Corrélation entre immigration et délinquance :
la gauche refuse d’y croire. Et pourtant !

Les Français de gauche commencent juste à ouvrir les yeux sur les conséquences néfastes de l’immigration. Ils sont une majorité à vouloir la maitriser et la réduire.

Mais il n’en est pas de même dans les instances des partis de gauche qui persistent dans des postures qui se heurtent, de plus en plus frontalement à la réalité.

Ils ne parviennent pas à renoncer à leur récit de plus en plus imaginaire de la diversité heureuse. Et les médias qui leur sont majoritairement favorables cachent soigneusement les faits divers qui contestent quotidiennement le vivre-ensemble idyllique que la gauche nous vend !

La corrélation entre immigration et délinquance, voire criminalité, est l’un des derniers tabous des partis de gauche.

Je relaye un article de Boulevard Voltaire qui démontre, chiffres à l’appui la corrélation et même de rapport de causalité entre immigration et délinquance.

Voici d’abord, en résumé, un tableau donnant pour chaque type de délit le pourcentage d’étrangers et la sur-représentation des étrangers dans la délinquance sachant qu’il y a 7 % d’étrangers en France.

Par exemple, si les étrangers représentent 21 % dans un type de délit, ils y sont donc trois plus présents.

En moyenne, les étrangers sont 4,4 fois plus délinquants que les Français de souche. Des mauvaises langues feront remarquer perfidement que si on comptait les délits commis par des Français issus de l’immigration, on obtiendrait une sur-représentation plus élevée encore.

Voici l’article de Boulevard Voltaire :

Complément d’enquête :
pas de liens entre immigration et délinquance ?

Jeudi 23 janvier, l’émission Complément d’enquête cherchait des poux dans la tête du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Le locataire de la Place Beauvau a donc été interrogé par Tristan Waleckx au sujet de l’immigration. Le journaliste, s’appuyant sur une étude du Centre d’études prospectives et d’informations internationales (CEPII) lié au ministère de l’Intérieur, tient pour acquise « l’absence d’impact de l’immigration sur la délinquance ». Étonnement de Bruno Retailleau, qui conteste fermement cette conclusion : « La réalité dément cette étude. » Et comment ! La preuve par huit !

Un. Le ministre explique lui-même que la population des étrangers en France représente environ 7 % de la population française alors que les auteurs de cambriolages sont pour 38 % d’entre eux étrangers et que les coupables de vols de voitures sont pour 40 % le fait d’étrangers.

Deux. Le sénateur des Bouches-du-Rhône Stéphane Ravier, ancien membre de Reconquête et connu pour sa lutte contre l’immigration, notamment à Marseille, avait interrogé le ministre de l’Intérieur, sur ce même sujet, demandant « au ministre le nombre de cambriolages, vols, agressions, viols et meurtres commis par des ressortissants étrangers à l’encontre de Français sur le sol national depuis le début de l’année 2024 ». Le 5 décembre dernier, la réponse a été publiée : 17 % des homicides sont le fait d’étrangers, 30 % pour les vols sans violence… Les chiffres officiels témoignent d’une réelle surreprésentation des profils étrangers dans les actes de délinquance.

Dans de nombreux domaines de délinquance, les étrangers sont surreprésentés

Trois. La population carcérale est un indicateur non négligeable de ce phénomène. Dans les prisons françaises, 24 % des individus écroués sont étrangers. L’Afrique est le principal continent d’origine des étrangers détenus. Or, la population étrangère représente, rappelons-le, 7 % de la population française. Donc, pour un échantillon de 10.000 habitants, 8 Français sont incarcérés, contre 28 étrangers, selon une analyse du statisticien Marc Vanguard.

THREAD: immigration & insécurité en France
Par rapport aux pays voisins, la France publie peu de données de criminalité par nationalité.
Mais les quelques chiffres disponibles en disent déjà long sur la surreprésentation de certaines populations dans les crimes et délits ⬇️ pic.twitter.com/8ZGy6JDHJN

— Marc Vanguard (@marc_vanguard) November 28, 2023

Quatre. Quant aux taux de mise en cause, ils témoignent aussi d’une sur-représentation des étrangers, et ce, dans plusieurs catégories de délinquance. Pour ce qui est des coups et blessures volontaires, le taux d’étrangers mis en cause est 2,4 fois supérieur à celui des Français, et 3,3 fois supérieur pour les ressortissants africains.

Cinq. Les vols violents sont 10 fois plus commis par des étrangers que par des Français ; de même pour les cambriolages.

Six. Pour les vols et les violences dans les transports en commun, 55 % des accusés sont enregistrés comme étrangers.

Sept. Le taux de mise en cause d’étrangers africains pour violences sexuelles est trois fois plus élevé que celui des Français ; la proportion est la même pour les violences commises au sein du foyer familial (féminicides, violences conjugales).

Huit. À Paris, comme l’avait révélé Europe 1, 77 % des violeurs de rue interpellés sont des étrangers. Dans les affaires de stupéfiants, la tendance se vérifie également : chez les étrangers africains, le taux est trois fois plus élevé que chez les Français.

En déroulant le fil, une constante claire se dégage sans qu’il soit besoin de mentionner les descendants d’immigrés. Car en France, 95 % des auteurs d’attentats islamiques sont immigrés ou issus de l’immigration musulmane. De quoi contredire l’étude du Centre d’études prospectives et d’informations internationales dont l’objectivité sur la question peut à bon droit interroger…

Raphaelle Claisse pour Boulevard Voltaire.