Les tenants de la cause anthropique du réchauffement climatique prétendent qu’une grande majorité des scientifiques (97,1 % !) sont d’accord avec cette thèse et qu’il y a donc un consensus sur le sujet.
Rien n’est plus mensonger que cette affirmation !
D’abord parce que de plus en plus de scientifiques opposés à cette thèse se regroupent pour contester la propagande du GIEC (voir ce précédent article).
Ensuite parce que les médias censurent les scientifiques opposés à la théorie du GIEC et qu’il est alors facile de clamer que tous les scientifiques qui s’expriment soutiennent le GIEC !
Le site Climat et Vérité vient de publier un article qui recense les scientifiques de renom qui récusent la cause anthropique du réchauffement climatique.
Voici le début de cet article qui impressionne par le nombre des scientifiques recensés :
Devant la répétition ad nauseam par les soutiens du GIEC de l’argument qu’ils croient massue consistant à affirmer un consensus à 97,1 % (sic !), j’ai pris mon bâton de pèlerin et consulté Wikipedia.
Voilà les faits, indiscutables et édifiants.
Liste des Scientifiques et Prix Nobel
Ayant pris des positions opposées aux thèses du GIEC
Prix Nobel de physique/chimie climatosceptiques
- Ivar Giaever, prix Nobel de physique 1973, l’un des initiateurs du manifeste de CLINTEL “Il n’y a pas d’urgence climatique” : il s’oppose tout particulièrement aux dévoiements de l’écologieà des fins politiques qu’organisent des individus comme Al Gore, Phil Jones ou James Hansen et des organismes comme le GIEC. Il a ainsi déclaré : « je suis un sceptique, le réchauffement climatique est devenu une nouvelle religion »[10]. En 2011, il quitte l’American Physical Society en raison de ses positions sur le réchauffement. Il critique Obama en lui reprochant d’être mal conseillé en ce domaine[18].
- Robert B. Laughlin, professeur à l’Université de Standford et prix Nobel de physique 1998 pour ses travaux sur l’effet Hall quantique fractionnaire. Dans son essai What the Earth Knowssur le changement climatique, il affirme que “les données géologiques suggèrent qu’on ne devrait pas s’inquiéter du climat, pas parce que c’est sans importance mais parce que contrôler le climat est hors de notre portée”.
- Kary Mullis, Prix Nobel de chimie. Il est sceptique de l’alarmisme actuel, pointant en particulier du doigt l’erreur de croire que l’on peut prévoir le climat à dix ou trente ans, alors que notre connaissance du climat est très parcellaire[40]. Il affirme que “la climatologie est une plaisanterie”[41].
- Elliott D. Bloom, physicien, professeur à la Stanford University, membre de l’équipe du Stanford Linear Accelerator Laboratoryqui reçut le prix Nobel de physique, lauréat du prix Senior Scientist Award de la fondation Alexander von Humboldt, rappelle la complexité du climat, son imprévisibilité, l’inadéquation des modèles invoqués par le GIEC. La politique devrait laisser les mains libres à la science en ce domaine, ce qui n’est pas le cas actuellement.[3].
- Pierre-Gilles de Gennes, ancien Directeur de l’Ecole de Physique et Chimie de Paris, Prix Nobel de Physique, et qui avait manifesté sa défiance vis-à-vis de Modèles informatiques
- John Clauser, Prix Nobel de Physique 2022, et récent signataire du manifeste de CLINTEL initié par Ivar Giaever
Sans oublier au moins un prix Nobel d’économie
- Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : « Ce qui menace la planète, ce n’est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d’une bonne cause. »
Et
- Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l’équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d’un réchauffement climatique: il souligne que l’on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d’origine humaine dans le réchauffement climatique et que d’autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d’eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l’activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
Rajoutons-y encore Steven Koonin, membre de l’Académie des Sciences US, voire Frédéric Seitz, ancien Président de cette même Académie, non mentionnés dans la liste complète ci-après!.
Donc, au moins 7 Prix Nobel, dont 5 de physique.
Et voilà la liste complète des scientifiques, trouvée sur Wikipedia (elle est d’ailleurs loin d’être complète !)
Instructive, et plus qu’édifiante, face à tout journaliste ou vérificateur du style AFP ou Le Monde, qui seront incapables de produire une liste équivalente soutenant les thèses du GIEC (il y a bien, pour la bonne cause, Manabé, Prix Nobel de Physique 2021, et les 36 Prix Nobel qui ont signé une lettre ouverte soutenant la lutte contre le « réchauffement climatique », mais très peu étaient des scientifiques) .
Voir la suite dans l’article original.
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Une réponse à “Consensus ? Vous avez dit consensus ?”
Tellement vrai,
tellement de propagande pro ecolos style bobo goche… d giec.
Les scientifiques, les vrais, pas les faux, sont plus de 31 000 a avoir signé contre le giec et sa propagande, devenue une religion de foi et non de science.
Le giec manipulateur, comme la goche, achete les idiots et les crapules de la TV pour imposer leur saloperie de mensonges.