Sur le plateau de BFMTV, une meute de journalistes-roquets harcèle Eric Zemmour qui ne s’en laisse pas compter et développe son argumentation en contournant les questions-pièges que lui aboient les roquets sus-cités.
Un des chiens de la meute, ricane en donnant l’exemple de Giorgia Meloni qui se serait faite élire en promettant de stopper l’immigration, et une fois au pouvoir ne ferait rien !
La preuve ? Les 11 000 migrants prenant à l’abordage l’île de Lampedusa en trois jours ! D’où la conclusion orientée suivante :
Donc, si vous ou Marine Le Pen arriviez au pouvoir, ce serait la même chose !
Ces journalistes ne se posent aucune question sur le fait de voir arriver, brutalement, et simultanément, 112 bateaux chargés de migrants, le même jour … D’où sont-ils partis, pourquoi cette simultanéité ? Qui a payé toutes ces embarcations ? Aucune question !
J’ai trouvé sur le site du JDD, beaucoup de réponses à ces questions dans un remarquable article titré :
Le piège de Lampedusa
Voici quelques éléments extraits de cet article :
Pour Matteo Salvini,
Quand on voit arriver 120 bateaux, ce n’est pas un épisode spontané, mais c’est un acte de guerre […]. Je pense que c’est quelque chose de voulu et d’organisé aussi pour mettre en difficulté un gouvernement qui dérange.
Selon Francesco Giubilei, président du think tank Nazione Futura, proche de la droite italienne,
la réponse doit être européenne, mais si cela ne fonctionne pas, l’Italie doit agir seule. La réponse doit être ferme, ce qui n’empêchera pas ensuite la diplomatie de reprendre ses droits. Pourquoi ne pas suivre le modèle australien et faire appel à la Marine militaire ? L’Australie n’est pas une dictature, et cela a fonctionné. La réponse doit être absolument dissuasive surtout vis-à-vis des pays de départ.
Depuis son arrivée au pouvoir, Giorgia Meloni a développé une intense activité diplomatique. Investissements en Libye, en Algérie, en Tunisie, tentatives à maintes reprises d’impliquer l’Union européenne dans la gestion des frontières et de la crise migratoire. Pour Salvini, son partenaire de coalition,
Giorgia a fait un travail exceptionnel au niveau international .
Sous l’impulsion de cette dernière, Ursula von der Leyen signe un accord de soutien à la Tunisie qui promettait de débloquer 150 millions d’euros pour donner un peu de souffle à une Tunisie exsangue et 105 millions pour remettre sur pied les forces de l’ordre afin qu’elles empêchent les bateaux chargés de migrants de quitter leurs côtes.
Or, révèle Gian Micalessin dans les colonnes d’Il Giornale, la Tunisie n’a pas vu l’ombre d’un kopek, mettant ainsi le gouvernement italien en porte-à-faux, vis-à-vis de l’UE et de ses partenaires africains.
Pourquoi ?
Parce que dans les couloirs de la Commission de Bruxelles, la gauche, et singulièrement italienne, s’est activée avec succès pour que ces fonds ne soient jamais envoyés.
Brando Benifei, chef de la délégation européenne du Parti démocrate (PD) au Parlement européen, accusait ce pacte d’« énième tentative inutile d’externaliser le contrôle des frontières européennes avec de grands risques pour les droits humains ». Pietro Bartolo, l’ancien médecin de Lampedusa élu au PD, renchérit sur une Union « complice de la chasse aux Noirs ouverte par Saïed ».
Antonio Tajani, ministre des Affaires étrangères, homme fort du PPE (droite) et es-président du Parlement européen, dénonce ce torpillage : « L’Europe doit absolument faire plus : nous travaillons avec la Tunisie, mais en Europe, il y a des résistances de la part des forces socialistes. La gauche européenne doit faire plus. » Il avertit : « Les migrants qui arrivent dans notre pays ne veulent pas venir en Italie, ils veulent aller en Allemagne, en France, ailleurs en Europe […], beaucoup sont de langue maternelle française. »
Extraits d’un article de Marie d’Armagnac pour le JDD.
Après avoir lu cet article, on peut penser que c’est le gouvernement tunisien qui, déçu par les promesses non tenues de l’Union européenne, a voulu marquer les esprits (de Bruxelles), en lâchant simultanément une flotte massive d’embarcations.
Si c’est le cas, cela a parfaitement fonctionné au moins sur le plan médiatique !
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4 Réponses à “A Bruxelles, la gauche sabote le travail de Giorgia Meloni”
Dans une vidéo un Black reconnait qu’on lui a donné l’argent pour se rendre en Italie Question qui a assez d’argent pour payer de tels voyages ?????????????
J’ai regardé l’interview de Z par duhamel sur tv macron, c’est une honte une telle partialité. Que des questions pièges, la parole de Z constamment coupée, l’ironie, la bassesse de duhamel est indigne d’un journaliste, c’est scandaleux ce deux poids deux mesures en démonté et a répondu à une question de Duhamel quand il a jugé le moment opportun. Z a dû courage d’aller dans cette cage aux lions. Sur bfm ce n’est que mépris pour les opposants à la politique macronienne, c’est le déni des réalités pourtant largement visible.
Personnellement, j’ai regardé cette itw en accéléré et c’était insupportable, inécoutable!
Mais, c’est une tactique, pour rendre un débat inaudible, il faut parler en même temps que l’autre pour étouffer l’opposant!
C’est une grande spécialité des gauchistes et autres allumés, les politiques écolos et journalistes.
Le goche et les moindialiste pourris jusqu’a l’os, sont contre tous les partis qui veulent ameliorer leur nations.
En detruisant les nations, les mondialiste espere ensuite detruire les valeurs morales et la famille !