La France est l’un des pays où la contestation des vaccins obligatoires à la naissance est la plus vive.
On imagine bien que la gestion calamiteuse de la pandémie de Covid n’a pu faire qu’amplifier la méfiance dans les vaccins.
En effet, imposer, de fait un vaccin expérimental, qui s’avèrera inefficace et dangereux, alors qu’il existait des traitements précoces alternatifs est une véritable forfaiture qui vient d’être dénoncée par un rapport de la Chambre des Représentants aux Etats-Unis.
En France, on peut se demander le bien-fondé du cocktail de 11 vaccins qu’on inflige à nos nourrissons. Sanofi avait été l’un des plus généreux donateurs de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron. Curieusement, la première mesure sanitaire prise par le gouvernement Philippe fut … d’ajouter huit nouveaux vaccins à la liste des trois vaccins obligatoires …
Depuis plusieurs années, des soupçons pèsent sur l’aluminium qui figure parmi les adjuvants utilisés dans les vaccins. Il pourrait favoriser l’autisme.
Voici un article du blog de Patrice Gibertie qui fait le point sur ce sujet :
ALUMINIUM et AUTISME : le dossier qui dérange avec tous les liens scientifiques . Ce métal que l’on ne trouve dans aucun organisme vivant , mauvais sous les bras, bon dans les bébés.
Une étude contestable (Wakefield) a permis à Big Pharma d’enterrer le dossier des adjuvants d’aluminium (alun). Hélas les inquiétudes demeurent et l’autisme explose …
Le Dr P_McCulloughMD expose l’explosion de l’autisme ces dernières décennies :
Il n’y a pas de changement biologique humain fondamental qui puisse expliquer un taux d’autisme passant de UN sur 10 000 à UN sur 36 !
Il avance une théorie crédible, l’hyper vaccination des enfants !
Le rôle de l’aluminium utilisé comme adjuvant dans la plupart des vaccins administrés durant l’enfance a été suspecté pour expliquer l’augmentation de fréquence de l’autisme
parallèlement à celle du nombre de vaccinations chez l’enfant. De plus, les pays où l’autisme est le plus présent sont ceux dans lesquels les enfants sont les plus exposés à l’aluminium des vaccins avant l’âge de 2 mois. Or, à cet âge, la barrière hémato-encéphalique est incomplète et reste perméable aux toxiques.
A positive association found between autism prevalence and childhood vaccination uptake across the U.S. population
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21623535
En utilisant une analyse de régression et en contrôlant le revenu familial et l’origine ethnique, la relation entre la proportion d’enfants qui ont reçu les vaccins recommandés à l’âge de 2 ans et la prévalence de l’autisme (AUT) ou des troubles de la parole ou du langage (SLI) dans chaque État américain de 2001 à 2007 a été déterminé. Une relation positive et statistiquement significative a été trouvée :
plus la proportion d’enfants recevant les vaccinations recommandées était élevée, plus la prévalence d’AUT ou de SLI était élevée.
Une augmentation de 1 % de la vaccination a été associée à 680 enfants supplémentaires atteints d’AUT ou de SLI. Ni le comportement parental ni l’accès aux soins n’ont affecté les résultats, puisque les proportions de vaccination n’étaient pas significativement liées (statistiquement) à tout autre handicap ou au nombre de pédiatres dans un État américain. Les résultats suggèrent que bien que le mercure ait été retiré de nombreux vaccins, d’autres coupables pourraient lier les vaccins à l’autisme. Une étude plus approfondie de la relation entre les vaccins et l’autisme est justifiée.
Tomljenovic L, Shaw CA. Do aluminium vaccine adjuvants contribute to the rising
prevalence of autism ? J. Inorg. Biochem., 2001, 105 : pp. 1489-99.https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22099159/
De même les garçons vaccinés en tant que nouveau-nés avaient trois fois plus de risques d’être diagnostiqués autistes que les garçons jamais vaccinés ou vaccinés après le premier mois de vie.
https://hal.univ-lorraine.fr/hal-01733594/document
C’est aussi à cette période qu’a lieu le développement du cerveau et des systèmes comportementaux. Ce sont principalement ces fonctions qui sont altérées dans l’autisme. Le rôle de l’aluminium dans la pathogenèse de l’autisme peut être conforté par un niveau plus élevé de ce métal retrouvé dans les cheveux, les urines et le sang d’enfants autistes par rapport aux enfants sains. 59, 60
La neurotoxicité de l’aluminium a été constatée dans plusieurs expérimentations. Un retard du développement neuronal chez les prématurés a été montré dans l’étude de Bishop et coll., suite à l’administration d’aluminium. L’injection d’hydroxyde d’aluminium à des doses équivalentes à celles utilisées chez l’Homme a provoqué la mort des neurones moteurs avec diminution de la fonction motrice et de la mémoire spatiale chez des jeunes souris.60, 61
C’est l’inflammation causée par les adjuvants aluminiques dans le cerveau qui serait en
cause dans la maladie autistique, comme le laisse suggérer le fait que de nombreux
médiateurs pro-inflammatoires ont été retrouvés dans le sang, le liquide céphalo-rachidien (LCR) et les tissus cérébraux des autistes. De plus, les injections répétées d’aluminium réalisées chez des rats provoquent des effets inflammatoires importants dans leur cerveau.60
La corrélation entre l’administration de vaccins contenant de l’aluminium et l’apparition de l’autisme ou de troubles autistiques semble très probable. Mais le développement de la
maladie n’est pas systématique après vaccination. Une prédisposition génétique intervient
également à ce niveau, comme nous l’avons vu pour les autres troubles causés par
l’aluminium vaccinal. L’influence des gènes était initialement peu crédible, puisque la
transmission verticale et la proportion d’autisme dans les fratries sont faibles. Mais ce
raisonnement est faussé par le peu de relations amoureuses aboutissant à des enfants dans la population autiste. Des études menées sur des jumeaux monozygotes et hétérozygotes, des études familiales, ainsi que des constatations chromosomiques ont conclu à la présence de gènes de prédisposition.62
Ce qui ne manque pas d’étonner, c’est que l’évolution de la vie, si imaginative pourtant, si créatrice, a constamment dédaigné l’aluminium.
Nul organisme vivant n’en contient. Nul n’en a jamais eu besoin pour s’imposer.
Ni les fleurs et les arbres, ni les moineaux ou les cacatoès, ni les singes, ni les chiens, ni les hommes. Or voilà qu’on en trouve, sous la forme de petites pelotes d’épingles, dans le cytoplasme — l’intérieur de la cellule moins le noyau — des macrophages. Le corps humain, comme celui des autres vivants, parvient très généralement, grâce aux intestins et aux reins, à éliminer ce métal au plus vite. Et heureusement, car l’aluminium est dit « réactogène ». Il réagit fort et déclenche dans le corps des phénomènes d’hypersensibilité.
Pour la presse, poser la question, c’est être d’extrème droite :
Il y a dix ans , l’alerte , sur les risques liés aux adjuvants d ‘aluminum, a bien eu lieu mais depuis tout est enterré :
https://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130607036.html
A en croire les autorités il n’existerait pas de liens entre aluminium et Alzheimer et entre adjuvants dans les vaccins et des maladies auto immunes … La presse n’en avait que pour Robert Cohen et Bruno Lima, les lanceurs d’alerte comme Henri Joyeux n’étaient que des charlatans .
Comment pouvait il en être autrement puisque l’on savait qu’Alzheimer était la conséquence du dépot dans le cerveau de plaques amyloides. Mais ce que l’on savait reposait sur des photos truquées et une étude pipotée.
Contrairement à ce que pensaient jusqu’ici les scientifiques travaillant sur Alzheimer, la neuroinflammation du tissu cérébral n’est pas la conséquence de l’accumulation de plaques amyloïdes mais leur cause.
Il faut donc trouver d’autres explications à cette inflammation : défaillance du système immunitaire, aluminium ?
Lire la suite de cet article, sur le blog de Patrice Gibertie avec notamment la responsabilité de l’aluminium dans les maladies auto-immunes.
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