Trump aux Etats-Unis, AfD en Allemagne.
La gauche française en pleine panique !

Publié par le 14 Fév, 2025 dans Blog | 3 commentaires

Trump aux Etats-Unis, AfD en Allemagne. La gauche française en pleine panique  !

Si vous êtes de droite, et que vous approuvez la guerre menée par Donald Trump et Elon Musk contre le wokisme et l’Etat profond américain, je connais un moyen infaillible de vous redonner le sourire … et le moral !

Faite-vous violence et aventurez-vous sur les chaines de radio et de télévision du service public, même si vous les boycottiez, comme moi, depuis des décennies !

Regardez des exemples des nombreux débats où des intervenants, tous de gauche, se déchainent contre :

Donald Trump, « le fasciste » et Elon Musk « le fou furieux » !

C’est jubilatoire !

Ces gens ont compris que la vague anti-woke allait bientôt arriver en Europe et que le progressisme allait y être mis en accusation.

Tous ces gauchistes seront encore plus hystériques quand ils prendront conscience de ce qui se passe en Allemagne avec la montée de l’extrême droite.

Voici un article de Polémia qui explique ce qui se passe outre-Rhin :

Coalition entre l’AfD et les Conservateurs
en Allemagne : un tournant majeur ?

Alice Weidel, co-présidente de l’AfD – le mouvement identitaire allemand –, a fait savoir que son parti était prêt à entrer comme « partenaire junior » dans une coalition avec les conservateurs CDU/CSU. C’est cette hypothèse qu’évoque ici notre correspondant Nicolas Faure, correspondant pour Polémia en Allemagne. Une hypothèse logique en termes de proximité idéologique des électeurs … mais une hypothèse en l’état peu probable car peu d’élus conservateurs sont prêts à briser le cordon sanitaire et à affronter les orages de la diabolisation. Reste qu’en l’absence d’une coalition entre les conservateurs et les identitaires, l’Allemagne se retrouvera sans majorité car le SPD en chute libre et la CDU/CSU à la peine auront du mal à rassembler suffisamment de sièges pour former une coalition stable. En France comme en Allemagne il n’y aura pas de solution politique stable tant que subsistera l’absurde interdit sur les formations injustement ostracisées.

Vers une recomposition majeure ?

Le paysage politique allemand connaît une recomposition marquante ces dernières années. L’AfD, partie d’une position marginale, a réussi à consolider sa présence dans plusieurs Länder de l’Est et a élargi son influence à l’échelle nationale, en particulier sur des sujets clés comme l’immigration, la souveraineté nationale et la politique énergétique. De son côté, la CDU, sous la direction de Friedrich Merz, tente de regagner les électeurs conservateurs partis vers l’AfD. Tandis que le SPD et les Verts perdent du terrain dans les sondages, certains analystes prévoient qu’une coalition avec l’AfD pourrait devenir une option pour la CDU, afin d’assurer une majorité parlementaire stable.

Si une telle alliance venait à se concrétiser après des élections législatives anticipées, cela marquerait un tournant majeur dans la politique allemande. Historiquement, la CDU a toujours refusé toute coopération avec l’AfD, mais certains éléments récents laissent entrevoir un possible changement de cap.

Les grandes lignes de la coalition « noire et bleue »

  1. Immigration et sécurité : L’une des premières réformes d’une coalition entre la CDU et l’AfD pourrait être un durcissement de la politique migratoire. Des contrôles renforcés aux frontières et des restrictions plus strictes pour l’obtention du droit d’asile pourraient être mis en place. La coalition pourrait aussi faciliter le retour des demandeurs d’asile déboutés et réexaminer la législation sur la double nationalité et la naturalisation.
  2. Économie et fiscalité : Bien que les visions économiques de la CDU et de l’AfD soient parfois divergentes, la coalition pourrait s’accorder sur une réduction des impôts pour les entreprises et une réduction des régulations économiques. Le système de protection sociale pourrait également être réformé, notamment pour limiter certaines prestations pour les non-citoyens.
  3. Énergie et environnement : Un retour en arrière concernant la transition énergétique serait envisageable. L’AfD et la CDU pourraient assouplir les restrictions sur l’exploitation du charbon et du nucléaire, tout en mettant l’accent sur une indépendance énergétique accrue. Ce réexamen pourrait inclure une remise en question de certaines mesures climatiques jugées trop contraignantes.
  4. Politique européenne et internationale : À l’échelle européenne, une coalition CDU-AfD pourrait se montrer plus souverainiste, cherchant à réduire la contribution financière de l’Allemagne au budget de l’UE et à privilégier des relations bilatérales avec certains partenaires stratégiques plutôt que de poursuivre des décisions communautaires. Sur la scène internationale, la politique envers la Russie et la Chine pourrait être réévaluée, avec une approche plus pragmatique concernant les sanctions et les échanges commerciaux.

Réactions et conséquences politiques

Au sein de la CDU :
Une telle alliance pourrait provoquer des divisions profondes au sein de la CDU. D’un côté, certains membres conservateurs la soutiendraient pour des raisons stratégiques, cherchant à récupérer les électeurs perdus au profit de l’AfD. D’un autre côté, des figures plus modérées au sein du parti s’opposeraient fermement à ce rapprochement, risquant ainsi de fragiliser l’unité du parti, notamment dans les régions où les électeurs CDU sont historiquement plus centristes.

Dans la société allemande :
Une partie de l’électorat pourrait saluer la mise en œuvre d’une politique plus stricte en matière d’immigration et de sécurité, jugée nécessaire face à des défis démographiques et sécuritaires. Cependant, une large frange de la population, notamment dans les grandes villes et à l’Ouest du pays, pourrait manifester son opposition par des protestations dans les rues et une mobilisation accrue sur les réseaux sociaux, ce qui pourrait accentuer la polarisation sociale.

À l’international :
Une telle évolution provoquerait des réactions diverses à l’échelle européenne. Certains pays voisins, comme la France, pourraient exprimer leurs réserves face à l’évolution de la politique allemande, en particulier concernant la question migratoire et la place de l’Allemagne au sein de l’UE. D’autres pays, comme l’Italie ou la Hongrie, qui partagent des positions similaires avec l’AfD sur certaines questions, pourraient au contraire soutenir cette nouvelle orientation.

Friedrich Merz : le visage allemand d’un virage à droite de l’UE ?

Un changement de cap aux conséquences incertaines

Une coalition entre la CDU et l’AfD représenterait un bouleversement considérable dans la politique allemande, mais elle ne marquerait pas nécessairement une rupture totale avec les précédentes lignes politiques du pays. En effet, l’AfD pourrait modérer certaines de ses positions pour rendre cette coopération plus acceptable au sein de la CDU, mais la mise en œuvre de réformes ambitieuses pourrait se heurter à des résistances internes au sein du parti et à des tensions sociales grandissantes. Les divisions à l’intérieur de la CDU seraient cruciales : une scission interne pourrait émerger, rendant difficile la gestion d’une telle coalition.

De plus, à l’international, l’alignement avec des gouvernements eurosceptiques comme la Hongrie pourrait être perçu comme une dérive autoritaire, tandis que les relations avec les autres pays européens pourraient se détériorer. Sur le plan interne, les manifestations et l’agitation sociale pourraient accentuer la polarisation du pays.

Ainsi, bien qu’une telle alliance soit encore improbable à court terme, elle pourrait devenir un scénario envisageable à mesure que les équilibres politiques en Allemagne se modifient. Les prochaines années seront décisives pour savoir si la CDU et l’AfD peuvent véritablement trouver un terrain d’entente, et surtout, si une telle coalition peut assurer une stabilité politique sans provoquer de fractures trop profondes dans la société allemande. Si la CDU parvient à encadrer cette alliance en imposant ses lignes rouges, notamment sur le respect des institutions démocratiques et le rôle de l’Allemagne en Europe, cette coalition pourrait être perçue comme une réponse pragmatique aux évolutions du paysage électoral. À l’inverse, si les tensions internes et les réactions négatives dominent, elle pourrait être de courte durée et entraîner des recompositions politiques à moyen terme.

Nicolas Faure pour Polémia.

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3 Réponses à “Trump aux Etats-Unis, AfD en Allemagne.
La gauche française en pleine panique !”

  1. Le dingos souvent pseudo progressistes et de goche ayant tous massacré en europe s’accrochent a leurs privileges, comme des roquets.

    Les medias affidés a ces dingos continuent d’inventer un extremisme sur D Trump et E Musk, qu’ils qualifient de pire que tout…

    Souveno,ns nous de la goche ayant commenté sur un faible evenement, mais horrible pour le commentateur democrate repris par les merdias de la republique…

    L’action se situe au USA, et le president D Trump ( 1 er mandat ) plantait un arbre dans un parc,
    le commentateur a declaré que c’etait horrible…

    Combien d’autres tres nombreuses falsifications ont ete faites… des milliers a des niveaux divers… le tout sous une bien pensance faite de tolerance, d’amour du prochain, et aimant la paix pour tous…

    Ce qui n’empeche pas ces animaux pourris de deverser la haine sur tous ceux qui ne pensent pas comme eux et de l’alimenter a travers des merdias salopés et vendu aux pseudo progressisme qui vend les USA et tout les autres occidentaux au profit de l’autre, avec le deux poids deux mesure utilisé par des pourris.

  2. Le maire de Grenoble : « L’insécurité, je m’en fous un peu »
    https://ripostelaique.com/le-maire-de-grenoble-linsecurite-je-men-fous-un-peu.html
    .
    .

    L’AFP a menti aux Français : Elias a été assassiné d’un coup de machette
    https://ripostelaique.com/lafp-a-menti-aux-francais-elias-a-ete-assassine-dun-coup-de-machette.html

    Elias aurait eu 15 ans ce jour. Mais on apprend surtout que l’AFP a menti sur tout, dans cette histoire. Il a d’abord remis le téléphone aux deux racailles, terrorisé qu’il était par leurs armes. Mais surtout, il n’a pas été tué d’un coup de couteau, les agresseurs étaient munis d’une machette et d’une hachette. Donc, ils avaient décidé de tuer, quoi qu’il arrive, ce que nie totalement l’AFP, dont les dépêches sont recopiées par les journaleux. Tout est révoltant dans cette mort. https://www.bvoltaire.fr/elias-naura-jamais-15-ans-quand-lafp-passe-sous-silence-larme-du-crime/

    « Élias aurait dû avoir 15 ans le 14 février 2025. Élias n’aura jamais 15 ans… » Dans une longue et émouvante lettre, les parents d’Élias, adolescent sauvagement agressé le 24 janvier dernier à la sortie de son entraînement de football, refusent de voir le meurtre de leur fils qualifié de « simple fait divers ».

    « Élias est mort en raison d’une impunité », écrit cette famille « détruite » qui attend que la « vérité » soit faite. Dans cette « quête », ils en appellent notamment aux médias afin qu’à l’avenir, seuls les faits soient retranscrits dans leur intégralité. Ils espèrent également que les responsables politiques et les magistrats prendront les mesures nécessaires afin de « garantir la protection de tous avant qu’ils ne puissent être dénommés « victimes » ».
    Armés d’une machette et d’une hachette

    Au soir du 25 janvier, alors que la France découvrait avec effroi la mort d’Élias, l’intégralité des médias annonçaient que l’adolescent avait été tué après avoir refusé de donner son téléphone portable à son agresseur. Aujourd’hui, ses parents souhaitent rétablir la vérité.
    « Si le motif de l’escroquerie de ces deux jeunes était de récupérer le téléphone d’Élias, ils ne se sont pas arrêtés là. Loin de s’en contenter alors pourtant qu’Élias avait remis spontanément son téléphone portable, terrorisé à la vue des armes de ses agresseurs », rappellent ses parents.

    Surtout, ses proches souhaitent souligner que le jeune garçon n’a pas été tué par un « simple coup de couteau », comme cela « a pu être écrit », mais qu’il a reçu « un profond coup de machette ». Comme ils l’indiquent dans leur lettre, les deux jeunes agresseurs « déambulaient en toute liberté ensemble, l’un armé d’une machette, l’autre d’une hachette ».
    Une affirmation réitérée par les avocats des parents d’Élias, au micro de RTL. « La vérité, c’est que le coup qui a été porté l’a été par une machette. Les deux jeunes étaient armés. Dans la presse, on lisait qu’il y avait eu usage d’un couteau. Non, c’est beaucoup plus grave que ça » affirme ainsi Maître Nicolas Goutx. Selon ses parents, après ce coup d’une rare violence, « Élias n’avait aucune chance de s’en sortir », malgré la prise en charge par les secours.

    À ce sujet — “Ne pas subir” : Élias a résisté, que nos gouvernants prennent exemple sur lui

    Pourtant, en dépit de cette mise au point, l’Agence France-Presse (AFP), qui publiait ce 12 février une dépêche pour relater la lettre des parents d’Élias, refuse toujours de rétablir la vérité. Comme le souligne Pascal Praud, dans cette dépêche publiée à 15h10, « l’AFP ne parle pas de machette. L’AFP ne parle pas de hachette.
    Au contraire, l’AFP précise qu’Élias a été poignardé. » Résultat : de nombreux médias, qui reprennent à leur compte les dépêches de l’AFP, ont également omis de mentionner ce détail non négligeable et qui en dit long sur le degré de violence, voire de barbarie, atteint. D’autant plus que cette information revêt une grande importance, pour la famille d’Élias. Certains, comme Sud-Ouest, vont jusqu’à répéter que l’adolescent est décédé « des suites d’une agression au couteau ». Comme le souligne l’un des avocats, au micro d’Europe 1 : « Respecter la souffrance des victimes, c’est se montrer rigoureux dans le factuel et dans le message qu’ils veulent faire passer.

    À partir du moment où vous manquez de précision et que ça a une incidence en termes d’intention notamment, et de façon de percevoir l’agression, il y a un problème. » Et il ajoute : « Quand on parle de couteau alors qu’il s’agit de machette, la maladresse coupable impacte directement la souffrance de la famille. »
    Une plainte contre l’Etat « en réflexion »

    Au-delà de cette quête de la rigueur, les parents d’Élias partagent également leur constat d’un échec global. Avec une litanie de questions, ils interrogent l’État, le système judiciaire et l’application de la justice des mineurs.

    « Comment deux adolescents armés, interdits de contacts entre eux par la justice, connus défavorablement des services de police et judiciaires pour des faits similaires, ont-ils pu en toute impunité poursuivre leurs exactions ? » se demandent-ils notamment. Ils souhaitent donc vivement que les responsables politiques se saisissent de la question, à l’instar de cette proposition de loi pour renforcer la justice des mineurs et responsabiliser les parents, adoptée en première lecture, ce 13 février, qu’ils « saluent ».

    Leurs avocats annoncent également que la famille réfléchit à porter plainte contre l’État, qui « n’a pas su protéger ses citoyens ». « La justice devra se montrer ferme et garante de la sécurité. […] Cessons de protéger par des mesures uniquement éducatives les mineurs auteurs d’infractions », écrivent-ils.

    Et ils poursuivent : « Si la justice doit être éducative, elle doit demeurer également répressive et protectrice des droits de chacun. » Avec humilité et conviction, les parents d’Élias concluent : « Nous ne demandons pas aux représentants des partis politiques, aux magistrats, de ressusciter les disparus. Nous leurs demandons de protéger les vivants. »

  3. Film « Silenced » de Tommy Robinson : Le Poing, les « trois points » et les édiles
    https://ripostelaique.com/film-silenced-de-tommy-robinson-le-poing-les-trois-points-et-les-ediles.html

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