Les Français partagent avec les politiques de tout bord la responsabilité de la situation financière catastrophique que connait aujourd’hui la France !
Les Français qui travaillent sont écrasés d’impôts au profit de trop d’assistés. En fait, depuis les années Giscard, la France est entrée en socialisme !
Un propos attribué à Gorbatchev affirme que :
« la France est le seul pays où le communisme a réussi »
J’ai récemment pris connaissance d’une information que j’ai eu peine à croire :
La France qui représente moins de 1 % du PIB mondial, distribuerait, en prestations sociales, 10 % de toutes les prestations mondiales !
La baisse de la dépense publique est devenue un véritable tabou en France !
Le gouvernement Barnier en est un exemple typique où l’on a vu un gouvernement de droite refuser de tailler dans la gabegie des dépenses publiques et préférer ajouter 40 milliards d’impôts sur le dos d’entreprises et de travailleurs déjà écrasés d’impôts !
Ce qui se passe depuis quelques mois en Argentine devrait faire rêver les Français et certains de leurs dirigeants. C’est ce que rapporte cet article de la Sélection du Jour :
Un an de présidence Milei en Argentine ou
les vertus insoupçonnées de la tronçonneuse …
L’élection de Javier Milei a stupéfié les grands médias occidentaux qui l’avaient taxé de « populiste » et « d’extrémiste ». Son programme allait à coup sûr faire plonger l’Argentine dans le chaos … Après un an de présidence, les premiers résultats donnent au contraire des preuves de redressement alors que le pays était ruiné depuis des décennies par un État omniprésent et corrompu.
Javier Milei avait créé la surprise en novembre 2023 en gagnant l’élection présidentielle argentine. Un excentrique qui voue une passion telle aux Rolling Stones qu’il en a gardé le style capillaire et qui promettait de redresser un pays complètement ruiné par des décennies de gestion socialiste grâce à un traitement de choc ultralibéral … Le libertarien qui exhibait une tronçonneuse vrombissante à la foule comme une promesse de couper dans les dépenses de l’État est aussi un professeur d’économie.
Or, les résultats obtenus en 12 mois sont tellement impressionnants qu’on peut parler d’une révolution politico-économique.
Il convient de revenir rapidement sur l’histoire du pays : l’Argentine était le pays le plus riche du monde en 1896 (en revenu par habitant) et disposait d’une constitution libérale inspirée des « pères fondateurs » états-uniens depuis 1853. Buenos Aires était devenue en 1914 l’une des métropoles mondiales les plus importantes et la destination de très nombreux émigrés européens (la moitié des résidents de la capitale n’étaient pas nés sur place). Restée à l’écart des guerres mondiales, l’Argentine n’avait pas échappé à l’influence des conflits idéologiques. L’arrivée au pouvoir d’un militaire — Juan Domingo Perón — en 1946 allait plonger le pays dans une spirale d’appauvrissement de près de 80 ans. Car le « péronisme » survit depuis sa mort en 1974. Fasciné par Mussolini, Perón était un adepte du collectivisme, de la nationalisation des entreprises, et il a régné sur le pays de 1946 à 1955 (avant de revenir brièvement au pouvoir en 1973 jusqu’à sa mort). Il a prôné une « troisième voie » refusant le libéralisme occidental et le communisme soviétique. C’est au début de sa présidence que de nombreux anciens nazis ont été accueillis en Argentine. Le pays a connu des décennies d’instabilité — gouverné par des juntes militaires principalement — après son exil en 1955 et sa courte dernière présidence en 1973.
Le plus surprenant dans l’élection de Milei : 70 % des jeunes (de 16 ans — âge légal pour voter — à 24 ans) ont voté pour lui. Les réseaux sociaux ont joué un rôle central : l’équipe autour de Milei a privilégié ces médias pour expliquer ses préconisations. Le style excentrique de Milei, ses accents révolutionnaires ont parlé à cette classe d’âge réclamant un changement radical. Dès son élection, il a mis en place les actions qu’il avait promises alors qu’il n’avait pas de majorité au Congrès. Aujourd’hui, la population approuve sa gestion à 66 % (sondage du 26 novembre au 2 décembre derniers). À titre de comparaison, Emmanuel Macron bénéficie de 18 % d’approbation en France.
La tronçonneuse a fonctionné à plein régime : 10 ministères fermés (sur 18), arrêt des projets d’infrastructure publique, coupes drastiques des transferts vers les gouvernements régionaux. Il a dévalué le peso (la monnaie nationale) de 50 % et le laisse filer de 2 % par mois pour rendre son cours officiel plus proche de sa valeur réelle. Cette politique vise à encourager les investissements étrangers tout en poussant les ménages à moins acheter des produits importés. Le premier effet a été une chute lourde du PIB de 3,5 % cette année (moins de consommation des ménages et de dépenses publiques), faisant monter le taux de pauvreté de 40 % à 53 % en juin. L’autre conséquence prévisible était une flambée de l’inflation mensuelle à court terme : elle est passée de 12,8 % en novembre 2023 à 25,5 % le mois suivant. Cela correspondait à une inflation de 1400 % sur base annuelle. Les effets de ce « traitement de cheval » étaient prévisibles et Milei avait par avance expliqué aux Argentins ce qui allait arriver. Dès le mois d’avril, l’inflation mensuelle est tombée sous la barre des 5 %. Cela reste élevé par rapport aux standards internationaux mais historiquement bas en Argentine.
Les salaires progressent plus vite que l’inflation ! Ils connaissent une hausse de 6 % mensuellement, soit 2 à 3 points au-dessus … Le taux de pauvreté est passé de 53 % en juin à 49 % maintenant. Le pari de Milei est d’engager un cycle vertueux pour relancer le PIB (voir l’interview en lien). Cela implique de couper dans les dépenses de l’État, de diminuer la consommation en poussant les exportations et d’encourager les investissements étrangers. Ça fonctionne : les exportations ont atteint à fin juillet 45,4 milliards de dollars (+14.8 %) contre des importations en baisse de 25,9 % (33,1 milliards). L’Argentine a donc une balance excédentaire de 12,3 milliards (contre un déficit de 5,2 milliards l’année dernière). Le pays compte sur ses réserves de lithium et de cuivre pour augmenter ce bilan. Le gisement de gaz de roche « Vaca muerta » en Patagonie est aussi très prometteur. Pour la première fois depuis 2011, l’Argentine est exportatrice d’énergie.
L’économie argentine est toujours en récession, mais les résultats obtenus en quelques mois sont remarquables. Elon Musk veut s’inspirer de cette expérience dès le début de la présidence Trump. Mais est-ce réplicable ? Car Milei a pu engager ces réformes drastiques en cassant le centralisme bureaucratique parce que la situation était devenue désespérée : les Argentins étranglés par l’inflation étaient prêts à des sacrifices à court terme pour des lendemains meilleurs …
Ludovic Lavaucelle pour la Sélection du Jour.
Il y a longtemps que je pense que la France ne pourra réellement se réformer que lorsqu’elle sera sous tutelle du FMI !
Et Macron, le « Mozart de la finance », avec ses 1000 milliards de dette, nous a considérablement rapprochés de cette échéance …
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Une réponse à “C’est une tronçonneuse qu’il nous faut !”
macron, en quelques années a endetté le pays de plus de 1200 miliards d’euros,
coulé bien des industries,
insecurisé le pays,
menti a tout le monde,
fait une immigration folle…
Le pseudo president qui aura coulé la france e 7 ans.
le meilleur president pour les ennemi de la france, et le pire pour ceux aimant la france.
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Juan Branco nous donne des détails sur ces juges et policiers qui servent le système…
https://ripostelaique.com/juan-branco-nous-donne-des-details-sur-ces-juges-et-policiers-qui-servent-le-systeme.html