CNews réapprend le débat à la presse de gauche

Ils ne savent plus où ils habitent !

La gauche et ses médias sont déstabilisés par l’irruption, après 30 ans de sclérose des grands médias, d’une chaine d’infos qui se démarque et casse leurs codes.

Il faut se mettre à leur place !

Cela fait trente ans qu’ils sont passés maitres dans l’art de cacher la poussière sous les tapis ! Trente ans à nier tout problème lié à l’immigration. Trente ans à stigmatiser l’extrême droite en l’excluant de l’arc républicain, au nom de valeurs de la République que pourtant ils bafouent eux-mêmes tous les jours !

Trente ans qu’ils nous saoulent avec leurs slogans éculés :

• Pas d’amalgame !
• C’est pas ça l’islam !

Et voila que de vrais journalistes traitent sur les plateaux de CNews, des sujets qui étaient tabou depuis des décennies. Des journalistes qui osent sortir de la rubrique Faits divers, ces faits tragiques qui relèvent plutôt de Faits de société !

Depuis les agressions verbales des ministres gauchistes Pap Ndiaye et Rima Abdul-Malak qui souhaitaient la mort de CNews, la presse de gauche se déchaine contre la chaine de Bolloré.

Un média de gauche, Le Huffington Post, a même été jusqu’à accuser CNews de créer la zizanie au sein même des repas de famille !

Il est certain que, dans les familles où tout le monde lit Libé, écoute France Inter et regarde le JT de France 2, l’immigration n’entraine jamais de débat !

Gabrielle Cluzel, dans cet article de Boulevard Voltaire, nous rapporte cette histoire qui en dit long sur l’état de la gauche :

CNews suscite bien le débat et la pluralité d’opinions :
la confirmation par Le Huffington Post

« Si tu n’as pas de Rolex à 50 ans, tu as raté ta vie », expliquait le publicitaire Jacques Séguéla. Si, journaliste de gauche, tu n’as pas écrit ton petit article fielleux contre CNews, aussi. La surenchère fait rage, avec des angles de plus en plus fous, voire totalement contre-productifs. Un peu comme la commission d’enquête à l’Assemblée. La preuve par Le Huffington Post. Ce média en ligne a choisi le format de l’enquête : «

CNews, source de tensions dans certaines familles : je n’avais jamais pensé entendre ça de sa bouche.

Le chapô est encore plus explicite :

Depuis que leur grand-père, leur père ou leur frère regardent CNews, les tensions autour des repas de famille se sont multipliées. Ils témoignent.

Seuls les hommes sont incriminés. Un relent méphitique de masculinité toxique … qui est d’ailleurs une « fake news » :

48,8 % des téléspectateurs de CNews sont des téléspectatrices. Une parité quasi parfaite.

Encore jeunes et déjà délateurs

Lorine et Théo témoignent donc respectivement contre leur père et grand-père. Drôle de façon de traiter ceux qui vous ont élevés et probablement gâtés, mais la délation des enfants, pratique bien connue en Union soviétique, est encore très courue dans la presse de gauche. Cf. les repentances dans la presse bien-pensante de certains enfants de la Manif pour tous, frappant sans vergogne leur coulpe sur la poitrine de leurs parents. Solène, elle, s’attaque à son oncle, et Sophie à son frère. Notons que si CNews est accusé de diviser la famille, ce ne sont pas ses téléspectateurs qui vont laver leur linge sale dans un média en pointant du doigt la fille, le petit-fils, la sœur, la nièce. Théo « regrette » le bon vieux temps – on se demande, entre son aïeul et lui, qui est le vieillard -, quand son grand-père était de gauche.

Mais ça, c’était avant qu’il ne se mette à regarder CNews plusieurs heures par jour. Théo redoute, désormais, d’aborder certains sujets avec son aïeul.

Misère !

Mais pourquoi donc ? En bon militant de gauche, Théo refuserait-il le débat avec quiconque ne pense pas comme lui ?

Sont ensuite enfilés comme des perles les habituels poncifs, la référence au « milliardaire Bolloré » – comme si Xavier Niel, qui préside aux destinées du Huffington Post, était un indigent -, la mention des sanctions de l’Arcom et l’analyse de l’inévitable « expert », « doctorant au médialab de Sciences Po et spécialiste de l’extrême droite dans les médias », selon lequel « CNews véhicule un discours traditionnel conservateur ». Mais qui néanmoins fracture la famille.

Travail, Antifamille, Patrie,

comme le résume Gilles-William Goldnadel, sur X.

Entre deux discours, il va falloir choisir, mes chéris.

Quelles solutions ?

Vient enfin la description tout en nuances des fans de CNews, entre Papy Mougeot et Gran Torino. La description est totalement injuste, car en réalité, ceux-ci sont dans la même tranche d’âge que tous les téléspectateurs des autres chaînes d’information, et même plutôt plus jeunes que ceux de LCI, mais même grimés ainsi, ils ont l’air vachement plus sympas que les Saint-Just de 20 ans, aseptisés et moralisateurs, qui leur dressent des bûchers.

CNews, ça commence comme le Covid : une épidémie galopante qui va forcer à enfermer Papy et Mamy à la cuisine pendant les fêtes. Non par crainte de leur refiler des miasmes, mais par peur qu’ils contaminent les autres.

Le journaliste, catastrophé, interroge : « Comment réagir dans cette situation ? » C’est vrai, quelle est la procédure ? Saisir l’extincteur, se mettre sous la table, fermer les volets, appeler le SAMU, évacuer la pièce, mettre le masque à gaz, crier très fort ?

À la fin de l’article, pourtant, un éclair de bon sens. On le doit à ladite « Lorine », et il est massif, majeur, magistral, car il invalide aussi sec tout ce qui a été développé avant : Lorine estime que « ces divergences d’opinions nourrissent le débat ». À la bonne heure ! N’est-ce pas la gauche qui disait que l’enrichissement, c’était la diversité ? Pourquoi pas la diversité d’opinions ? Le Huffington Post vient donc de démontrer ce que CNews se tue à répéter : cette chaîne, plus qu’aucune autre, suscite la discussion, c’est-à-dire la disputatio, autrement appelée le débat. Qu’elle en soit remerciée. Et Le Huffington Post avec elle, qui est gentiment venu – avec son article inepte – apporter de l’eau à son moulin. Il y avait bien un canard qui s’appelait L’idiot international ; on pourrait rebaptiser Le Huffington Post « L’Idiot utile ».

Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire.