Sandrine Rousseau aurait réveillé la masculinité !

Publié par le 19 Avr, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Sandrine Rousseau aurait réveillé la masculinité !

Cette « masculinité toxique », héritière d’un patriarcat soumettant et harcelant les femmes, a été dénoncé par les néoféministes, Sandrine Rousseau en tête !

Pour ces soi-disant féministes, plus gauchistes que féministes, le mâle blanc hétérosexuel est la cible à abattre. De la même façon qu’elles prétendent que le Blanc porte en lui le racisme, l’homme porterait en lui cette masculinité toxique qui fait des femmes leur victime.

La plupart des hommes, qui ne reconnaissent pas en eux cette toxicité qui fait d’eux des violeurs potentiels, ont laissé dire et tentent de trouver dans leur couple un équilibre.

A l’inverse, les Bobos progressistes doivent sans doute courber l’échine devant ces féministes et entrer en pénitence pour obtenir le pardon de la gent féminine.

Mais certains mâles se révoltent !

C’est ce que rapporte cet article de Jany Leroy paru dans Boulevard Voltaire :

Liberté, Égalité, Virilité : le retour de bâton qui fait mâle

© Photo Pexels Anush Gorak

Un mouvement masculiniste a le vent en poupe, sur Tik Tok. Entre pratiques dangereuses et conseils divers, des jeunes hommes sont attirés par un retour radical à la virilité.

Dans la jungle sociétale, le mâle était tapi dans l’ombre. Cerné par les hordes féministes, il attendait son heure. Sur TikTok, sa riposte est féroce. Mâchoire carrée, regard de lynx, les conseils affluent pour parvenir au nec plus ultra de la masculinité. Les héros ne sont plus fatigués, ils rugissent de rage d’avoir été mis à l’écart. Trop fort, trop radical, le mouvement va parfois jusqu’à manifester une hostilité envers les femmes. Ce que Sandrine Rousseau croyait dénoncer, elle l’a créé. Sur les sites spécialisés, le ras-le-bol des jérémiades féministes s’est mué en un violent retour de bâton. Le freluquet veut ressembler à Superman, le séducteur donnerait son empire pour le menton carré d’un culturiste. Les pratiques dangereuses foisonnent et portent des noms à faire tomber en pamoison celles que certains convoitent.

L’âge de pierre c’est maintenant

Derrière le pétaradant « bone smashing » se cache l’inimaginable. À coups de marteau sur les os du visage, le pratiquant tente de se modeler les critères du mâle alpha. Comme son nom l’indique, le « hunter eyes » lui donnera un regard de chasseur après passage dans un bloc opératoire. Si le sujet pousse des grognements, il n’en sera que plus apprécié. Le retour aux fondamentaux est lancé. Les silex s’aiguisent pour la revanche. Les plus sauvages voient la femme de 2035 demander la parité homme-Neandertal dans les élections municipales.

Dans la litanie des anglicismes, le jeune homme en recherche de pratiques qui font mâle trouvera le « looksmaxxing ». À la suite d’on ne sait quels remèdes miracles, l’influenceur promet un visage et un corps parfait. Selon Le Figaro, ce volet de la mouvance trouverait ses adeptes parmi quelques primitifs souhaitant limiter leur relation avec les femmes aux rapports sexuels. L’appel de la caverne se confirme. Certains, dans la génération montante, reviennent à la brutalité originelle. À des années-lumière, Sandrine Rousseau tapote des messages revendicatifs sur son smartphone.

L’âge de pierre, c’est maintenant.

Jany Leroy pour Boulevard Voltaire.

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