J’avais une grande confiance dans la médecine et les médecins qui m’ont soigné tout au long de ma vie.
Je n’ai jamais eu aucune restriction contre les vaccins. J’ai toujours accepté les vaccins obligatoires et j’ai fait vacciner mes enfants en toute tranquillité d’esprit.
Et ceci jusqu’au vaccin ARN Messager qui a fait s’écrouler toute ma confiance dans les médecins.
Je ne suis pas étonné qu’une grande majorité des Français aient accepté de se faire vacciner avec une, deux, trois doses et bientôt quatre doses.
« Les Français sont des veaux » disait le général de Gaulle.
Mais à leur décharge il faut reconnaitre qu’ils ont été victimes d’une formidable propagande théorisée par le cabinet McKinsey, organisée par le gouvernement et complaisamment relayée par les médias.
Mais la question formulée dans le titre de cet article me taraude car les médecins sont des professionnels qui ont été formés à la médecine et pour qui la déontologie, définie dans le fameux serment d’Hippocrate, est fondamentale et sous-tend toute la pratique de leur métier.
Dans le Saker francophone, j’ai trouvé un excellent article de fond qui tend à répondre à cette question sous la plume de Zineb Deheb, une dermatologue qui a été suspendue par l’Ordre des médecins.
Avant de publier cet article, voici la lettre qu’a envoyée Zineb Deheb à l’Ordre des médecins après sa suspension :
Au Dr BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4, rue Léon Jost, 75855 PARIS Cedex 17
Dr DEVYS Pierre-Yves, Président du Conseil Régional Ile-de-France de l’Ordre des Médecins, 9, rue Borromée, 75015 PARIS
Dr THERON Patrick, 4, rue Octave du Mesnil, 94000 CRETEIL
Messieurs et chers confrères : rendons-la médecine aux médecins
Messieurs et chers confrères,
Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exhorter à réagir face à l’incurie gouvernementale. Cette mascarade de politique prétendument sanitaire que nous, français, vivons n’a que trop duré et je pense que le conseil national de l’Ordre des Médecins a toute sa place pour rappeler à l’État le rôle du médecin.
Je tiens tout d’abord à vous rappeler vos devoirs envers les médecins. Vous avez pour mission de
défendre l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française ». Vous êtes les garants de la relation médecin-patient.
Depuis la loi honteuse du 5 août 2021, vous acceptez que l’agence régionale de santé outrepasse ses fonctions et soumette les médecins libéraux. Pourquoi acceptez-vous que cette entité administrative boursouflée interdise aux médecins d’exercer ?
L’État français s’est arrogé, en opposition complète avec :
- le serment d’Hippocrate,
- la déclaration de Genève de 1948,
- l’article 36 du code de déontologie médicale,
- les articles R4127-36 et L1122-1 du code de santé publique,
- l’article 16-1 du Code civil français,
- le code de Nuremberg de 1947,
- l’article 25 de la déclaration d’Helsinki de 1996,
- les articles 5 et 16 de la convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997,
- l’article L1111-4 de la loi Kouchner de 2002,
- l’arrêt Salvetti de 2002,
- l’article 3 de la directive européenne 2001/20/CE, le droit d’imposer lâchement un traitement expérimental à base d’ARN messager au peuple français.
Un confrère du conseil m’a obligeamment indiqué en août dernier qu’il était de son devoir de me convaincre d’accepter cette « vaccination ». Je vous rappelle qu’en vertu des textes de lois cités et en tant que personne majeure, non soumise à tutelle ou curatelle, j’ai le droit de décider de mon intérêt à participer ou non à des essais de phase 3 dont la fin est prévue le 27 octobre 2022 pour le laboratoire Moderna et le 15 mai 2023 pour le laboratoire Pfizer. Si l’Etat français me refuse ce droit, pourquoi m’a-t-il donc donné des diplômes de docteur en médecine et de spécialiste en dermatologie et vénéréologie en 2016 et m’a donc par ce biais autorisé à prendre des décisions pour la santé de mes patients ? Serais-je devenue, sans que personne ne m’en ait informé, une mineure perpétuelle ?
La situation est grave car le gouvernement actuel, qui n’a pas conscience des limites de son pouvoir, cherche à nous retirer, à nous, médecins, notre capacité de décider des traitements que nous administrons à nos patients. Il a également émis une liste limitative des contre-indications à l’injection d’ARN messager. Cela signifie-t-il que les médecins n’ont plus de légitimité à faire valoir leur art et leur expérience ?
Un médecin a-t-il le droit d’injecter un traitement expérimental à une personne alors même qu’il a conscience que le consentement de cette personne a pu lui être extorqué par l’État ? Notre serment d’Hippocrate ne nous enjoint-il pas à ne pas exploiter « [notre] pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences » ? Qu’en est-il alors des corps ? Le médecin aurait maintenant le droit de forcer les corps ? Jamais vous ne me convaincrez de cette ineptie.
Alors que les pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique ont laissé l’hubris présidentielle se déchaîner et l’ont même parfois encouragée, je pense que le médecin, conscient qu’il est des limites de son art, doit affirmer le principe de sacralité du corps humain.
Sommes-nous encore des médecins si nous acceptons d’être les instruments de cet État ? N’avez-vous pas conscience que l’État veut faire des médecins des techniciens médicaux sans âme ?
Avez-vous conscience que le gouvernement qui utilise actuellement l’autorité des médecins pour imposer des restrictions de tous ordres utilisera demain, dès que le vent tournera, les médecins comme boucs-émissaires ?
Je pense que nous risquons de perdre définitivement la confiance des Français.
Nous avons collectivement montré notre refus de traiter dans les meilleurs délais les personnes atteintes de la maladie à SARS-CoV-2.
Nous avons abandonné les patients non atteints de la maladie à SARS-CoV-2.
Nous nous sommes réfugiés derrière nos écrans, avec la téléconsultation, alors même qu’une nouvelle maladie inconnue était à définir.
Nous avons montré notre incapacité à nous opposer au viol du consentement des Français.
Nous avons montré notre incapacité à évaluer correctement les bénéfices et les risques de l’injection d’ARN messager.
Nous avons montré notre mépris du principe de précaution, notamment pour les enfants, les adolescents et les femmes enceintes alors même que l’histoire de notre discipline regorge d’exemples sordides incitant à la prudence.
Nous avons montré notre incapacité à rapporter efficacement les effets indésirables de l’injection d’ARN messager aux services de pharmacovigilance.
Nous avons montré notre incapacité à défendre les infirmières, les aides-soignantes et tous les autres soignants.
Quel exemple donnons-nous aux jeunes étudiants en médecine ?
Que ferons-nous demain quand l’étendue des complications de l’injection d’ARN messager sur les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, les personnes âgées et surtout les femmes enceintes sera révélée ? Que dirons-nous durant les procès qui s’annoncent pour les décennies à venir ? Pensez-vous réellement que les hommes politiques nous protégerons ?
Enfin, je pense qu’il est temps pour le conseil de l’Ordre des médecins d’exiger du gouvernement le respect qui nous est dû et de retirer du code de la santé publique la loi n°2021-1040 du 5 août 2021 dont l’article L3136-1 menace d’emprisonnement les médecins et soignants qui exercent sans avoir au préalable participé aux études de phase 3 des laboratoires Pfizer et Moderna.
Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, Messieurs et chers confrères, l’expression de ma considération distinguée.
Docteur Zineb Deheb pour le Saker francophone.
A suivre : la réponse à la question Comment les médecins ont-ils pu trahir la déontologie ? par Zineg Deheb.
Suivre @ChrisBalboa78
6 Réponses à “Comment les médecins ont-ils pu trahir la déontologie ?”
Tellement en accord avec le Dr Theron, vous vous en doutez.
Par contre lorsqu’il écrit, au sujet des personnes injectées : Mais à leur décharge il faut reconnaître qu’ils ont été victimes d’une formidable propagande théorisée par le cabinet McKinsey, organisée par le gouvernement et complaisamment relayée par les médias., je voudrais « adoucir » ceci.
En effet, nombre de professionnels comme moi et tant d’autres, inscrits à Réinfo Covid et autres sites et groupes professionnels, tant de Dr, Professeurs, Chercheurs, Pharmacologues ont tenté d’informer, d’expliquer, d’écrire, de sensibiliser certains de nos confrères et nombre de français que ces produits ne devaient pas être injectés et surtout pas être rendus obligatoires!
Ceci pour les raisons juridiques (traités et lois énoncées ci-dessus) mais aussi parce que tous les essais sur cette technique (datant pour les premiers de la décennie 70, puisque je les ai étudiés en fac dans les années 1970-1974, ont été soldés par des échecs !
Ce qui est choquant c’est ce qu’ont fait les Conseils de l’Ordre des Médecins, Pharmaciens Infirmiers!!!!
L’un de mes amis médecins a été mis devant le Conseil de l’Ordre après plainte d’un fils qui n’a pas apprécié que cet ami informe ses grands parents des effets secondaires dus à ce poison, et a été obligé de se faire vaxxiner, à son grand désarroi.
Un autre, ayant des grands enfants a démissionné après qu’un pharmacien l’ai dénoncé parce qu’il soignait ses malades (quelle honte!)
Tous ceux qui n’avaient pas de famille à faire vivre, de traites à payer, ont démissionné.
Les autres?
Eh bien, entre laisser leurs enfants et famille à la diète, se faire « punir » par leur banque pour compte en déficit, et continuer à travailler, se faisant injecter, sachant qu’ils pourraient être victimes de ce poison (et il y en a de plus en plus hélas) que faire????
Bien sur ayant eu le Dr Montagnier comme intervenant à la fac de médecine fin des années 1980, on me traite de complotiste, au point que je finis par croire que c’est un compliment.
Lorsque je vois tous ces gens porter encore leur muselière alors qu’elle ne sert à rien contre les virus (déjà qu’elle ne protège que le porteur contre les bactéries et/ou les poussières de médicaments, ceci dans des salles stériles avec air filtré, et ce sans garantie à 100%!), je me dis que oui, les gens croient davantage les commerciaux genre macquinesaitrien, les médecins de plateaux TV, souvent potes à micron, que les vrais professionnels de terrain!
Et c’est triste.
Parce que c’est ceux-ci qui vont faire élire ce suppôt de Satan, machiavélique (sa thèse a du lui plaire)
Mais il est vrai que je me pose des questions sur ce qu’on apprend aujourd’hui en fac de médecine, pharmacie, pharmacologie!
C’est comme partout, le nivellement par le bas, grâce à la politique faite par une poignée de malades pervers qui pensent avoir le pouvoir sur le Monde.
En ce jour de Pâques, j’espère que le Seul à qui appartient le Pouvoir, la Puissance et la Gloire pour des siècles et des siècles, et qui nous a donnés son fils un vendredi, va reprendre les choses en mains.
excellent article du Dr Delepine en complément de mon com ci-dessus:
https://nouveau-monde.ca/le-serment-dhippocrate-a-geometrie-variable-du-college-national-des-generalistes-enseignants-cnge/
Mon épouse, a été testée positive hier matin, surprise, parce que pas encore de symptômes sérieux, parce qu’elle est très prudente, et triple vax. Le dolipranologue, lui a donc prescrit … du doliprane, ventoline, sirop pour la toux et prednisone. De retour à la maison, elle a commencé à ressentir fortes migraines nausées fatigue.
J’avais une ordo avec Ivermectine, Azythromycine en PDF que j’ai imprimée, au nom de la belle fille – qui m’a accompagné, avec sa Vitale – , datant de fin février. J’ai fait 5 pharmacies, 4 ont refusé, seule la dernière, a accepté sans problèmes. La malade a pu prendre l’ivermectine hier soir, et depuis ce matin se sent déjà mieux.
Il fallait voir l’air hautain et satisfait de 2 pharmaciens qui ont refusé d’honorer la prescription, sous le prétexte que ce n’était qu’une copie, même en leur présentant le mail original du médecin … J’ai également proposé de laisser ma CNI en gage, jusqu’à mardi, date du retour du toubib, qui nous aurait fait une nouvelle ordo, mais non …
Ca fait toujours mal, de toucher du doigt la bêtise, la médiocrité, et la méchanceté humaine. surtout en cette veille de Pâques.
Votre épouse va s’en sortir rapidement.
L’ivermectine est véritablement très efficace, on la prescrit en général avec, en plus un macrolide (Azythromycine), maintenant, quasi interdit même pour une angine..où il faut un test pour certifier que le médecin n’a aps volontairement « fauter » en soignant un covid et non une angine, par exemple…, ainsi que du Zinc, de la Vitamine C et du magnésium.
(je suppose que chez vous, le soleil est suffisant pour qu’elle n’est pas besoin de Vit D)
Pour tenter de vous montrer que tous les pharmaciens ne sont pas de l’engeance pourrie de ceux qui ont refusé de délivrer de l’ivermectine à votre épouse, voici le lien vars le blog du Dc Amine UMLIL
https://analysecitoyenneindependante.blogspot.com/2022/04/atteinte-la-dignite-de-la-personne.html
oui, avec le combo ivermectine + Azythromycine, après une nuit éprouvante, ça allait déjà mieux, elle tousse encore un peu, mais à J +2 elle était sortie d’affaire.
Et malgré le soleil, moi qui reste beaucoup à l’intérieur, je suis régulièrement carencé en Vit D.
Vu la réticence de mon généraliste à m’en prescrire, j’ai trouvé un produit en vente libre, BION 3 défense qui contient plein de bonnes choses Mg Zn, vit c & D et me fait énormément de bien, je le recommande fortement.
Bien sûr je ne généralise pas, tous les pharmaciens ne sont pas indignes, heureusement.
Comment ne pas citer le rapport de la Cour des Comptes sur les abus et prévarications du COM, BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins et Cie, tous les bénévoles rétribuée et les copains embauchés !