Wikipedia nous présente ainsi Abnousse Shalmani :
En 1985, Abnousse Shalmani et ses parents fuient l’Iran et son régime khoméiniste pour se réfugier en France. Après des études d’histoire, elle s’oriente vers le journalisme. Elle réalise des courts métrages, participe à des émissions de télévision et à des débats sur la condition de la femme en Iran et le port du voile en France
En 2017, dans un article-manifeste publié par l’hebdomadaire Marianne, et intitulé « Pourquoi je ne suis plus féministe », Abnousse Shalmani oppose aux féministes islamistes les grandes figures du féminisme historique, d’Olympe de Gouges à Coco Chanel, et déclare :
Si les femmes avaient davantage de mémoire, il serait beaucoup moins aisé pour des idées traditionalistes et réactionnaires de prendre les habits de la liberté individuelle et faire passer le refus du voile […] pour de l’islamophobie. […] Parce que non, il n’y a rien de honteux, de répréhensible, de sale dans un corps de femme. Il n’y a rien dans ce corps qui justifie de lui imposer un code vestimentaire, […] de le recouvrir de pudeur tout en se réclamant de la liberté.
En 2020, Le Figaro publie un entretien avec elle intitulé « Le nouvel antiracisme est un racisme déguisé en humanisme », dans lequel elle déclare :
Une image m’a particulièrement glacée lors de la manifestation de soutien à Adama Traoré : un policier français noir se fait harceler par la foule qui lui crie hargneusement : “Vendu! T’as pas honte ?”
La Lettre patriote a publié une vidéo d’une intervention d’Abnousse Shalmani qui trouve toute sa place dans notre blog :
“Ceux qui sont violents sont bien nourris
et portent des baskets à 1.000 euros”
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Une réponse à “Abnousse Shalmani, une repentie de la gauche”
Et une autre personne de goche qui ouvre les yeux, a quand le reste de la goche…