Ils ne discutent qu’entre eux. Ils lisent les mêmes livres et censurent les mêmes ouvrages. Ils vont voir les mêmes films glorifiant le narratif de l’immigration heureuse !
Il est probable qu’ils se reproduisent entre eux, ce qui pourrait expliquer par un effet néfaste de consanguinité, la pauvreté profonde de leurs arguments.
Ce sont les gauchistes !
Et quand ils publient un ouvrage, on les suit facilement à la trace dans leur parcours classique des plateaux télé et radio du service public.
Ils commenceront la semaine sur France Inter où un ancien rédacteur en chef de Libération leur servira la soupe. En fin d’après-midi, ils courront recevoir l’onction d’Elisabeth Lemoine et de Patrice Cohen dans l’émission gauchiste, C à vous.
Le lendemain, c’est chez les Bobos de Quotidien, qu’ils communieront ensemble dans cette haine partagée de l’extrême-droite.
Ils termineront la semaine en apothéose chez Léa Salamé, reine du passage de plats, à ces gauchos qui en concluront qu’à l’évidence … tout le monde pense comme eux !
Pendant ce temps-là, seront écartés de ces plateaux pourtant financés par tous les Français, Philippe de Villiers, Michel Onfray, Georges Bensoussan, Florence Bergeaud-Blackler et tant d’autres talents !
Le passage des auteurs d’un livre qui réécrit l’histoire de Crépol sur tous ces plateaux aura été un modèle d’entre-soi entre gauchistes convaincus.
Patrick Cohen a déjà été recadré par l’Arcom pour ses mensonges sur le meurtre du jeune Thomas. Cela ne l’empêche nullement de recevoir des auteurs qui développent la même thèse que lui, celle d’une simple rixe de fin de bal !
Des énormités sont dites sur ces plateaux, sans que les journalistes n’interviennent !
Premier exemple : la négation du racisme anti-blanc :
Il faut voir ce qu’est le racisme anti-Blanc. C’est un concept qui vient de l’extrême droite, qui fait appel à des notions de submersion migratoire, et où les Blancs ne pourraient plus vivre tranquillement.
En jurisprudence, devant les tribunaux, le racisme anti-Blanc n’existe pas !
Autre exemple :
Ce n’est pas parce qu’il poignarde un Blanc en criant sale Blanc qu’il veut tuer du Blanc !
Transposons cette phrase en la mettant dans la bouche d’un élu de droite :
Ce n’est pas parce qu’il poignarde un Arabe en criant sale Bicot qu’il veut tuer de l’Arabe !
Quelle serait la survie politique de cet élu ?
Voici un extrait d’un passage de ces trois auteurs (de fiction) sur le plateau de C à vous :
Pour lancer la vidéo, cliquez sur l’image ci-dessus.
Je n’ose imaginer le sentiment des parents de Thomas et de ses proches quand ils voient Thomas assassiné une seconde fois !
Je vous engage à lire cet article de Boulevard Voltaire :
Racisme anti-blanc : le grand déni de notre temps !
dans laquelle Jean Kast dénonce les manipulations sémantiques des universitaires gauchistes en vue de « prouver » que le racisme anti-blanc n’existe pas !
Ou cet article consacré à Marie-Hélène Thoraval, non interrogée mais mise en cause dans l’ouvrage évoquée plus haut :
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