Cette année, je suis partagé au moment de présenter mes voeux pour la nouvelle année 2025 à mes proches et à tous les lecteurs et contributeurs de notre blog.
Regarder en arrière, sur cette terrible année 2024, n’est pas enthousiasmant pour l’avenir, avec cette sensation stressante d’enfoncement de la France aggravée par ce président qui la déteste, et l’entraine toujours plus bas !
Il parait que Macron aurait esquissé un mea culpa à propos de la dissolution, mais c’est lui qu’il aurait dû proposer de dissoudre en guise de bons voeux.
Mais, finalement, je garde espoir !
Je garde espoir en observant une lueur qui se lève derrière ce brouillard qui menaçait de nous engloutir. Cette lueur je la vois dans le mouvement général des peuples notamment européens qui commencent à réagir contre leurs élites mondialistes et déconnectées.
Dans de nombreux pays, les partis patriotes gagnent du terrain, preuve du refus de ces peuples qui tiennent à leur identité et refuse d’être remplacés par une autre civilisation moyenâgeuse qui veut bâcher nos femmes et installer un califat étouffant en France.
Cette lueur se transforme en phare avec la perspective de l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et sa volonté de rejeter le wokisme à la mer. L’équipe qu’il a réunie autour de lui a tout d’une « Dream Team » et je l’espère inspirera les forces vives françaises !
Je forme le voeu que les partis patriotes français – le RN, Reconquête, l’UDR d’Eric Ciotti, l’UPR de François Asselineau, les Patriotes de Florian Philippot et Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan – se renforcent et s’unissent pour enfin ramener la droite au pouvoir.
Il faut le faire avant que les progressistes au pouvoir ne parviennent à faire taire les oppositions s’exprimant dans les réseaux sociaux.
Alors très bonne année à tous !
Pas d’articles politiques aujourd’hui, mais je relaye ces faux voeux de Macron imaginés par Jean-Philippe Feldman dans cet article de l’IREF :
Vive la République, vive la France et vive la liberté, bon sang !
L’IREF a pu se procurer un premier jet des vœux présidentiels, immédiatement censuré par son cabinet. A notre grand regret. Nous avons néanmoins décidé de les publier en exclusivité.
Mes chers compatriotes,
Vous m’avez élu par défaut à deux reprises face à pire que moi au second tour de l’élection présidentielle. Je ne vous ai pas menti (ou si peu), car mon programme en 2017 comme en 2022 était si inconsistant que je ne l’ai pas compris moi-même.
On m’a qualifié de suffisant, alors que je n’étais qu’insuffisant. Je dois confesser que je n’étais pas préparé à accéder aux plus hautes fonctions, bien que mes dents rayassent le parquet. Certes, contrairement à nombre de mes coreligionnaires, j’avais un peu tâté du secteur privé, mais trop peu. Et puis, on ne se refait pas ! On n’est pas énarque par hasard et à l’ENA, la liberté n’est pas au programme.
Oui, depuis 7 ans, j’ai tout, absolument tout raté. Si vous me demandez de vous parler d’une grande réforme que j’aurais faite, je serais incapable de vous répondre (et pourtant, j’ai la langue bien pendue !). Il est vrai, entre autres formules marquantes, que j’avais affirmé que le « Gaulois réfractaire » ne pouvait tolérer des réformes et qu’il fallait donc opérer une « grande transformation ». Et pourtant, je n’ai rien transformé du tout. La France reste aujourd’hui ce qu’elle était avant mon arrivée à l’Elysée : un pays étatiste, hypercentralisé, fonctionnarisé, bureaucratisé, envieux, frileux. Un pays « révolutionnaire-conservateur ». A mon image finalement.
J’aurai malgré tout marqué mon époque sur un double point au moins : le déficit budgétaire et par voie de conséquence la dette publique. Oui, je suis responsable du plus grand déficit budgétaire de la République française en temps de paix depuis 1789. Oui, je suis responsable du taux de dette publique le plus élevé de l’Histoire de France.
Tous les vrais libéraux avaient suspecté en 2017 que je serais un désastre pour le pays. Et pourtant on m’a dit libéral ou, ce qui n’est pas la même chose, « néolibéral ». On me l’a dit parce que j’étais jeune, brillant, dynamique. On m’a même qualifié de « Mozart de la finance », alors que j’étais le plus ringard des fauteurs de dette publique et que je n’ai jamais rien compris au libéralisme.
Lorsque je me suis déplacé à Mayotte il y a quelques jours, de ma bouche sont encore sorties bêtise sur bêtise. Cependant, dans l’avion de retour, je me suis dit, en y réfléchissant bien, qu’il y avait là en fait un signe avant-coureur de ce que pourrait devenir la métropole dans quelques années si l’on continuait sur le même rythme, à faire n’importe quoi, à ne rien maîtriser.
Alors, mes chers compatriotes, j’ai décidé de prendre pour 2025 de grandes résolutions.
Parce que je viens d’avoir 47 ans et que j’aspire à accéder enfin à l’âge de raison politique, j’aimerais qu’on dise après mon départ de l’Elysée (que d’aucuns, je le sais bien, souhaitent le plus rapide possible), que j’ai été Président, et non pas ridicule comme la plupart de mes prédécesseurs.
J’ai donc décidé pour 2025 d’œuvrer enfin au libéralisme. Certes, j’ai aussi raté la dissolution à l’été 2024. Certes, j’ai dû nommer à mon corps défendant François Bayrou, un extrémiste du centre qui, avec 25 ans de plus que moi, n’a jamais eu la moindre idée. Eh bien, j’ai décidé d’agrémenter la sauce béarnaise d’idées libérales !
J’ai décidé de m’inspirer de mon grand ami Javier Milei, qui m’a prêté sa tronçonneuse ; j’ai décidé de m’inspirer de mon grand ami Elon Musk, qui m’a confié son plan de débureaucratisation.
Oui, je vous le promets, en 2025 je vais plaider en faveur de coupes claires dans le budget. Oui, je vais plaider pour que, après tant d’occasions perdues, après sept longues années lors desquelles j’aurai tout planté, la France connaisse enfin son tournant libéral. Oui, j’ai décidé de défendre le droit de propriété, la subsidiarité, la société civile, la dignité, la responsabilité.
Mes chers compatriotes, à Mayotte j’ai trouvé mon chemin de Damas, si je puis m’exprimer ainsi. J’ai sincèrement délaissé l’arrogance de l’impuissance pour l’exigence de la liberté.
Vive le libéralisme ! Vive la liberté, bon sang !
Vive la République et vive la France !
Jean-Philippe Feldman pour l’IREF.
Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “C’est sûr 2025 ne pourra être pire que 2024 !”
Une bonne année pour les gens qui sont du coté de la france.
Je n’ai pas ecouté mohamed macron a la tv, ca sert a rien.