– Combien faudra t-il de femmes victimes de problèmes menstruels ?
– Combien faudra t-il d’enfants mort-nés ?
– A quel niveau d’infertilité faudra t-il descendre ?
– Combien faudra t-il de cas d’AVC, de myocardites ou de péricardites ?
– Combien faudra t-il détecter de maladies auto-immunes ?
– Combien faudra t-il de décès par thrombose ?
– Combien de cas de turbo-cancers faudra t-il dénombrer ?
– Quel niveau la surmortalité devra t-on atteindre ?
– Combien d’athlètes devront s’écrouler sur les stades ?
– Combien de pilotes de lignes devront s’écrouler dans leur cockpit ?
A quel niveau d’effets secondaires graves,
décideront-ils de stopper la vaccination ?
Chaque jour qui passe voit des informations graves nous parvenir !
Des scientifiques ont décelé des morceaux d’ADN dans les vaccins susceptibles d’induire des modifications graves dans nos organes !
De nombreux oncologues sonnent l’alarme en voyant exploser le nombre de cancers et particulièrement ce qu’ils appellent des turbo-cancers qui se développent beaucoup plus vite qu’avant et qui surtout sont détectés beaucoup plus tard.
Voici le témoignage de l’un d’eux, le professeur Angus Dalgleish :
Angus Dalgleish est professeur d’oncologie à la faculté de médecine de l’hôpital St George de Londres :
À la fin de l’année dernière, j’ai signalé que je voyais des patients atteints de mélanome stables depuis des années rechuter après leur premier rappel (leur troisième injection). On m’a dit que c’était simplement une coïncidence et que je devais rester calme sur ce sujet.
Mais il est devenu impossible de se taire !
Le nombre de mes patients concernés n’a cessé d’augmenter depuis. J’ai vu deux autres cas de rechute de cancer après une vaccination de rappel chez mes patients, la semaine dernière.
D’autres oncologues m’ont contacté du monde entier, notamment d’Australie et des États-Unis. Le consensus est que ce problème ne se limite plus au mélanome mais qu’une incidence accrue de lymphomes, de leucémies et de cancers du rein est observée après des injections de rappel. De plus, mes collègues spécialisés dans le cancer colorectal signalent une épidémie de cancers explosifs (ceux présentant de multiples propagations métastatiques dans le foie et ailleurs).
Tous ces cancers surviennent (à de très rares exceptions près) chez des patients qui ont été contraints de recevoir un rappel Covid, qu’ils le veuillent ou non, pour beaucoup afin de pouvoir voyager.
Alors pourquoi ces cancers apparaissent-ils ?
La suppression des lymphocytes T a été ma première explication probable étant donné que l’immunothérapie est si efficace dans ces cancers. Cependant, nous devons également désormais considérer l’intégration du plasmide ADN et du SV40 dans la promotion du développement du cancer, une caractéristique rendue encore plus préoccupante par les rapports selon lesquels la protéine de pointe d’ARNm se lie à p53 et à d’autres gènes suppresseurs de cancer.
Il est très clair et très effrayant que ces vaccins contiennent plusieurs éléments qui provoquent une tempête parfaite dans le développement du cancer chez les patients assez chanceux pour avoir évité les crises cardiaques, les caillots, les accidents vasculaires cérébraux, les maladies auto-immunes et autres réactions indésirables courantes aux vaccins Covid.
Conseiller des rappels de vaccins, comme c’est le cas actuellement, n’est ni plus ni moins que de l’incompétence médicale.
Continuer à le faire avec les informations ci-dessus constitue une négligence médicale passible d’une peine privative de liberté.
Plus de si, ni de mais !
Tous les vaccins à ARNm doivent être arrêtés et interdits maintenant. »
Angus Dalgleish
Dans de nombreux pays, Afrique du Sud, Australie, des enquêtes voire des procès se déroulent.
La vérité ne pourra plus ne pas éclater !
Mais, pendant ce temps-là, le gouvernement lance une nouvelle campagne de vaccination et la presse française regarde ailleurs …
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2 Réponses à “Combien de temps encore avant d’arrêter le massacre ?”
DES CRIMINELS SIMPLEMENT et j’espère qu’ils seront traduits devant la cour pénale
pour se rendre compte de l’implosion des cancers, il suffit de se rendre dans un service de radiothérapie et voir le nombre de personnes qui défilent.