Le sectarisme est décidément la marque
de la gauche et des progressistes.
Ceux qui ne sont pas sur leur ligne, sont toute de suite agressés et taxés de réacs, de conservateurs et soupçonnés d’appartenir à l’extrême droite.
Si vous êtes contre l’adoption dans les couples gay, vous êtes qualifié d’homophobe ! Si vous êtes partisan de maitriser l’immigration, vous êtes un raciste !
Ce qui est un peu rassurant c’est que ce sectarisme fait des dégâts dans les rangs-mêmes des progressistes. Il suffit de voir la purge et les conflits au sein de la France Insoumise !
La volonté des progressistes de promouvoir les luttes intersectionnelles entraine également des rivalités et de fortes contradictions.
On s’amuse du fait, par exemple, que les lesbiennes voient maintenant d’un mauvais oeil les transgenres (hommes se réclamant du groupe des femmes) quand ils revendiquent de participer aux compétitions dans la catégorie « femmes » pour battre les femmes et faire tomber tous les records !
On fera remarquer aux progressistes que cela prouve que la différence Homme-Femme n’est pas qu’une construction sociale !!!
De nombreuses contradictions naissent de ces luttes intersectionnelles. Par exemple, les néo-féministes qui se veulent aussi pro-migrants sont amenées à détourner les yeux quand des migrants violent des femmes !
Finalement tous ces progressistes ne se retrouvent que pour partager la même cible : le mâle blanc, hétérosexuel de plus de 50 ans !
La lettre confidentielle de Valeurs actuelles nous raconte la purge qui vient d’avoir lieu dans les milieux LGBT, purge qui illustre parfaitement ces dissensions qui les traversent :
La fédération d’associations Inter-LGBT se débarrasse de son porte-parole, selon elle trop attaché à la laïcité française. Dans un tweet posté le 21 décembre, Matthieu Gatipon-Bachette a relayé l’article de Charlie Hebdo expliquant son éviction. En effet, le désormais ex-porte-parole de l’interassociative lesbienne, gay, bi et trans a joint un message au papier, indiquant que son « attachement trop démonstratif au principe de la laïcité » était le « principal mobile » de son départ contraint.
Alors qu’il portait la voix de l’Inter-LGBT depuis deux ans, Matthieu Gatipon-Bachette assure en effet avoir été poussé à la démission à cause de ses engagements personnels, qui ne correspondaient pas à la position officielle de la fédération. En novembre dernier, le porte-parole s’était par exemple inquiété « de voir le Planning familial renoncer à la laïcité ». Élisa Koubi, coprésidente de l’Inter-LGBT, avait alors dénoncé dans un courrier un « tweet choquant » et une « rhétorique universaliste islamophobe et transphobe [devenue] ingérable ».
Dans un autre tweet, Matthieu Gatipon-Bachette avait aussi assuré qu’il n’était pas nécessaire d’avoir « un doctorat en études de genre ou tous les codes de la culture woke pour avoir un engagement efficace en faveur des personnes LGBT ». Alors que son message partait d’un bon sentiment, pour soutenir la communauté qu’il défend, il s’était alors attiré les foudres de plusieurs membres de l’Inter-LGBT, qui avaient en effet estimé que l’utilisation du mot woke légitimait « les expressions balancées par l’extrême droite ». Dans ses propos à Charlie Hebdo, le militant a regretté que « de plus en plus d’associations [assimilaient] la laïcité à du racisme ».
La lettre confidentielle de Valeurs actuelles.
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Une réponse à “Chasse aux traîtres dans le milieu associatif LGBT”
Je cite :
« On fera remarquer aux progressistes que cela prouve que la différence Homme-Femme n’est pas qu’une construction sociale !!! »
Ces personnes oublient volontairement la science et meme n’en tiennent aucun compte pour leur besoin ideologique, car elle a prouvé que le comportement homme ou femme, etc… ce loge aussi dans le cerveau.
C’est le resultat de la recherche scientifique dont ces personnes feraient bien de tenir compte, ce qui demontre leurs manque de serieux et que cette pretendu ideologie de construction sociale repose totalement sur une invention imposé par eux.