Laurent Toubiana, avec d’autres comme les professeurs Didier Raoult et Christian Perronne, se sont mis en danger en allant à rebours de la pensée dominante pro-vaccin.
Moins médiatisé que Didier Raoult, Laurent Toubiana n’en est pas moins actif et apporte régulièrement son expérience d’épidémiologiste réputé sur certains plateaux comme ceux de Pascal Praud (CNews) et d’André Bercoff (Sud-radio).
Il vient de publier un ouvrage intitulé :
Covid 19 – Une autre vision de l’épidémie.
Voici des extraits d’un article de Jean-Louis Tremblais qui présente ce livre :
Un scandale nommé Covid :
les « vérités » de l’épidémiologiste Laurent Toubiana
Dans un essai décapant, Covid 19. Une autre vision de l’épidémie, le chercheur Laurent Toubiana explique pourquoi et comment les autorités ont, selon lui, menti aux Français pour leur faire accepter l’inacceptable.
Un confinement inefficace
En Suède, schématiquement, la stratégie a été à l’opposé de celle de la France puisqu’elle a été fondée sur l’immunité collective. Dans cette approche, l’idée est de protéger évidemment les personnes à risques dont on connaît les caractéristiques et qui forment une petite minorité de la population. Mais l’immense majorité de la population peut rester libre. Du coup, le risque est de voir augmenter rapidement le taux de contamination. Mais comme celui-ci ne produit que des formes bénignes, le coût global pour la société reste très faible. Malheureusement pour la Suède, alors que la stratégie était aux mains des épidémiologistes, la mise en œuvre était aux mains de l’administration sanitaire qui avait laissé dans un état pitoyable l’équivalent de nos Ehpad. De fait, l’abandon de ces établissements a eu pour résultat un nombre plus important de morts parmi les plus vieilles personnes, ce qui aurait pu être évité si ces établissements avaient été correctement gérés. Malgré cette mauvaise gestion, nous le verrons, le bilan de la Suède qui n’a pas confiné est équivalent à celui de la France.
Les avantages théoriques de la méthode suédoise sont nombreux. Je passe évidemment sur la qualité de vie et les conséquences sociales et économiques différentielles entre les deux stratégies (ce qui ne veut pas dire que ce n’est pas extrêmement important), pour ne parler ici que de la dynamique de l’épidémie elle-même. Dans le cas de la Suède, avec la stratégie fondée sur le modèle de l’immunité collective, on peut encore observer pendant quelques mois des cas sporadiques, mais la mortalité tend vers zéro. Et c’est effectivement ce qui s’est passé si on regarde les chiffres.
Mais le plus important dans cette comparaison est qu’en aucun cas nous n’observons un effet du confinement sur la dynamique de la croissance épidémique. Dans les deux cas, confinement ou pas, l’atteinte du maximum donc de l’arrêt de la croissance épidémique est semblable. Ce constat est particulièrement accablant car cela suggère que le confinement n’a servi à rien.
Le conditionnement de masse
La période du confinement a été traumatisante à plusieurs titres puisqu’il s’agissait de couper les liens pour éviter la transmission d’un virus. Il s’avère effectivement que les liens ont été coupés par la mise en place du confinement. Il s’en est suivi un isolement des individus, coupés de leurs proches. La distanciation sociale a été de rigueur. Pour une grande majorité, il s’agissait aussi d’une perte de travail, compensée pour certains par un assistanat, mais privé de liens sociaux et de soutien. Pour certains, et en particulier pour les étudiants, le confinement était solitaire. Les autorités ont mis en œuvre des restrictions de déplacement. Ainsi la monotonie, la routine et l’ennui se sont installés durablement et sans horizon clair d’une issue possible. Les rassemblements, les rencontres, les concerts, le sport ont été interdits.
L’attention était fixée sur une situation difficile et urgente. L’isolement forçait à l’introspection.
Toute information pouvant contredire celles de l’autorité était systématiquement éliminée.
Toute action d’insoumission était punie (par exemple, par des amendes pour non-respect du port du masque dans la rue). La peur et la confusion ont affaibli la capacité de réflexion et la volonté de résistance, qu’elle soit physique ou mentale.
Les médias ont envoyé en permanence des signaux négatifs générant anxiété, stress et désespoir.
Les menaces latentes ont été très fortes: menace de fermer les entreprises, menace de contraventions, menace d’extension de quarantaine, menace de vaccination obligatoire, menace de non prise en charge des soins, menace de tri pour les services de réanimation hospitaliers, menace de suspension pour les professionnels de santé (et mise en application). Menace d’autres confinements pour faire accepter des couvre-feux.
Indulgences occasionnelles et assurance de protection, le « quoi qu’il en coûte » procurait une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre pour accoutumer aux privations imposées. Permissions de rouvrir certains magasins, certains services. Concessions suivies de règles plus contraignantes. Réouverture des restaurants, mais avec une jauge puis de nouveau fermeture. Augmentation du nombre de personnes qui peuvent se réunir, puis à nouveau diminution et fermeture. Affirmer la toute-puissance des autorités par le « quoi qu’il en coûte » et en même temps laisser entrevoir la possibilité d’effondrement de l’économie mondiale tout en agitant le spectre du « conseil de défense » assorti de mesures plus ou moins contraignantes selon les moments comme une épée de Damoclès.
Imposer des ordres contradictoires et faire des demandes stupides, inutiles et infondées pour développer les habitudes de soumission à l’autorité.
Briser le libre arbitre et les capacités de jugement. Les membres d’une même famille doivent rester à distance les uns des autres même pour les enterrements ou les festivités traditionnelles comme les fêtes de fin d’année où les personnes les plus âgées doivent demeurer dans leur solitude. Limitations aléatoires du nombre de personnes pouvant rester ensemble. Et quantité d’autres injonctions contradictoires.
Exagération de la surmortalité
La mortalité induite par le Covid est liée à la vieillesse et aux maladies graves préexistantes. Ainsi, près de 90 % des personnes admises en réanimation et 65 % des personnes décédées en lien avec l’épidémie de Covid présentaient au moins une comorbidité, les principales étant métaboliques, cardiovasculaires ou respiratoires. Par ailleurs, l’âge médian au décès à l’hôpital des malades de l’épidémie de coronavirus est de 85 ans et près de 92,5 % des personnes avaient 65 ans et plus.
La forte mortalité de 2017 a eu pour conséquence une faible mortalité en 2018 puis en 2019. Les sous-mortalités des 2018 et 2019 sont assimilées à une sorte de «répit» pendant laquelle l’effectif de la population des individus plus âgés et fragiles a augmenté. Les comparaisons sont donc biaisées si ces années sont utilisées comme référence.
[…] Les épidémies n’ont donc quasi aucune influence sur la mortalité de la classe d’âge de moins de 65 ans. En revanche, les plus de 65 sont directement impactés par la récurrence des épidémies de grippe. L’épidémie de Covid a eu exactement le même effet sur les mêmes classes d’âge que les autres événements sanitaires (grippes ou canicules).
Jean-Louis Tremblais pour Le Figaro.
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2 Réponses à “Covid : Laurent Toubiana sort la sulfateuse …”
C’est devenu une mafia au commandes de l’etat avec les lobbys, sans aucun respect des peuples.
Le covid a ete l’element qui a servi a supprimer les libertées,
cela en instaurant en permanence la peur que les merdias placait dans tous les journaux et TV.
Sur Cnew cependant P Praud mettait souvent en avant les incoherences, les calculs incoherents de l’etats.
Le covid n’a pas ete la maladie destructrice de l’humanité, moins severe qu’une grippe dans la plupart des cas,
elle a servi de moteur pour obliger a etre vacciné par un produit ayant des effets secondaire parfois grave,
parfois invalidant, parfois donnant la mort,
et pour finir d’apprendre que ce pseudo vaccin clamé partout comme le produit miracle, n’etait meme pas capable de faire ce qu’un vaccin ordinaire fait,
c’est a dire, empecher la transmission et la contamination.
Pfizer n’a pas passé la phase 3 de son pseudo vaccin, car il dit en substance qu’il ne pourra pas atteindre le resultat promis pour cette phase…
En attendant il aura vendu pour des milliard de benefice son produit qui au mieux ne fait rien de bon, et aura affaibli le systeme immunitaire,
que fait le gouvernement pour contre attaquer ce groupe qui s’est foutu de nous tous ???
Avant la comedie du covid, avec 25 mort fait par un nouveau vaccin, la société arretait ce produit, ( comme en croatie ),
on a depassé les milliers de mort avec ces produits qui n’auront pas servi a grand chose,
et l’etat complice n’a pas protegé les citoyens contre des produits au dessous de tout.