Avec Macron, c’est la fête aux passeurs !

Gérard Collomb vient de faire un aveu
bien tardif dans le magazine Le Point !

Au lendemain de l’affaire de l’Ocean Viking, Gérard Collomb, ancien ministre de l’intérieur de Macron,  vient de révéler les raisons de sa démission.

Son désaccord avec Emmanuel Macron qui projetait de faire de Marseille et de Toulon des « Hot spots » pour l’accueil des bateaux-taxis pour clandestins.

Mais pourquoi se lâcher tant d’années après ? L’intéressé avoue l’inavouable :

Si j’avais parlé lors de ma démission, j’aurais gravement nui à Emmanuel Macron. Si je m’étais exprimé avant la présidentielle, mon intervention, aurait pu inverser le résultat de cette élection, et Marine Le Pen être élue. C’est pourquoi je me suis tu.

On voit donc que ce sont des considérations partisanes qui ont privé les Français de la révélation de la vérité. Cela fait des décennies que, « pour ne pas faire monter le Front National« , la gauche impose l’omerta sur la question migratoire.

On a juste envie de rappeler à Gérard Collomb cette maxime jadis utilisée dans les cérémonies de mariage :

Si quelqu’un s’oppose à cette union qu‘il parle maintenant ou se taise à jamais !

Mais Gérard Collomb parle aujourd’hui car il est inquiet, comme probablement une majorité de Français, de constater que Macron n’a pas de vision, pas de convictions concernant l’immigration. Pourquoi accepter l’Ocean Viking alors qu’il a refusé l’Aquarius en 2018 ?

Comme le disait Bruno Le Maire avant la première élection de Macron :

Emmanuel Macron, c’est un homme sans projet, car c’est un homme sans conviction.

A qui profite le crime ?

Gérard Collomb se désole car aujourd’hui, ce sont les passeurs et leurs ONG complices qui sont les grands gagnants de l’affaire de l’Ocean Viking !

L’accueil de ce bateau, pour la première fois en France, est une large brèche ouverte par Macron dans la lutte contre l’immigration illégale et dans la solidarité européenne.

Les passeurs et les ONG vont pouvoir désormais exploiter les divergences entre la France et l’Italie pour forcer la main et de nouveau débarquer d’autres clandestins en Europe.

Il y a un autre « passeur » dont c’est la fête aujourd’hui !

Son nom est Cédric Herrou et son nom a fait scandale quand, après avoir été condamné par la justice pour avoir aidé des clandestins à passer la frontière alpine avec l’Italie, le Conseil constitutionnel l’avait blanchi.

Le motif invoqué par le Conseil constitutionnel est hallucinant :

Le Conseil a jugé légitime son rôle de passeur de clandestins au nom du mot « fraternité » qui figure dans la devise de la République française.

Ce jugement montre à quel point cette institution déborde constamment du rôle que le général de Gaulle avait prévu pour lui et se permet des interprétations inacceptables de la Constitution.

Il illustre clairement ce divorce acté, cette faille majeure, qui s’est creusée entre le peuple et ses « élites » !

Mais aujourd’hui, Cédric Herrou fait de nouveau parler de lui !

En effet, Cédric Herrou fait l’objet d’un nouveau scandale comme nous le raconte cet article de Boulevard Voltaire.

Extraits :

En pleine affaire Ocean Viking, le passeur
Cédric Herrou va rencontrer des lycéens !

Alors que l’Ocean Viking débarquait ses clandestins le 11 novembre, dans le port de Toulon, nous apprenions, grâce à notre réseau de Parents Vigilants, que Cédric Herrou rencontrera les lycéens d’un établissement de Luçon (le lycée Atlantique, pour ne pas le nommer), le vendredi 18 novembre 2022, de 13 à 15 heures. Une information confirmée par Ouest-France.

On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio, d’autant que le lendemain il participera, toujours à Luçon mais dans une salle municipale, à une soirée sur le thème « Migration : le défi de solidarité ».

Un enseignement public neutre ?

Sur le site même de l’Éducation nationale, il est spécifié que « l’enseignement public est neutre : la neutralité philosophique et politique s’impose aux enseignants et aux élèves. » Or, à l’évidence, Cédric Herrou est loin d’avoir un parcours neutre puisqu’il est un acteur actif dans la prise en charge de personnes arrivant illégalement sur notre territoire.

Sachant cela, comment est-il possible qu’un chef d’établissement, d’un établissement public, fasse la promotion de cet esclavagisme moderne en accueillant M. Herrou ?

La réalité d’une immigration incontrôlée

À l’heure où bien trop de nos compatriotes sont menacés dans leur intégrité physique, ne parviennent plus à vivre dignement, sont soumis à des règles toujours plus absurdes, il est temps de réagir et d’oser dire ce que depuis trop longtemps nous n’osions dénoncer : charité bien ordonnée commence par soi-même, en l’occurrence occupons-nous d’abord des nôtres et, si nous pouvons, quand nous le pourrons, en veillant à ce que nos traditions et notre culture soient respectées, nous pourrons nous occuper de ceux qui en feront la demande légalement afin de leur garantir un accueil digne.

Une conception de la hiérarchie des priorités et de la dignité que Cédric Herrou n’a pas l’air de bien intégrer, si l’on s’en réfère à ses « faits d’armes ».

En attendant, protégeons nos enfants !

Sandrine Delatre pour Boulevard Voltaire.