Quand on fait remarquer à un européiste que l’Union européenne est un échec sous bien des aspects, il répond :
« C’est vrai mais c’est parce que
l’Europe n’a pas assez de pouvoir ! »
L’Europe ne marche pas donc il faut plus d’Europe !!!
Le même raisonnement est tenu par les mondialistes qui, malgré les dégâts économiques et surtout sociaux considérables entrainés par la mondialisation, proposent de la poursuivre et de l’amplifier en supprimant les nations et en instituant une gouvernance mondiale !
C’est un peu le message que Karl Schwab, le président du « World Economic Forum (Forum de Davos), est venu porter au G20.
Ce qui pose la question de la légitimité de la participation de cette personne à une telle réunion.
Marc Baudriller s’en étonne dans cet article de Boulevard Voltaire :
Au G20, l’invité surprise, le très mondialiste Klaus Schwab, veut « une restructuration de notre monde »
Ce n’est pas la première fois que Bill Gates intervenait au G20 : il l’avait déjà fait en 2011. Cette fois, il a récidivé aux côtés d’un autre invité de marque, encore plus mondialiste que lui : Klaus Schwab a prêché, le 16 novembre, devant les chefs d’État des vingt plus grandes puissances du monde assortis, curieusement, de l’Union européenne. « Actuellement, ce à quoi nous sommes confrontés, a expliqué le président du conseil d’administration du World Economic Forum basé à Genève et connu par sa réunion annuelle à Davos en Suisse, c’est une restructuration de notre monde profonde, systémique et structurelle. » Toute personne normalement constituée s’alarmerait devant l’ampleur des destructions civilisationnelles qu’on devine sous ce mot. Pas Klaus Schwab, qui appelle au contraire de ses vœux ce vaste coup de pelle.
Au G20, Schwab explique surtout que le désordre dans lequel nos sociétés sont plongées – un désordre largement provoqué par les conséquences de la mondialisation aveugle et forcenée pour laquelle il milite depuis des décennies – peut justement profiter à l’agenda… mondialiste. Ca tombe bien. À condition, toutefois, que ces désordres restent sous contrôle, explique-t-il, car un chaos incontrôlé serait désastreux… pour la mondialisation. Il s’agit, pour lui, d’une période de transition un peu délicate qu’il faut tenter de traverser sans trop de dommages avant d’accéder au nirvana du sans-frontiérisme. « Le monde sera différent une fois que nous aurons traversé ce processus de transition », assure Klaus Schwab au G20. L’arrachement des peuples à leurs patries vu comme l’arrachage d’une dent ou comme une potion de bicarbonate de soude : pas très agréable sur l’instant, mais on se sent mieux après.
Mais attention, Schwab a tout de même perçu le danger, le vrai : ce désordre utile pour déstabiliser les nations ne doit pas nuire aux institutions de la mondialisation.
Nos dix-neuf chefs d’État, parmi lesquels Emmanuel Macron, élus par des nations qui leur ont fait confiance pour conduire leur destin, écoutent donc le patron du World Economic Forum qui n’a rien à faire là dans un silence religieux, sans la moindre contradiction, cela va de soi. Quelques jours après le 11 Novembre, les fleurs, les discours et les défilés, Macron assiste, la bouche en cœur, à un assaut en règle contre ces pays, ces cultures, ces frontières que nous aimons – oui, nous les aimons – et pour lesquels nos parents, enfants, grands-parents, collatéraux, voisins, amis ont donné leur vie.
Que veut cet homme qui parle d’égal à égal aux chefs d’État des pays les plus puissants du monde ? Son livre est éloquent. Paru en 2021, COVID-19 : la grande réinitialisation suit Le Grand Récit et La Quatrième Révolution industrielle. Il s’adresse à « ceux qui cherchent à mieux comprendre comment le monde a évolué depuis le début de la pandémie et quelles solutions peuvent nous rendre plus résilients, équitables et durables », explique gentiment l’éditeur. Gentil, vraiment, Klaus Schwab ?
C’est peut-être Philippe de Villiers qui en parle le mieux, au micro de BV. « J’ai eu entre les mains un livre de monsieur Klaus Schwab, président du Forum de Davos, qui s’appelle Covid-19 la réinitialisation du monde. Le great reset veut dire mettre le monde sur pause et repartir sur autre chose. Il y a une phrase clé dans ce livre : « Il faut que la pandémie soit une fenêtre d’opportunité. » Pour quoi faire ? Eh bien, pour changer de société et pour la numériser. » Pour Philippe de Villiers, ces apôtres de la mondialisation représentés par Schwab veulent un monde libéré de ses frontières mais intrusif dans la sphère individuelle. « Ils ont fait ce monde sans frontières, la fameuse mondialisation heureuse, parce que cela permettait aux géants du numérique de prospérer et à nos gouvernants d’exercer un contrôle total, une société disciplinaire. »
L’esprit de Davos, créé par Schwab, dans toute sa splendeur. Un esprit que Marine Le Pen saluait sans concession dans un communiqué du 23 janvier 2013 : « L’idéologie de l’élite de Davos est simple : défaire les nations, les peuples et les démocraties pour laisser le champ libre aux marchés, à la grande finance et au multiculturalisme obligatoire. » Elle ajoutait que « ses recettes sont bien connues : suppression de toutes les frontières et de toutes les protections, immigration de masse imposée aux peuples, mainmise de la banque sur l’économie, affaiblissement culturel et moral des États et des nations. » Un cancer destructeur, paré de bonnes intentions, dont on voit chaque jour combien de pleurs et de drames il provoque.
Marc Baudriller pour Boulevard Voltaire.
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Une réponse à “De quel droit Klaus Schwab était-il présent au G20 ?”
Je cite :
« C’est peut-être Philippe de Villiers qui en parle le mieux, au micro de BV. « J’ai eu entre les mains un livre de monsieur Klaus Schwab, président du Forum de Davos, qui s’appelle Covid-19 la réinitialisation du monde. Le great reset veut dire mettre le monde sur pause et repartir sur autre chose. Il y a une phrase clé dans ce livre : « Il faut que la pandémie soit une fenêtre d’opportunité. » Pour quoi faire ? Eh bien, pour changer de société et pour la numériser. »
Numeriser la societé, c’est le transhumanisme, l’humanité sous controle grace a de la haute technologie que l’on dispose maintenant, c’est l’ouverture a la dictature mondiale par le biais de l’informatique implanté en l’homme qui perdra sa liberté et au final, la perdra completement, au profit, il faut le comprendre pour l’avenir, d’un pouvoir de plus en plus denués de sentiments d’humanité qui recherchera le controle complet de la population comme le prevoit deja, attalie :
Jacques Attali parle du Nouvel Ordre Mondial avec l’esclavage comme avenir (vidéo)
Publié le 22 Mai 2020
https://youtu.be/ott6nL-663o
Et :
dimanche 5 septembre 2021
Klaus Schawb : Des puces électroniques dans nos cerveaux !
Klaus Schawb : Des puces électroniques dans nos vêtements et dans nos cerveaux… Ce que nous voulons, c’est une fusion du monde physique, digital et biologique !
https://www.businessbourse.com/2021/09/05/klaus-schawb-des-puces-electroniques-dans-nos-vetements-et-dans-nos-cerveaux-ce-que-nous-voulons-cest-une-fusion-du-monde-physique-digital-et-biologique/
« Dans les dix ans à venir, votre vie se transformée, beaucoup de tâches intellectuelles vont être reprises par des machines intelligentes et nous nous focaliserons uniquement sur l’aspect humain… »
Ce qu’il oublie de dire c’est que cela permettra de contrôler tous les hommes, de savoir ce qu’ils pensent et d’éliminer tous les rebelles à leur Nouvel Ordre Mondial Nazi et Eugéniste !
Ardresse de la video:
https://twitter.com/i/status/1434303944390500354
Voila ce monde inhumain dans lequel il veut nous faire entrer.
Peuple, reveillez vous.