Il y a décidément quelque chose de pourri
au royaume des chercheurs français, au CNRS.
J’ai déjà dénoncé ici le moteur de recherche mis en ligne par le CNRS pour connaitre les familles qui descendent des propriétaires d’esclaves. De quoi alimenter cette repentance mortifère que la gauche entretient en France.
J’avais aussi pointé le CNRS quand il tenta de disqualifier sa ministre de tutelle en expliquant que le concept d’islamogauchisme qu’elle lui demandait d’étudier, n’était pas scientifique. Cela montrait que le CNRS, lui-même, était gangréné par le dit-concept !
Le CNRS vient une nouvelle fois faire parler de lui grâce à l’une de ses « chercheuses » qui vient de faire une conférence à Sciences Po sur le sujet de la blanchité dans la gastronomie française.
Je vous livre le verbatim d’une partie de son discours. Comme je suis persuadé que certains d’entre nous ne me croiront pas, je vous joins la vidéo de cet extrait …
Je voudrais vous parler de l’idée de blanchité alimentaire dans la culture française, pour renforcer lablanchité comme identité raciale dominante.
Le repas français est souvent présenté comme un rituel national auquel tous les citoyens peuvent participer à égalité. Mais les habitudes alimentaires sont façonnées par les normes des classes moyennes supérieures blanches.
Il y a un parallélisme entre la nourriture halal et la question du voile. Tous deux sont considérés comme étant incompatibles avec la blanchité et son idéologie radicalisée de l’univers.
Pourtant les contours de la blanchité sont maintenus à travers des pratiques alimentaires quotidiennes. Par exemple, le régime alimentaire des personnes dont le statut racial est ambigu, comme les Arabes, les Maghrébins et les Juifs avant eux, est passé au crible pour vérifier sa conformité aux normes blanches. Une stratégie familière pour se conformer comme des Blancs, consiste donc à « manger français », le plus souvent en consommant du porc.
Quel joue le droit dans tout ceci ?
Je vais vous donner deux exemples juridiques :
Le premier est le règlement des cantines scolaires
Ces règlements qui furent établies au 19 ème siècle pour endiguer la dépopulation, mais un discours radicalisé et eugéniste fut utilisé pour les justifier. Aujourd’hui, juridiquement, les cantines sont soumises au principe dit de neutralité, qui est interprété comme dispensant les écoles d’avoir à s’adapter aux demandes de régimes alimentaires particuliers motivées par des différences identitaires.
Les normes alimentaires chrétiennes et blanches représentent donc la position par défaut. Un peu comme la blanchité, elle-même, est souvent vue comme une forme d’identité neutre et non-raciale.
Le deuxième exemple est le droit de la nationalité.
Qui peut obtenir la nationalité française ?
A l’époque coloniale, en théorie, la blanchité n’était pas exigée pour accéder à la nationalité française. Mais en pratique, des preuves de « performance blanche » pouvaient s’avérer décisives. Les administrateurs coloniaux prêtaient attention aux modes des postulants y compris leurs habitudes alimentaires.
Mangeaient-ils du riz ou du pain ? Mangeaient-ils au sol ou attablés ?
Dans sa conclusion non présente dans la vidéo suivante, Mathilde Cohen nous explique que « la renommée de la cuisine française dans le monde contribue elle aussi à la suprématie blanche. »
Le magazine L’Incorrect, dans cet article, avait conclu de la sorte :
C’est sûr que le lièvre à la Royale, comparé au Kebab, c’est un peu autre chose, excusez-nous de savoir cuisiner ! Afin de lutter contre l’expansion de la blanchité alimentaire (ce fléau), vous pouvez vous enfiler des nachos ou des sushis, néanmoins pensez à bien vous fouetter avant, afin de ne pas sombrer dans les heures les plus sombres de l’appropriation culturelle.
Mathilde Cohen « chercheuse au CNRS »
Est-il besoin de faire un commentaire de ce texte ? Vue la longueur de cet article, je m’abstiendrai …
Voici la vidéo probatoire (en anglais, sous-titrée) des élucubrations racialistes de Mathilde Cohen rapportée dans un tweet de Laurent Alexandre :
JUSQU’OÙ l’obsession de la race va-t-elle bousiller le @CNRS
La chercheuse du @CNRS Mathilde Cohen explique que la cuisine française est raciste et un symbole de la domination blanche sur les opprimés de couleur et non chrétienspic.twitter.com/eDb7o09Kl8
— Docteur Laurent Alexandre #JeSuisVacciné (@dr_l_alexandre) June 26, 2021
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5 Réponses à “Ce n’est pas l’ENA qu’il fallait supprimer ! C’est le CNRS !”
Il faut interdire d’urgence la blanquette de veau, le blanc-manger et la cuisine normande à la crème fraîche.
Il va falloir réhabiliter en restauration le beurre noir qui est suspecté d’être cancérigène.
ou la « grand remplacer » par un tajine de veau. Halal le veau, bien sûr ! 😉
Congrégation Névrotique de Ratiocinations Sectaires.
Ca y est les fous ont debarqués au cnrs !
Entre les débilités woke et les débilités climato-punitives, il n’y a plus guère de place pour la raison, au pays de Descartes …
D’ailleurs j’avais lu que même les maths sont racistes.
Et ce qui est dramatique, c’est que je ne vois que le califat, pour mettre fin énergiquement à tous ces délires, c’est dire …