La gauche est décidément indécrottable !
Elle est incapable de nommer les choses par leur vrai nom. Elle a tout un vocabulaire spécifique :
– jeunes au lieu de voyous,
– quartier sensible au lieu de quartier à forte population immigrée,
– terroriste (tout court) au lieu de terroriste islamique !
Parallèlement, la gauche a des mots interdits auxquels, au fil du temps, elle a donné une connotation négative.
On ne doit pas dire, par exemple :
- Ni aveugle, ni sourd, mais mal-voyant et mal-entendant !
- On ne peut plus dire nain, mais homme de petite taille !
- Il ne faut pas dire migrants mais réfugiés !
Evidemment, les mots inventés par la droite sont mis à l’index :
- Ne pas dire racaille mais chance pour la France !
- Ne parlez pas d’assimilation mais de respect des différences.
- Le vocable Grand Remplacement est banni !
La gauche prohibe également certains rapprochements de mots comme par exemple : immigration et problème, immigration et violence. Pendant des décennies, elle a même interdit le rapprochement immigration et débat !
Qu’elle se créée son propre vocabulaire, c’est son droit, même si le résultat obtenu est ridicule. Mais le problème c’est qu’elle interdit à tous, oppositions et médias, d’utiliser ces mots prohibés.
On en a un exemple typique avec le mot ensauvagement que le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin a osé employer !
Ah ce n’est pas Castaner qui aurait prononcé cette horreur !
Voici la courte vidéo d’un débat opposant Guillaume Roquette à Françoise Degois.
Pendant tout l’exposé de la gauchiste Françoise Degois, le directeur du Figaro Magazine bout intérieurement.
Il faut dire que tout les poncifs de la gauche sont alignés par l’éditorialiste socialiste :
- La violence et l’insécurité n’ont pas augmenté !
- C’est juste un sentiment d’insécurité (cf Lionel Jospin).
- Le terme ensauvagement a une connotation ethnique insurmontable !
Oui, indécrottable ! Et dire, que certains nous disent que le clivage droite-gauche n’existe pas !
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