Le néoféminisme s’est totalement décrédibilisé en affichant un sectarisme politique dont les femmes harcelées ou violées sont les premières victimes !
Pour qu’une femme violée intéresse les néoféministes, il y a une condition : que le violeur soit blanc !
Les « racisés » bénéficient d’un totem d’immunité délivré par Sandrine Rousseau et ses comparses de gauche.
Les exemples pullulent à commencer par cette série de viols perpétrés à Cologne, au nouvel an, en 2015, après qu’Angela Merkel ait ouvert en grand les portes aux migrants.
La gauche et les féministes avaient refusé de considérer ces viols !
Aujourd’hui, on ne compte plus les clandestins sous OQTF responsables de viol. Mais quand, à droite, on dénonce le fait que ces viols n’auraient pas eu lieu si le gouvernement faisait respecter les OQTF, la gauche s’offusque et crie au fascisme.
Voici un débat entre Alice Cordier du collectif Nemesis et une militante de Renaissance qui illustre parfaitement ce deux poids, deux mesures typique des néoféministes :
Viol d’une mamy par un OQTF : Nadia Bey (Beur FM) et Rachida Kaaout (Renaissance) accusent Alice Cordier de stigmatisationpic.twitter.com/t28JbBEqWN
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) February 22, 2024
On relèvera cet argument de la militante Renaissance :
Madame, vous avez un discours identitaire !
Tout est dit !
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Une réponse à “Ces violeurs que la gauche ne veut pas voir !”
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Emploi en politique
Madame vous avez…………..
Allez voir le cv de la dame en question et vous comprendrez aisément de quel côté et vers va sa sympathie!