Le Parquet National Financier (PNF) et l’ensemble des médias qui s’étaient acharnés sur François Fillon pour un emploi fictif – une pratique courante à l’époque – et trois costumes semblent bien avoir décidé d’étouffer une affaire bien plus grave, notamment sur le plan financier :
L’affaire Alstom
Non seulement, les actifs d’Alstom avaient été bradés à une entreprise étrangère, General Electric mais parmi eux, se trouvaient les turbines pour les centrales nucléaires c’est à dire des fabrications hautement stratégique qui passaient sous le contrôle des Etats-Unis !
Cette vente décidé par Emmanuel Macron en tant que ministre de l’économie de François Hollande, était déjà en soi un énorme scandale qui s’aggrave avec le piteux rachat, à trois fois le prix de vente, de ces turbines !
Mais deux autres scandales ont éclaté au grand jour grâce aux enquêtes menées par le député Olivier Marleix.
Je relaye une interview de ce député qui dévoile ce double scandale :
- La vente a été organisée par un grand cabinet de conseils comme les affectionne Emmanuel Macron. Mais pire, plusieurs autres cabinets concurrents ont été payés pour des études bidon simplement pour les occuper et qu’ils ne puissent être saisis pour démontrer le danger de cette vente.
- On retrouve parmi les bénéficiaires financiers de la vente d’Alstom certains donateurs de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron.
Deux scandales – trafic d’influence et conflit d’intérêts – qui, dans une vraie démocratie, empêcheraient Emmanuel Macron de postuler pour un second mandat.
Mais le Parquet National Financier qui a été saisi de cette affaire, avance à la vitesse d’un escargot alors que contre François Fillon il avait montré une fulgurance ébouriffante !
Quant à la presse, largement biberonnée et donc achetée par les subventions publiques …
Elle regarde ailleurs !
Voici l’interview d’Olivier Marleix :
Faisceaux de #corruption dans la campagne d’@EmmanuelMacron en 2017 révélée au grand jour dans la vente d’#Alstom par @oliviermarleix Pdt Cion d’enquête @AssembleeNat de 2018 Et vous voudriez #5ansdeplus ? #Presidentielle2022 pic.twitter.com/YET59QBNKh @pr_financier @HATVP
— Michel-Alain PICOS (@MAPICOS) February 26, 2022
La France est une vraie république bananière !
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4 Réponses à “Cette affaire Alstom qui ne sortira pas !”
Bien sur que l’affaire ne sortira pas, macron est de goche ou progressiste comme le pnf crée par hollande du parti socialiste…
Pour 3 fois rien de soupçon, le LR est mis en proces, le seul parti qui beneficie d’autant de zle de la part des juges,
tandsi que des qu’on se tourne vers la goche ou le progressisme,
la pseudo justice est aux abonnés absents.
Pour une affaire aussi grave, la pseudo justice ne fera rien
car complice ideologiquement avec le progressisme,
si un LR vole un chewing gum, c’est le proces,
si un goche fait 1000 fois pire la pseudo justice emploira le deux poids deux mesures.
Propos racistes sur un candidat,
que fait la pseudo justice et le gouvernement ????
Les néo-nazis de Zemmour écrivent « Sale Juif » sur ses affiches
https://ripostelaique.com/les-neo-nazis-de-zemmour-ecrivent-sale-juif-sur-les-affiches-deric.html
Bien sur que ce scandale d’état ne sortira pas mais comme d’autres! Il ne faut pas empêcher les voyous qui sont et zonent dans les allées du pouvoir de dégringoler, trop de gens et d’intérêts seraient révélés donc impliqués! Donc les instances supérieures ont décidés de laisser le couvercle sur la fosse sceptique parce que cela sentirait trop mauvais!
Et puis, tant qu’on a le pouvoir comme dirait l’autre……..
Ce fameux 2 poids 2 mesures, leitmotiv idéologique des hommes de loi de la « gôche dure » et des progressistes européistes et mondialistes.
Ces manœuvres politico-médiatico-judiciaires façonnent l’opinion publique et donc les élections quelles qu’elles soient depuis près d’un demi siècle.
Les premiers à avoir compris ces manœuvres sont les hommes politiques qui se rangent dans le camp du progressisme et qui soutiennent le pouvoir en place, lorsqu’ils sont sur la sellette judiciaire avérée, ou pas, et surtout lorsque le gouvernement est progressiste ou opposé à l’ennemi juré qui est qualifié soit de populiste, de fasciste, de raciste, d’antisémite, voire de nazi.
Les plus polis ou moins démagogues de ce camp parlent de préférer un monde ouvert au repli sur soi qui est un autre « élément de langage » mais qui exclus toujours l’autre qui est le mal au profit soit disant moral de leur camp qui est forcément celui du bien.
le ralliement de Solère en 2017, de Woerth en 2022 en sont l’illustration, Muselier rejoint aussi le camp du bien pour service rendu et peut-être aussi pour étouffer à nouveau l’affaire de son épouse qui a ressurgi bizarrement en octobre 2021 par un de ses proche.
Ces gens là, ont noyauté notre pays depuis mai 1968 et sont au cœur des pouvoirs judiciaire, médiatique, syndicaliste et de la fonction publique de la France.
Le progressisme et les courants gauchistes, majoritaires dans les grandes écoles, les universités et même l’éducation nationale en totalité permet à ces idéologues de pérenniser la situation qu’a mise en place « tonton » durant ses 2 septennats et a permis de diviser les droites et de pousser la droite la plus molle dans les bras du « progressisme ».
Seul un chao ou évènement grave pourrait faire changer les mentalités. Plus le temps passe, plus nous approchons du basculement. Une autre évidence vient de faire irruption dans la non-campagne électorale, c’est le déclin militaire et la
dépendance à l’OTAN de la France.
Le Covid a été une fenêtre d’opportunité pour instaurer le contrôle des individus avec le « pass-vaccinal », la crise ukrainienne pourrait bien inciter « manu », lors de la présidence française du Conseil de l’Union européenne, a imposer la « politique de défense commune » que les Français avaient rejetée en 2005, s’opposant à la ratification du « traité de ROME II ».
Le traité de Lisbonne, imposé par Nicolas Sarkozy en 2009 rappelle que la PSDC « inclut la définition progressive d’une politique de défense commune de l’Union » (art. 42 TUE). Celle-ci conduira à une défense commune lorsque le Conseil européen, statuant à l’unanimité, en aura décidé ainsi.
Il va achever ce que Sarko avait remis dans les tuyaux en 2009, Le « groupe de Visegrád », si enclin à sa souveraineté pourrait bien céder avec la menace que fait subir Poutine à ses anciens alliés du pacte de Varsovie.