« Bienvenue, monsieur le président des Etats-Unis »

Publié par le 17 Juil, 2017 dans Blog | 0 commentaire

« Bienvenue, monsieur le président des Etats-Unis »

Je publie régulièrement les billets de l’avocat Gilles-William Goldnadel.

Il est l’un des avocats qui représentent la famille de Sarah Halimi, cette femme torturée et défenestrée du troisième étage de son immeuble au cri de Allah Akbar, assassinat pour lequel la justice a refusé d’admettre la qualification d’antisémitisme.

Cette semaine, dans les colonnes de Valeurs actuelles, il s’en prend à l’anti-trump qui sévit dans nos médias !

Pourquoi la quasi-totalité des médias français ne supporte pas
Donald Trump ? Parce qu’il est un miroir qui nous réfléchit.

Il est toujours reposant de pouvoir faire l’économie de polémiques inutiles. Parmi celles-ci, l’invitation faite par le président de la République française à son homologue nord-américain se classe parmi les plus futiles.

D’évidence en effet, ce n’est pas Donald Trump, l’homme politique républicain controversé, qui a fait l’objet d’une invitation par Emmanuel Macron de venir honorer de sa présence les festivités du 14 Juillet 2017, mais le président de la grande nation alliée venue défendre, au prix du sang de ses enfants, la France agressée en 1917. Il faut la mauvaise foi intellectuelle et politique d’un Mélenchon pour feindre de ne pas le comprendre. Curieusement, notre Maximilien en peau de lapin, cet adversaire des hommes d’affaires qui ne voyage qu’en classe affaires, n’avait pas protesté au nom des libertés quand Poutine fut convié dans la galerie des glaces du château de Versailles.

Ceci fermement posé, et la question de l’invitation refermée, le procès permanent diligenté contre Donald Trump mériterait plus d’équité pour prix de sa crédibilité.

En dehors de la question climatique qui ressort quasiment du domaine religieux dès l’instant où l’on érige en doute l’impact de l’homme dans le réchauffement indubitable de la planète, toutes les autres options et actions du président américain, pour être iconoclastes pour la pensée convenue, n’ont rien d’hirsute ni d’apocalyptique. 

  • Le danger mortel du terrorisme islamiste migratoire,
  • la menace des mollahs iraniens,
  • l’immigration invasive,
  • le mondialisme agressif,
  • les citoyens désarmés face aux criminels,
  • le diktat des minorités sexuelles instrumentalisées politiquement,
  • le parti pris des médias gauchisants dominants

ne sont pas à classer comme le voudraient les mauvais cliniciens dans la catégorie du discours paranoïaque délirant. S’agissant précisément de la question médiatique, la manière dont la presse hexagonale aura délibérément occulté le succès remporté par l’administration Trump devant la Cour suprême à propos de la contestation sur son décret concernant la migration venant de pays à risques, montre que le dirigeant controversé n’a pas le monopole de l’hystérie et de la mauvaise foi. Rien que pour cela, on a envie d’être son avocat. De même, il est étrange qu’alors qu’on ne fait grâce au président détesté d’aucun de ses méchants tweets ni d’aucun de ses embarras judiciaires, le fait que trois journalistes de CNN aient été contraints de donner leur démission pour cause de désinformation anti-présidentielle aura été délicatement caché à l’opinion française.

Il est désormais clair qu’une guerre à mort oppose le camp autoproclamé du bien et un président diabolisé qui prend un malin et enfantin plaisir à leur montrer ses cornes et ses griffes. Tous les coups bas, les chausse-trappes et les mensonges sont permis. Il n’en sortira rien de bon, ni pour la cause de l’Occident pacifique ni pour la démocratie. Jetons donc loin les dés pipés, oublions les procureurs malhonnêtes, les journalistes à gages, les tribunitiens démagogues, et, ce 14 Juillet, accueillons sans réserve le président d’un grand pays allié sur nos Champs-Élysées.

Gilles-William Goldnadel pour Valeurs actuelles.

Outre atlantique, les médias sont aussi à l’offensive. Pour en savoir plus on pourra lire cet article de fond paru sur VoltaireNet.org sous la plume de Thierry Meyssan :

Donald Trump face au « 4 ème Pouvoir ».

En voici l’introduction :

« En s’arrogeant le titre de « 4ème Pouvoir », la presse états-unienne s’est placée à égalité avec les trois Pouvoirs démocratiques, bien qu’elle soit dénuée de légitimité populaire. Elle mène une vaste campagne, à la fois chez elle et à l’étranger, pour dénigrer le président Trump et provoquer sa destitution ; une campagne qui a débuté le soir de son élection, c’est-à-dire bien avant son arrivée à la Maison-Blanche. Elle remporte un vif succès parmi l’électorat démocrate et dans les États alliés, dont la population est persuadée que le président des États-Unis est dérangé. Mais les électeurs de Donald Trump tiennent bon et il parvient efficacement à lutter contre la pauvreté. »

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