en supprimant le quota qui bloque aujourd’hui le développement des écoles privées.
Bien évidemment, il y aurait la justice pour laquelle, malheureusement, je ne vois pas de solutions faciles. Il faudrait au moins commencer par dissoudre le Syndicat de la magistrature et de créer une école de la magistrature non noyautée par la gauche.
Il y a un autre domaine où la gauche étend son emprise, c’est l’encyclopédie en ligne Wikipedia qui s’est totalement dévoyée en devenant un organe de pure propagande.
Voici un article de Breizh-Info qui en dénonce le sandale :
Wikipedia, l’encyclopédie sous pression
idéologique gauchiste : quand la neutralité vacille
Selon une récente enquête publiée par Le Point, la célèbre encyclopédie en ligne Wikipédia, si réputée pour son modèle collaboratif, serait en proie à d’importantes dérives idéologiques. Ce phénomène, passé jusque-là relativement inaperçu du grand public, pose de sérieuses questions sur la fiabilité de la plateforme et la pérennité de son principe fondateur : la neutralité de l’information. L’enquête démontre que certains contributeurs, profitant de leur statut ou de leur présence assidue, glisseraient des opinions militantes, souvent issues de l’extrême gauche, au détriment d’une représentation équitable des faits.
Un idéal d’origine : neutralité et diversité des contributeurs
Conçue au début des années 2000, Wikipédia repose sur une idée forte : offrir un accès rapide, gratuit et universel à la connaissance, sans publicités ni barrières commerciales. Son succès phénoménal vient en partie de sa structure ouverte, permettant à chacun de contribuer, corriger et enrichir les contenus. Cet écosystème devait garantir, dans l’idéal, une forme d’autorégulation assurant pluralité et exactitude.
L’enquête du Point met en évidence l’émergence d’un petit groupe de contributeurs hyperactifs, engagés politiquement, qui détournent les règles internes pour imposer une vision biaisée de certains sujets. Scientifiques, médias, personnalités publiques : aucun domaine n’est épargné. Certaines pages sont remaniées de façon à discréditer des voix dissidentes ou à présenter des faits sous l’angle des militants les plus bruyants. Certains termes, comme « islamophobe » ou « extrême droite », sont ainsi apposés sans nuance, contribuant à façonner l’opinion des internautes et à marginaliser des sources jugées « non conformes » à leur grille de lecture.
Des stratégies de censure et un système à bout de souffle
Le processus est subtilement organisé. Des contributeurs triés sur le volet, bénéficiant d’une certaine ancienneté, utilisent leur influence pour bloquer, suspendre ou décrédibiliser les comptes en désaccord avec leurs convictions. Les références jugées « dérangeantes » sont systématiquement remises en question, quand elles ne sont pas purement écartées. Le résultat ? Certains médias et experts, certes reconnus, se retrouvent marginalisés, tandis que des opinions militantes, pourtant contestables, parviennent à se hisser au rang de vérités admises.
Au-delà du principe moral, ces manipulations ont des conséquences concrètes sur la perception du public. Grâce à sa forte visibilité dans les moteurs de recherche, Wikipédia influence le classement des sources, conférant aux médias et personnalités soutenus par ces militants une aura de crédibilité. Inversement, d’autres supports d’information voient leur légitimité mise en doute, au point que leurs analyses peinent à remonter dans les résultats de recherche.
Ce mécanisme de visibilité sélective peut donc façonner l’opinion publique à grande échelle.
Des exemples concrets de manipulation idéologique
L’enquête du Point regorge d’exemples montrant comment certains contributeurs, identifiés ou anonymes, modifient insidieusement les contenus pour servir leurs convictions, souvent proches de l’extrême gauche ou de l’univers woke :
La page du glyphosate : Considérée comme un cas d’école, cette page illustre à quel point un sujet scientifique peut être politisé. Alors que la version anglophone de l’article décrit le consensus des agences sanitaires mondiales, concluant à l’absence de preuve d’effet cancérogène sur l’homme, la version francophone insiste lourdement sur la dangerosité présumée du produit. Cette approche biaisée est principalement le fait d’un seul contributeur hyperactif, déformant le contenu pour le mettre au service d’une idéologie écologiste radicale.
Médias ciblés : le cas du Point : L’enquête révèle que l’hebdomadaire Le Point, pourtant un média de référence, est présenté sur Wikipédia comme « islamophobe » ou « proche de l’extrême droite » sans aucune base factuelle solide. Certains contributeurs, parfois identifiables comme des chercheurs ou des enseignants, utilisent des sources militantes peu fiables pour justifier ces étiquettes. L’objectif ? Décrédibiliser le journal, éliminer ses articles des sources recevables et, à terme, affaiblir son référencement dans les moteurs de recherche. Il a même été question de bannir Le Point comme référence sur tous les sujets sensibles (immigration, terrorisme, faits divers), rendant impossible la confrontation des points de vue.
Personnalités culturelles dans le collimateur : J.K. Rowling : L’auteur d’Harry Potter, dont les prises de position sur la question transgenre suscitent des débats, est caricaturée sur sa page. Les contributeurs militants la décrivent comme niant la persécution des personnes transgenres dans l’Allemagne nazie, dérive interprétative sans fondement historique. L’accumulation de critiques disproportionnées crée un climat délétère et transforme une page biographique en véritable acte d’accusation.
Figures scientifiques et universitaires attaquées : La géographe Sylvie Brunel, ayant travaillé dans l’humanitaire, est décrite comme « climatosceptique » – étiquette trompeuse et réductrice – simplement parce qu’elle ose relativiser certaines affirmations alarmistes sur le climat. L’animateur scientifique Mac Lesggy, défenseur de l’agriculture conventionnelle, se voit quant à lui accusé de « collusion avec l’agro-industrie ». Ces tactiques cherchent à décrédibiliser des points de vue contraires à la ligne idéologique dominante.
Une remise en question nécessaire
Face à ces dérives, une question s’impose : peut-on encore faire confiance à Wikipédia, surtout sur des sujets sensibles ? L’encyclopédie doit sans doute envisager une refonte de ses mécanismes de contrôle. De nombreuses voix réclament plus de transparence dans la procédure de nomination des administrateurs, ainsi qu’un contrôle accru des sources utilisées. Des experts suggèrent même la mise en place de comités indépendants, chargés de veiller au respect des règles de neutralité et d’équité, afin d’éviter que quelques individus ne confisquent le débat.
Wikipédia a profondément modifié notre rapport à la connaissance, en facilitant l’accès aux informations sur une multitude de sujets. L’enjeu actuel consiste à préserver cet idéal en empêchant des groupes organisés de faire main basse sur son contenu. Si cette encyclopédie en ligne veut conserver sa réputation et son influence, elle devra impérativement réaffirmer son engagement en faveur d’une information impartiale et confrontée aux faits, loin des agendas militants qui menacent son intégrité.
En somme, la révélation, par Le Point, de l’existence de manipulations idéologiques gauchistes (il suffit de lire la page consacrée à Breizh Info et de constater l’impossibilité de toute modification objective) à l’intérieur de Wikipédia agit comme un signal d’alarme. Elle met en lumière la nécessité, pour la plateforme, de réagir rapidement et de renforcer ses garanties de neutralité. Seule une action ferme permettra à l’encyclopédie en ligne de continuer à incarner un espace de savoir partagé, digne de la confiance des internautes du monde entier.
Breizh-Info.
Je me permets de rajouter cette description de CNews :
Sa ligne éditoriale est décrite comme très ancrée à droite et conservatrice, avec une orientation marquée de plus en plus à l’extrême droite et identitaire, reprenant des thématiques de campagne comme l’immigration et l’insécurité et banalisant des discours contre l’immigration musulmane, avec notamment la présence d’Éric Zemmour, son chroniqueur vedette (jusqu’à son départ en septembre 2021).
Et le début de la page de Charlotte d’Ornellas :
Charlotte d’Ornellas, née le à Orléans, est une journaliste et chroniqueuse française. Issue de la mouvance identitaire, elle est considérée comme l’une des figures les plus médiatiques de l’extrême droite en France.
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2 Réponses à “La gauche noyaute tout … Même les encyclopédies !”
Tout a ete noyauté par la goche debile, mensongere, manipulatrice.
La goche n’echappe pas au gout de la dictature sous diverses formes, et veut une emprise sur les cerveaux,
c’est la goche qui ne pense qu’a elle, et meprise les autres.
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Mayotte : Rachid Mélenchon qualifié de « charogne » par Estelle Youssouffa
https://ripostelaique.com/mayotte-rachid-melenchon-qualifie-de-charogne-par-estelle-youssouffa.html
Je ne me fie à aucun article de wikipédia, dommage pour ceux qui pourraient être utiles.