« Comme je le disais lors de mon dernier tweet … »
Oui, c’est par ce tweet plein d’humour que Renaud Camus, le concepteur de la notion de « Grand Remplacement » a salué la fin de son bannissement de la plateforme Twitter.
Elon Musk, le milliardaire le plus détesté de la bien-pensance wokiste, est en train de mettre fin à plusieurs années de censure gaucho-progressiste décidée par l’ancienne direction partisane de Twitter.
Une autre personnalité de droite, Jean Messiha, vient de voir son compte restauré :
Ce que les gens ne comprennent pas, c’est qu’un compte Twitter est le fruit d’un colossal investissement de temps. En neuf ans, je suis passé de 0 à plus de 165.000 followers et ai rédigé plus de 40.000 tweets. Lorsqu’on a une parole publique, c’est un outil indispensable.
Voici quelques extraits d’un article de Boulevard Voltaire qui salue ce vent de liberté qui souffle à nouveau sur la toile :
Réseaux sociaux : la liberté souffle à la droite de Twitter !
« The bird is free. » Le réseau social Twitter a vu, pour la première fois depuis l’été 2021, un tweet de Jean Messiha. L’ancien cadre du Rassemblement national, qui s’est depuis rapproché d’Éric Zemmour, avait été en effet « suspendu définitivement » par le siège français du réseau social préféré des politiques et des journalistes. Comme lui, ils sont nombreux à en avoir été bannis et à être désormais libres de s’y exprimer à nouveau. Signalons, aussi, le retour du blogueur Daniel Conversano ou celui de l’essayiste père du concept de Grand Remplacement Renaud Camus.
Une décision concomitante au rachat de l’entreprise par le multimilliardaire le plus détesté des woke : Elon Musk. Le fantasque homme d’affaires avait notamment suscité l’allégresse chez les internautes de droite en faisant un grand ménage en interne des collaborateurs woke de la firme à l’oiseau bleu. Lors de l’annonce de son rachat, des personnalités comme Florian Philippot, Ivan Rioufol ou encore le Monsieur « réseaux sociaux » de Reconquête, Samuel Lafont, s’étaient réjouis de la nouvelle. À l’étranger, l’ancien ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini avait salué « une bonne nouvelle pour la liberté et la démocratie ». Aux États-Unis, le président Donald Trump, lui aussi banni du réseau social, s’était félicité que Twitter soit tombé « entre de bonnes mains » et ne soit plus dirigé par « les fous de la gauche radicale ». Une réjouissance perspicace, puisque le président américain le plus détesté par la gauche a fait son grand retour sur le réseau social après plusieurs mois de purgatoire.
Des retours qui ne vont pas sans grincement de dents du côté de la gauche. Ashton Pitmann, un journaliste américain, et d’autres de ses collègues semblent inquiets :
Les gens décents ne vont pas rester sur une plate-forme de harceleurs, de théoriciens du complot, de nazis,
a-t-il tweeté.
En Allemagne aussi, la gauche et les écologistes sont sur les dents, jubile l’Observatoire du journalisme. Pour autant, si Elon Musk a réactivé des comptes de droite, il n’a, à l’heure actuelle, supprimé aucun compte de gauche radicale.
Jean Messiha a remarqué :
On découvre que lorsqu’un réseau social appartient à quelqu’un classé à droite, la liberté a lieu. Lorsqu’il est géré par la gauche censée être aux avant-postes de la défense de la liberté, la censure s’abat violemment.
En bref, si la droite jubile, la gauche est sur les dents. Après avoir envisagé un temps d’émigrer en masse sur la plate-forme Mastodon, sorte de Gettr de gauche, aucune personnalité n’a, à notre connaissance, supprimé son compte Twitter.
Pourquoi se priver d’un outil de communication qu’on voudrait interdire à ses opposants.
C’est tout le paradoxe de la gauche.
Marc Eynaud pour Boulevard Voltaire.
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Une réponse à “« Comme je le disais lors de mon dernier tweet … »”
Enfin,
la droite retrouve la parole, qui fut interdite sous divers pretextes fallacieux, par la goche debile.
Ashton Pittman devrait s’en rejouir avec nous, courage toto, tu vas changer, et pour le bien de l’humanité, ce qui nous changera de la goche !