Ce que vous ne verrez jamais dans une mosquée !

Publié par le 24 Avr, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Ce que vous ne verrez jamais dans une mosquée !

Georges Bensoussan, poursuivi par des associations antiracistes et heureusement relaxé, avait déjà pointé le phénomène dès 2015 dans son ouvrage collectif :

Les territoires perdus de la République.

Eric Zemmour, lui aussi largement trainé devant les tribunaux, parle avec juste raison …

des enclaves étrangères sur le sol français

Car il est de plus en plus patent que les lois de la République, s’applique de manière différente suivant que l’on vit à Clichy sous Bois ou à Neuilly, au Val Fourré ou place du Tertre. La notion de confinement, notamment, n’a pas le même sens dans certains territoires que dans d’autres !

Et la police module sensiblement ses interventions en fonction de la population considérée. Vous trouverez en fin d’article, une vidéo montrant quelles sont les consignes données aux forces de l’ordre victimes des émeutes qui éclatent chaque soir dans différents quartiers et dont on nous rend compte avec une « grande discrétion » à la télévision et sur les radios.

A titre d’exemple, voici un fait divers qui s’est passé très récemment dans une église et qui n’aurait absolument pas pu se passer dans une mosquée.

Le curé de la paroisse Saint-André-de-l’Europe, à Paris (VIII ème), Philippe de Maistre, très choqué, raconte ce qu’il a vécu dans son église, dans cet article du Figaro :

Nous étions sept personnes : moi-même, un servant, un chantre, un organiste, et trois paroissiens pour donner la réplique et faire les lectures. Au milieu de la messe, trois policiers armés ont pénétré dans l’église. Or, l’autorité de police dans une église, c’est le curé ! À part les pompiers, la police ne peut entrer, tant qu’elle n’est pas appelée par le curé.

J’ai fait le choix de continuer la messe, mais la police nous ordonnait d’arrêter. La chef des policiers a exigé « qu’ils verbalisent le monsieur » – moi – et a laissé ses deux adjoints procéder. Mon servant d’autel, lui-même policier, a pu descendre pour dialoguer avec eux. Mais ils sont repartis au bout de vingt minutes après avoir exigé que les trois paroissiens sortent.

J’ai trouvé sur ma boite vocale un message d’une personne qui criait : « messe clandestine à Saint-André ! » Cette idée que des gens font de la délation pour dénoncer des prétendues messes clandestines …

Précisément, on avait fermé les portes de l’église pour dissuader les paroissiens de venir et respecter le confinement.  Or, cela se retourne contre nous, car les gens ont le sentiment qu’on fait quelque chose de caché !

La presse de gauche a bien sûr ignoré cet incident qu’elle aurait immédiatement qualifié de « violences policières » et même « d’atteinte intolérable à la liberté de culte » s’il s’était produit dans une mosquée !

La police va t-elle afficher la même sévérité pour vérifier si les ruptures de jeun, chaque soir du ramadan, respectent bien les consignes de confinement et de distanciation sociale ?

Vous connaissez la réponse !

Et ce n’est pas ce genre de deux poids deux mesures qui fera la promotion du « Vivre ensemble » tant prôné par la gauche et les progressistes !

Voici maintenant une illustration sonore des consignes données au forces de l’ordre :

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